+ technique ? + photos...

Une photo, rare, des fonds plats de la RB et de l'Aston Martin où l'on peut voir que contrairement à ce que dit le sieur Marko, il y a pas mal de différences entre les 2.

dom465 a écrit:

Une photo, rare, des fonds plats de la RB et de l'Aston Martin où l'on peut voir que contrairement à ce que dit le sieur Marko, il y a pas mal de différences entre les 2.

Oui, c'est rare de voir ça !

"Graining" :

La F1 teste l'ATA lors de deux week-ends de course cette année afin de déterminer si elle peut réduire le nombre de pneus utilisés sans nuire à la compétition.

Les pilotes n'auront droit qu'à 11 jeux de pneus au lieu des 13 habituels. Lors d'un week-end ordinaire, chaque pilote reçoit huit trains de pneus tendres, trois trains de pneus moyens et deux trains de pneus durs. L'ATA modifiera cette répartition en quatre trains de pneus tendres, quatre trains de pneus moyens et trois trains de pneus durs à Imola, puis lors d'une autre course cette année.

L'ATA précise également les pneus que les pilotes peuvent utiliser dans chaque phase des qualifications. Ils ne pourront utiliser que des pneus durs en Q1, des mediums en Q2 et des softs en Q3.

Interrogés le mois dernier, certains pilotes ont fait part de leurs inquiétudes quant à la mise en place de l'ATA à Imola en raison des basses températures habituellement observées sur le circuit. La course de l'année dernière a connu les températures les plus basses de la saison : La température ambiante n'a atteint que 14°C pendant le Grand Prix, alors que la surface de la piste n'a atteint que 18°C.

"J'espère qu'il ne fera pas froid à Imola. Sinon, ça va être assez délicat", a déclaré Max Verstappen.

Pirelli a réagi en sélectionnant sa gamme de pneus la plus tendre pour Imola cette année. Les spécifications C3 et C4 seront utilisées ainsi que le C5, qui est plus tendre d'un étage que celui utilisé l'année dernière.

Je vais ici essayer de vous expliquer l'arme secrète de Red Bull Racing, son DRS...C'est très technique, donc, j'espère que vous comprendrez, si quelqu'un a une synthèse plus facile à comprendre, soyez mon invité !


Le DRS de Red Bull fait l'envie de tout le paddock de la F1 depuis le début de l'année, mais comme l'explique Paolo Filisetti, analyste technique de RacingNews365, Ferrari tente de reproduire le formidable package aérodynamique de Red Bull.

Au niveau aérodynamique, il est devenu évident que l'interaction entre l'activation du DRS et le diffuseur de la voiture est cruciale. Les autres équipes comprennent désormais que le diffuseur se bloque à la vitesse maximale en ligne droite, le seuil d'activation variant en fonction de la configuration aérodynamique de la voiture - forte, moyenne ou faible force d'appui.

Le seuil est inversement proportionnel à la force d'appui générée par la configuration adoptée. En gros, le seuil varie d'environ 230 km/h avec la configuration à charge maximale à environ 260 km/h avec la configuration à faible charge. Cependant, un autre facteur important semble être le profil des canaux de diffusion, en particulier leur section.

Et bien voilà on peut mourir maintenant on sait tout, non sérieux bravo Bro et Adrian qui aura compris plus vite que les autres ce que l'effet "bulbe" pouvait apporter à sa voiture..

Clousot a écrit:

Et bien voilà on peut mourir maintenant on sait tout, non sérieux bravo Bro et Adrian qui aura compris plus vite que les autres ce que l'effet "bulbe" pouvait apporter à sa voiture..

Personne ne veut mourir, baraki va !  

Oui, ce n'est pas évident à comprendre, j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois (en faisant la traduction), et même là, cela reste quand même relativement complexe, non ?

Et comment que c'est complexe surtout en terme technique à traduire, bravo.

La FIA a autorisé Pirelli, le fournisseur officiel de pneumatiques de la Formule 1, à introduire une nouvelle spécification de pneus pour des raisons de sécurité.

