Scuderia Ferrari

Sebastian Vettel estime que Ferrari a mis trop de temps à se rendre compte que les récents développements apportés à la SF71H n'allaient pas dans le bon sens, ce qui a probablement coûté des points précieux dans la course au titre ces dernières semaines.


À Austin, la Scuderia a pris la décision en cours de week-end d'abandonner ses plus récentes évolutions et de revenir à certains concepts d'une spécification plus ancienne, ce qui s'est avéré concluant.

En qualifications, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sont passés respectivement à 67 et 70 millièmes de la pole position, tandis que le Finlandais a confirmé en course les bonnes dispositions de la monoplace de Maranello en s'imposant. Dès samedi, Vettel avait fait remarquer le choix bénéfique de revenir en arrière, et le Grand Prix n'a fait que conforter son propos.

"Ça a pris trop de temps", regrette-t-il. "On peut voir ça comme une bonne nouvelle [d'être de retour en forme] mais aussi comme une mauvaise. Si l'on doit revenir à une voiture qui était compétitive il y a trois ou quatre mois, alors ce n'est sûrement pas une bonne nouvelle quand on y réfléchit. Pour nous, sur le plan technique, c'est important de comprendre ce qui s'est mal passé."

"Toutes les étapes que nous avons franchies semblaient avoir du sens, mais maintenant, en prenant du recul, ce n'était pas le cas. Il y a clairement quelque chose que nous n'avons pas vu, et nous n'avons pas encore compris pourquoi ni où l'erreur a précisément commencé. Il y a donc beaucoup à faire et à comprendre de notre côté, mais je suis certain que nous ferons le nécessaire pour y parvenir."

Je ne comprends pas comment une équipe comme Ferrari s'est entêtée dans des nouveaux développements non concluants, et effectivement, qu'ils aient mis tellement de temps à réagir !


Quand sonnera l'heure du bilan définitif de cette saison 2018, les responsabilités dans l'échec probable de Vettel et Ferrari à aller conquérir le titre mondial seront probablement partagées, mais l'Allemand considère déjà ce coup d'arrêt dans le développement de sa monoplace comme le facteur déterminant.

"Ce n'est pas comme s'il y avait un problème à la base, et qu'au final c'était pire", explique-t-il. "Je n'ai aucun problème à admettre mes erreurs. Il nous est arrivé certaines choses qui ne nous ont pas aidés, mais le point crucial a été que, pendant une grosse partie de la saison, nous n'avions pas la vitesse pour être au rendez-vous, puis il y a d'autres choses qui n'ont peut-être pas aidé. Il y aura beaucoup de choses que nous devrons revoir pendant l'hiver, pour nous tous, y compris moi-même."

Quelle affaire tout de même.  :Debilos:

Quand on lit ça on comprend qu'il y a des développements tout au long de la saison. Ça veut dire que chaque version de la voiture ne fait qu'une course.

Quelle gabegie financière.

Uscars a écrit:

Quand on lit ça on comprend qu'il y a des développements tout au long de la saison. Ça veut dire que chaque version de la voiture ne fait qu'une course.

Quelle gabegie financière.

Non, c'est "upgrades" étaient utilisés déjà depuis Monza.

T’appelle ça comme tu veux, ça coûte la peau des fesses.

Uscars a écrit:

T’appelle ça comme tu veux, ça coûte la peau des fesses.

C'est pas nouveau que la F1 coûte la peau des fesses l'ami, depuis que Moïse à divisé la mer gars !

S'il pouvait revenir et diviser une certaine mer!

Uscars a écrit:

S'il pouvait revenir et diviser une certaine mer!

:Pas compris:

Resté observateur de la F1, Bernie Ecclestone a chanté les louanges du désormais quintuple Champion du monde Lewis Hamilton, qu'il qualifie de "phénoménal". (t'ention hein, rosbeef et rosbeef !)

