Le coin des ce qu'ils ont dit...

yoh a écrit:

Blutch a écrit:

Clousot a écrit:

Ces multi champions d'une écurie sont déboussolés après leurs années fastes.
Si en plus on les sert mal c'est carrément la bérézina.

Complètement "déboussolés", tu as raison, on ne reconnaît pas Seb, et je crois qu'il ne cherche pas vraiment à cacher sa lassitude, d'ailleurs, il ne se coiffe plus, ne se rase plus...enfin...

Pour revenir aux jeunes : Carlos Sainz suggère un calendrier tournant en F1...

Le bom de la popularité de la Formule 1 ces dernières années a vu un certain nombre de nouveaux sites désireux de faire partie du Championnat du monde.

L’année dernière, la F1 a annoncé qu’elle se rendrait à Miami à partir de 2022, tandis qu’en 2023, le sport aura une course le samedi soir à Las Vegas. L’Arabie saoudite et le Qatar ont également signé des accords à long terme pour faire partie du calendrier de la F1.

L’accord Concorde de la F1, qui court jusqu’en 2025, stipule qu’un maximum de 24 courses peuvent avoir lieu au cours d’une saison, ce qui signifie que certains Grands Prix arrivant en fin de contrat devraient être abandonnés afin de faire de la place pour de nouvelles destinations. Alors que Carlos Sainz reconnaît que la Formule 1 est un business, l’Espagnol a mis en garde contre le fait de voir les courses européennes historiques disparaître à jamais du calendrier.

"Je pense qu’il doit y avoir une limite au nombre de courses que nous continuons d’ajouter, donc à la fin, d’autres courses vont payer le prix de devoir rester à l’écart. Évidemment je suis un grand fan d’aller à Miami et à Las Vegas, mais en même temps, c’est une grosse perte d’avoir à perdre des courses européennes classiques", a déclaré Sainz.

"Je ne voudrais pas arrêter de courir en Europe. Je pense que c’est un endroit formidable pour faire de la course, c’est là que se trouve notre héritage et je pense que nous devons continuer à revenir, même si ce n’est pas chaque année, mais au moins, les garder dans le calendrier".

Ca fait déjà bien longtemps que j'ai eu cette idée mais Bernie ne m'avais pas écouté il préférais n'en faire qu'à sa tête espérons que liberty écoute Carlos.

Ben tiens !

En 2021, première saison de Sergio Perez chez Red Bull aux côtés de Verstappen, il était très rare que Perez se rapproche du rythme de Verstappen, notamment sur un tour.

Cette fois-ci cependant, Perez a surclassé Verstappen en Arabie saoudite, décrochant la pole pour la première fois de sa carrière, alors que Verstappen n'a réussi qu'à obtenir la P4 sur la grille.

Mais, plutôt que Perez trouve soudainement un sacré morceau de performance, Marko, le responsable du programme pilote de Red Bull, estime que le changement de niveau de performance est davantage dû au fait que le style agressif de Verstappen au volant n'est pas optimal pour ces nouvelles réglementations.

"Perez est beaucoup plus en contact avec Max que ce n'était le cas en 2021", a déclaré Marko à F1-Insider.

"L'explication la plus simple à cela est que les nouvelles voitures avec moins de downforce conviennent mieux à certains pilotes et moins à d'autres".


"En Australie, il était plus proche, mais il a été malchanceux avec le drapeau rouge et plus tard avec le volant. Checo est très heureux avec les réglages de la voiture".

"Max trouve ça encore plus difficile. Il n'a pas encore trouvé le bon équilibre et, par conséquent, il n'a pas une confiance totale dans la voiture. Son style de conduite agressif ne convient pas tout à fait aux nouvelles voitures."

Marko sait que Red Bull a du pain sur la planche si elle veut rattraper Ferrari, mais il a expliqué à Verstappen que la saison est longue et qu'il y a encore beaucoup de points à prendre.

Putain qu'il est vilain quand même le Max, non ?  