Cette nouvelle spécification sera mise à la disposition de toutes les équipes pour qu'elles la testent lors du Grand Prix d'Espagne le mois prochain. Pirelli a l'intention d'introduire les pneus révisés lors du Grand Prix de Grande-Bretagne en juillet.

Mario Isola, responsable du sport automobile chez Pirelli, a déclaré que ce changement était nécessaire en raison des performances accrues des voitures de cette année, qui mettent la gomme à rude épreuve.

"Nous avons vu à quel point les voitures 2023 sont plus performantes que l'année dernière lors des premières courses de la saison, et ce grâce à l'extraordinaire rythme de développement dont font preuve les dix équipes", a déclaré M. Isola. "À Miami, par exemple, le temps de la pole était près de deux secondes plus rapide que l'année dernière, mais le même type de progrès a été observé pendant les courses".

"La nouvelle spécification contient des matériaux que nous avons déjà développés pour 2024, qui rendront les pneus plus résistants sans affecter les autres paramètres techniques ou leur comportement sur la piste".

L'annulation du Grand Prix de Formule 1 d'Émilie-Romagne a laissé un vide inattendu dans le calendrier et a retardé la révélation de certaines améliorations très attendues.

Bien que nous devions attendre quelques jours de plus pour voir certaines de ces nouvelles pièces en chair et en os, cette pause nous donne au moins l'occasion de réfléchir à certains des développements intéressants observés depuis le début de la saison.

Voici une sélection des meilleures images techniques des cinq premières courses de l'année, avec l'aimable participation de Giorgio Piola et de Sutton Images :

Bahreïn : Alfa Romeo a appliqué à Bahreïn une solution inaugurée par Mercedes en 2022, le constructeur suisse cherchant à affiner les structures de flux à l'avant de la voiture et à améliorer les performances en aval.



Bahreïn : Une caractéristique intéressante de l'Alpine A523 est la sculpture de la partie inférieure de la plaque d'extrémité de l'aileron arrière. La réglementation dans cette zone de la plaque d'extrémité visait à interdire les différents types de dispositifs aérodynamiques qui ornaient cette section.

Magnifique et tout bonnement surprenant je trouve..

Cette étonnante pratique qui reviendra en F1 en 2026 !

Belle photo !

La réglementation moteur 2026 passera par le retour d'une pratique qui peut surprendre, consistant à brûler un excès de carburant.

Dans le cadre de la future réglementation moteur 2026, une pratique déjà vue en Formule 1 pourrait faire son retour. Alors que les écuries continuent leur développement pour préparer cette future échéance, elles ont commencé à en découvrir certaines étrangetés directement liées à la performance. L'une d'elle est de voir à nouveau les pilotes se livrer à une combustion de carburant pour recharger leurs batteries.

Cette pratique consiste à brûler délibérément un excès de carburant qui n'est pas nécessaire aux performances directes du moteur. Elle est devenue tristement célèbre en 2006 et 2007, lorsque les pilotes bouclaient plusieurs tours pour consommer du carburant en fin de qualifications afin de réduire le poids de leur monoplace avant un dernier tour en pneus neufs.

La réglementation 2026 ouvre la voie à une plus grande dépendance à l'égard des batteries, puisque 50% de l'énergie sera produite par la partie électrique de l'unité de puissance. Les écuries cherchent donc des moyens de les recharger, et un procédé simple serait de faire en sorte que le moteur continue de fournir du couple au vilebrequin afin que l'énergie puisse être récoltée par le MGU-K même quand le pilote n'en a pas besoin. Pour cela, le pilote peut soit rester à fond sur l'accélérateur au moment du freinage, soit rétrograder en ligne droite, soit utiliser les cartographies moteur. Quelle que soit la méthode employée, la pratique consistant à brûler du carburant va faire son retour.

En 2026, les F1 ne seront plus dotées du MGU-H tout en s'équipant de batteries à la puissance accrue. Les caractéristiques des unités de puissance pourraient donc considérablement évoluer par rapport à ce que l'on connaît aujourd'hui.