"Le garçon est juste phénoménal. Il est simplement le meilleur à de nombreux niveaux. C'est le meilleur pilote, il devient encore et toujours meilleur sous la pression et en fait tellement plus pour la Formule 1 que n'importe qui", estime l'ancien grand argentier de la F1 dans le quotidien allemand Bild am Sonntag.

En revanche, les aléas rencontrés par Sebastian Vettel, qui captive nombre de fans de la discipline de par le port de la combinaison Ferrari et est désigné comme adversaire numéro 1 de Hamilton, "ne sont pas bons pour le spectacle", regrette Ecclestone, qui aurait bien entendu préféré voir une lutte se livrer entre les deux protagonistes jusqu'à la dernière épreuve de la saison.

Ecclestone pense en tout cas que Vettel n'est pas l'unique responsable de sa campagne 2018 achevée sur une note amère (pas encore !), en dépit de l'accumulation d'erreurs coûteuses d'un point de vue mathématique derrière le volant.

"Sebastian n'a pas reçu le support et le soutien de son équipe, tandis que Lewis a son team à 100% derrière lui. Il n'a pas à se préoccuper de ce que fait Mercedes. Tout est parfait avec eux", juge le Britannique. "Ferrari aurait pu le faire mais il y a beaucoup de politique là-bas et Sebastian n'a pas ressenti le soutien dont il avait besoin", ajoute celui qui voit encore régulièrement le pilote allemand pour des parties de backgammon et discussions intimes. "Je pense qu'il était seul."

Ouais, bof, on va as continuer à en discuter tout l'hiver, c'est sûr que les 2 parties intégrantes, Pilote & Écurie n'ont pas bien fonctionné ensemble, c'est indéniable, et aussi, d'après toujours Mr. E, mais aussi bcp. d'autres, le décès de Segio Marchionne a vraiment secoué la Scuderia Ferrari, une écurie connue pour être sujette à une grande sensibilité, mais aussi instabilité, et je crois franchement que le fait d'avoir perdu d'un coup le sommet de la pyramide, si soudainement, les a très certainement secoués.

On prend les mêmes et on recommence en 2019 tiens ! Et on fait mieux. :vive nous:

Donne moi son mail, je vais lui expliquer que son avis peut se mettre en rouleau aux toilettes.

Bernie ne dit rien de neuf.
La différence entre un latin et un germain est connue depuis la nuit des temps.
L'un ne cesse de parler et l'autre agit sur commande. En respectant ce principe on trouvera chez Mercedes l'exact contraire de chez Ferrari. Partant de là, et en regardant l'histoire de l'humanité, il ne faut pas se poser beaucoup de questions sur l'efficacité teutonne et le palabre italien.

Cet état de fait explique en partie le succès de Merco qui ne s'est pas perdue en conjoncture, au contraire de Ferrari qui n'aura pas su canaliser son pilote le laissant trop souvent à ses pensées.

Clousot a écrit:

Bernie ne dit rien de neuf.
La différence entre un latin et un germain est connue depuis la nuit des temps.
L'un ne cesse de parler et l'autre agit sur commande. En respectant ce principe on trouvera chez Mercedes l'exact contraire de chez Ferrari. Partant de là, et en regardant l'histoire de l'humanité, il ne faut pas se poser beaucoup de questions sur l'efficacité teutonne et le palabre italien.

Cet état de fait explique en partie le succès de Merco qui ne s'est pas perdue en conjoncture, au contraire de Ferrari qui n'aura pas su canaliser son pilote le laissant trop souvent à ses pensées.

Mamma Mia quel beau poste Clou !

Je ne saurais dire mieux ! :Bravo:

Ta deuxième phrase : "La différence entre un latin et un germain est connue depuis la nuit des temps".

A qui le dis-tu ? Je les détestes ! :Ra ta ta: 

Je crois quand même que Marchionne tenait quand même bien cette bande de nouilles ensemble ! Le pov' homme !
Et Bernie lui qui continue à vieillir, et à nous casser les *ouilles !