"Je ne suis pas un fan du sprint", a admis Verstappen hier. "C'est ce que c'est. Certains l'aiment, d'autres non".

Après l'avoir testé lors d'un trio de manches la saison dernière, la F1 organise des sprints lors de trois autres événements cette année, à partir de ce week-end. Mais bien qu'elle ait modifié le format, la F1 n'a pas conquis le champion du monde, et d'autres pilotes considèrent que des améliorations sont encore possibles.

Charles Leclerc dit qu'il apprécie le raccourcissement des épreuves de sprint le vendredi, avec une seule séance d'essais avant les qualifications. Mais il estime que la course de sprint ne devrait pas décider de la grille de départ du grand prix, comme c'est le cas actuellement.

"J'aime assez le vendredi, pour être honnête, juste parce qu'un vendredi normal est normalement assez ennuyeux", a-t-il déclaré. "Nous avons EL1, EL2, EL3, beaucoup d'essais. Maintenant, c'est droit au but, donc j'aime bien ça".

"Ensuite, pour le samedi, je pense que nous pourrions faire quelque chose de mieux. Peut-être avoir une course autonome qui n'affecte pas la course du dimanche, pour avoir un peu plus d'action le samedi et que les gens prennent un peu plus de risques".

Son coéquipier chez Ferrari, Carlos Sainz Jnr, a la même critique sur le format de la course de sprint. "Je suis d'accord avec Charles sur l'idée du sprint", a-t-il dit. "C'est quelque chose dont nous discutons avec la FOM et la FIA pour peut-être pimenter un peu le week-end de sprint."

Moi j'aime bien, ça ajoute du piment au w.e. je trouve...

Belle victoire de Max et de Charles en P2 puis Perez et Sainz voici les forces en présence pour demain.
Si la fiabilité et la confiance reviennent chez RBR ce sera un beau GP sans Safety Car j'espère.

Clousot a écrit:

Belle victoire de Max et de Charles en P2 puis Perez et Sainz voici les forces en présence pour demain.
Si la fiabilité et la confiance reviennent chez RBR ce sera un beau GP sans Safety Car j'espère.

Ça le sera, un beau GP, paries ?

Brawn n'est pas impressionné par la critique de Russell sur la course de sprint "processionnelle".

Le directeur du sport automobile de la Formule 1, Ross Brawn, a déclaré que les opinions des pilotes de tête sur les courses de sprint importaient davantage après que George Russell ait qualifié l'événement d'aujourd'hui de "processionnel".

Brawn a déclaré que la première course sprint de 2022 a justifié la décision de maintenir le format pour une année supplémentaire. Il estime que le choix des pneus s'est avéré "parfait" pour la course de 21 tours.

"La chose intéressante est que cela a probablement donné à Ferrari un bon aperçu pour demain. Donc je pense qu'ils seront plus forts en course demain que ce qu'ils étaient aujourd'hui".

"Nous sommes donc très satisfaits de cette course de sprint. Un grand divertissement, beaucoup de compétition, beaucoup de dépassements. Nous avons démontré que les voitures peuvent suivre. Je sais que vous pouvez dire, eh bien, c'était le DRS, mais vous ne pouvez pas utiliser le DRS à moins d'être à l'arrière de la voiture. Donc je pense que dans l'ensemble, c'était un grand succès".

Cependant, Russell, qui a terminé hors des points en 11ème position, a déclaré qu'il n'avait pas apprécié la course. "Je ne sais pas à quoi ressemblait le reste de la course, mais cela semblait processionnel de là où nous étions", a-t-il déclaré.


(ben oui, c'est comme ça quand tu roules dans un cageot ! :Rolling: )

"Chaque fois que mon pilote a eu une mauvaise voiture, il s'est plaint de la course", a-t-il déclaré. "Donc je pense que l'opinion de George ou l'opinion de quiconque en fond de grille ne sont pas les opinions que nous écoutons vraiment". (et toc ! )

J'ai vu sur "Sky" un interview de Russel après la course sprint, le gars n'est pas content du tout de Mercedes...