La disparition du MGU-H permettra également de remplir un autre objectif, à savoir celui d'augmenter le volume sonore des moteurs turbo hybrides dans deux ans et demi.

Le MGU-H est un système hybride qui convertit les gaz d'échappement du moteur en énergie électrique pour augmenter la puissance du moteur. Il s'agit de l'un des six principaux composants du moteur turbo hybride V6 de 1,6 litre, communément appelé unité de puissance F1, introduit en Formule 1 en 2014. MGU-H signifie "Motor Generator Unit Heat" (unité moteur-générateur-chaleur).

Ici, la photo est cool, ou plutôt un "Print Screen" genre, j'ai un soft. pour ça, ha ! :smiley_happyg:



La page d'accueil ! Sympa...

J'arrête le cours, en F1, mais n'empêche, j'ai trouvé l'article intéressant...

Oh que oui très intéressant  
En même temps "brûler du carburant pour recharger les batteries" va réveiller les écolos du coin, ils ne leur faut déjà rien...

Malgré les efforts réalisés par la FIA, plusieurs pilotes estiment que la visibilité sous la pluie n'a fait que se réduire au cours des dernières années.

Alors que le sujet du pilotage sous la pluie et de ses dangers a été remis à l'ordre du jour avec l'accident mortel de Dilano van 't Hoff lors d'une récente course à Spa disputée dans des conditions similaires à celles du week-end F1, beaucoup de pilotes ont estimé que les problèmes de visibilité étaient toujours aussi importants.

"J'étais en quatrième dans la ligne droite, même pas à plein régime, et je ne voyais pas le feu de George Russell devant moi", a déclaré Daniel Ricciardo.

Nico Hülkenberg a indiqué que les projections n'avaient fait qu'empirer depuis l'introduction de la génération de monoplaces actuelle, en 2022. "Je dirais que ces voitures à effet de sol ont aggravé la situation. Je n'ai jamais connu une telle situation", a déclaré le pilote Haas. "Il y a beaucoup de tâtonnements sous la pluie et on ne fait que chercher les feux clignotants. Mais à un moment donné, les projections deviennent tellement épaisses qu'on ne les voit plus."

Esteban Ocon a estimé que la FIA avait pris la bonne décision en essayant d'éliminer autant d'eau que possible avant de donner le départ officiel du sprint, mais le pilote Alpine est resté mécontent du niveau de visibilité, même si la piste était prête pour les pneus intermédiaires.

Pierre Gasly aussi a émis des réserves sur le fait que le sprint de Spa-Francorchamps ait eu lieu sur piste humide, avec des projections d'eau réduisant la visibilité des pilotes.

"Je n'y voyais rien", poursuit celui qui s'est rapidement hissé au troisième rang derrière Verstappen (course sprint) et Piastri pour s'y maintenir jusqu'à l'arrivée. "Si Oscar ou Max avait été au milieu de la ligne droite, je l'aurais percuté direct. Je n'y voyais même pas à dix ou vingt mètres devant moi, et même quand nous mettions tous les pneus en température… Je croisais les doigts. Je ne me sentais pas en sécurité."

Verstappen a cependant précisé qu'il comprenait parfaitement l'opinion de Gasly, estimant que les projections d'eau "sont devenues pires que quand j'ai commencé en F1. Parfois, aujourd'hui, je ne voyais pas la voiture de sécurité, et j'étais la première voiture. Elle n'est même pas une F1. Alors si nous voulons vraiment nous débarrasser de ce problème, nous ne pouvons actuellement pas courir sur piste humide si nous voulons une bonne visibilité."

Je ne vois personnellement pas vraiment de solution à ce problème.

La pluie fait partie de la F1 depuis qu'elle existe, elle à toujours été synonyme de danger, mais a toujours été acceptée, alors que faire ? Interdire les courses sous la pluie - on tue un des gêne de la F1, non ?