Et Arrivabene dans tout ça, hein ? Arrivabene ?

Il semble qu'ils ne fraient plus trop ensemble d'avec Vettel ? Seb a été souvent vu chez ses anciens mécanos et équipe de chez Red Bull, comme pour retrouver une fraternité qu'il n'a/n'avait plus chez les rouges ?

Va-t'en savoir !?


Question !? Son contrat chez Ferrari ? Jusqu'à fin 2020 ? Red Bull avec 1 an d’expérience du moteur Honda, et les pas de géant que le constructeur japonais fait !?

Contrat 3 ans : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Ça c'est le premier contrat, mais il a re-signé 3ans, donc jusque fin 2020.



Serait-il entrain de nous préparer un retour chez Red Bull - Honda en 2021 ? Hummmmmm.... :Kecekidi ?:

Je pense que si Vettel ne parvient pas à s'exprimer mieux que ça en 2019 il partira aussi déçu que ne l'a été Alonso.
Il sera sur le marché et RBR lui sera grand ouvert bien entendu.
Et comme souvent depuis Schumi, Ferrari aura su fabriqué la meilleure voiture mais sans plus arriver au sacre.

Clousot a écrit:

Je pense que si Vettel ne parvient pas à s'exprimer mieux que ça en 2019 il partira aussi déçu que ne l'a été Alonso.
Il sera sur le marché et RBR lui sera grand ouvert bien entendu.
Et comme souvent depuis Schumi, Ferrari aura su fabriqué la meilleure voiture mais sans plus arriver au sacre.

"Qui vivra verra" disait toujours ma grand-mère, on verra déjà en 2019, 2019...l’année Vettel & Ferrari ?

Et puis, enfin les gars, il reste quand même 2 Gp's, moi je me réjouis, non ?

Qui se casse ?

1. - Alonso
   
2. - Vandoorne
   
3. - Ericsson
   
4. - Ocon ?
   
5. - Hartley ?
   
6. - Sirotkin ?
   

30% du plateau quand même !

Le patron de l'écurie Ferrari, Maurizio Arrivabene, estime que Ferrari manque actuellement d'un avantage décisif pour ce qui est des victoires éventuelles, et estime que l'écurie a "peur de gagner" en raison de l'infime différence (*) entre succès et échecs en F1.
(*) à leur niveau, moi je dis !


La saison 2018 a été tumultueuse pour le cheval cabré, non seulement face aux performances abjectes, aux problèmes de stratégie et à la constance de Mercedes, mais également au décès tragique du directeur général Sergio Marchionne. (c'est ce qui sort souvent)

Arrivabene dit que l’équipe doit récupérer l’habitude de gagner.

"Il existe des domaines dans lesquels nous sommes supérieurs, d'autres dans lesquels ils [Mercedes] le sont, mais je pense que nous n'avons toujours pas l'habitude de gagner", a-t-il déclaré à Autosport.
(Hu ? )


"Pour Mercedes, avoir un 1-2, c'est presque ordinaire. Pour nous, c'est toujours un événement exceptionnel".

"Nous devons être plus conscients de nos moyens et ne pas avoir peur de gagner. Au tennis, on appelle ça "il braccino": la peur de gagner qui vient lorsque vous êtes près du but. Nous devons nous faire confiance et faire de gagner...une habitude."


Ouais, bof, je trouve que ça ne met pas en confiance ça pour 2019, et vous ?


C'est la faute à qui de toutes manières ? A qui ?

Ferrari n'ignore pas ses faiblesses qui ne se trouvent plus dans la voiture mais partout ailleurs.

Clousot a écrit:

Ferrari n'ignore pas ses faiblesses qui ne se trouvent plus dans la voiture mais partout ailleurs.

C'est quand même impensable ça, une telle écurie, une telle histoire, et on en est là, tout le monde semble être d'accord, et le pilote, et l'écurie sont coupables, point, c'est presque du délire ce qu'on a vu cette saison !

Du délire .... organisé?

Une forme délirante de la comédia dell'arte....

Uscars a écrit:

Du délire .... organisé?

Par qui ? LM ? La FIA ? Mercedes ? Meuh non pas organisé, plus comme dit Clou ce-dessous !

Clousot a écrit:

Une forme délirante de la comédia dell'arte....

Du délire "del Arte italiano" :Knock me:  Ça me fais ch*er au plus haut point !

Un barbu c'est un barbu, trois barbus c'est des barbouzes.

Une erreur c'est une erreur, trop d’erreurs c'est ... des chicanes Rosberg à Monza.

La chicane Rosberg.... :vive nous:

L'un des principaux problèmes d'un ingénieur concepteur de Formule 1 est de savoir comment créer une force d'appui suffisante tout en réduisant la traînée créée par cette force d'appui.

Ferrari a-t-il trouvé une solution partielle à ce problème?

Selon les observateurs du Grand Prix du Mexique, une vue latérale de l'aile avant gauche de la Ferrari de Vettel révélait une grande flexibilité dans les multiples éléments qui composent la section de l'aileron.

Au tour 30 de la course, la retransmission télévisée a montré la vue latérale de la voiture de Sebastian Vettel à l’attaque de Redbull de Daniel Ricciardo. Il a également montré la section des ailerons ainsi que les vitesses des deux voitures au bas de l'écran, car elles sortaient toutes les deux en virages lents et atteignaient les vitesses maximales en lignes droites.

Comme beaucoup de gens l’ont vu, lorsque les vitesses ont augmenté d’environ 100 km h à la sortie des virages les plus lents, les éléments de l’aileron de la Ferrari sont restés apparemment plus droits jusqu’à environ 250 km/h, quand ils ont semblé commencer à se plier et à s’aligner davantage avec l'air venant.


Puis, lorsque les vitesses atteignaient les +/- 355 km/h, les mêmes éléments étaient repliés et la vitesse de la Ferrari était de 10 km h de plus que celle de la Redbull.

Alors que le DRS pour les deux voitures étaient activés, la Ferrari était toujours plus rapide que Ricciardo, et il faut se demander si l'aileron était plus rigide, la vitesse maximale de la voiture aurait pu être plus lente en raison de la traînée accrue ?

C’est peut-être l’un des moyens par lesquels de nombreuses équipes ont conçu leurs ailerons avant pour atténuer le conflit entre le besoin d’appui à basse vitesse et la réduction de la traînée à grande vitesse, dans l’espoir de bien respecter l’esprit et les intentions des règles.

Ou bien les équipes ont-elles trouvé une faille dans la réglementation ?

Pourrions-nous voir plus d'attention portée à cette zone des voitures lors du Grand Prix du Brésil par la FIA ?

Voyons, voyons...

"Dès le tour de formation, nous avons pris conscience d'un problème de capteur sur la voiture de Seb", a confirmé le patron de Ferrari, Maurizio Arrivabene.

"Cela signifiait que, pour toute la course, il devait exécuter des réglages différents de ceux que nous aurions normalement utilisés et cela rendait la voiture difficile à conduire."

Vettel a admis que Ferrari et lui "n'étaient pas assez rapides" et sur une échelle de 1 à 10, a placé sa prestation au bas de la liste.

"Eh bien, j'ai tout essayé, mais évidemment en termes de résultat, 1/10, c'est mauvais", a-t-il déclaré.

"C’est juste une après-midi difficile, essayer de… Je ne pense pas que nous ayons dominé la voiture, les pneus… je ne crois pas que c’était un avantage, pour être honnête, de commencer par les Tendres".

"Les Super-tendres" ont duré plus longtemps, plus longtemps que nous avions prévu. Mais c’est comme ça".


Donc, mauvais calculs de la part des départements pneumatiques de la Scuderia, et donc, à nouveau, une erreur stratégique, mais je m'emporte...

Et Kimi a ravi tout le monde.