Georges ni personne d'autre n'aurait pu prédire une déconfiture pareille chez Merco.
Il avait plus de chance de rester chez Williams pour le coup.

quand même pas mais pas loin

George Russell a expliqué après le Grand Prix d'Émilie-Romagne 2022 qu'il souffrait physiquement de plus en plus du marsouinage provoqué par les monoplaces de nouvelle génération.

Avec le retour à des Formule 1 conçues autour de l'effet de sol, le phénomène quelque peu oublié de marsouinage a également connu une résurgence. Si la plupart des écuries ont réussi à le contrôler ou, au moins, à le réduire, il demeure toutefois présent et visible. Mercedes fait partie des constructeurs les plus touchés, à tel point qu'il juge que le rebond à haute vitesse l'empêche d'exploiter le plein potentiel de sa W13.

Au-delà des compromis techniques qu'il faut faire pour tenter de maitriser le marsouinage et qui portent atteinte à la performance, George Russell a pour sa part reconnu qu'il commençait à en souffrir physiquement. Au sortir de l'épreuve d'Imola, dont il a rallié l'arrivée en quatrième position, le Britannique a même estimé que ce n'était pas "tenable" pour les pilotes.

"Lorsque la voiture et les pneus sont dans la bonne fenêtre de fonctionnement, la monoplace – en dehors du marsouinage – est vraiment agréable à piloter. Mais le rebond, ça vous coupe vraiment le souffle. C'est le plus extrême que j'ai jamais ressenti."

"J'espère vraiment que nous trouverons une solution et j'espère que toutes les équipes qui se battent avec ce rebondissement trouveront une solution, parce que ce n'est pas tenable pour les pilotes de continuer comme ça. C'est le premier week-end où j'ai vraiment souffert du dos, et quasiment de douleurs à la poitrine à cause de la violence des rebonds. Mais c'est ce qu'il faut pour faire des tours rapides."

Je peux m'imaginer que ce ne doit pas être agréable, quand on vois leur tête...

Ce qui est sûr, c'est que c'est la conception même de la nouvelle voiture par la FIA qui a provoqué ce phénomène que l'on retrouve dans toutes les voitures sans exception.
Ce sont les ingés les plus inventifs comme Adrian qui parviennent à comprendre et corriger comme ils peuvent ce phénomène.

J'avoue que je ne comprend pas comment aucun ingénieur n'avait prévu le coup alors que ce phénomène était déjà apparu lors de l'époque des wing-cars !
Rappelez-vous les voitures qui provoquaient des gerbes d'étincelles !

Les gerbes d'étincelles sont provoquées sciemment pour le spectacle et aussi lorsque une partie bien précise du fond plat (bardé de fer) touche le sol en phase de compression.
Le phénomène de rebonds est propre au nouveau chassis 2022 mais pas si facile à contourner.

dom465 a écrit:

J'avoue que je ne comprend pas comment aucun ingénieur n'avait prévu le coup alors que ce phénomène était déjà apparu lors de l'époque des wing-cars !
Rappelez-vous les voitures qui provoquaient des gerbes d'étincelles !

Salut Dom !

Ah non, tiens, je ne me souviens pas...C'est vrai que c'est étonnant que les ingénieurs n'aient pas, ou mal prévu ça...

Clousot a écrit:

Les gerbes d'étincelles sont provoquées sciemment pour le spectacle et aussi lorsque une partie bien précise du fond plat (bardé de fer) touche le sol en phase de compression.
Le phénomène de rebonds est propre au nouveau chassis 2022 mais pas si facile à contourner.

Les étincelles qui sortent des F1 sont dues aux blocs de protection en titane intégrés dans le fond plat située sous la voiture. Les forces aérodynamiques font jaillir des étincelles du titane lorsque les voitures sont comprimées sur la piste à grande vitesse.

Des patins en titane étaient utilisés auparavant dans les années 80 et 90. Pour distraire les pilotes derrière lui, Nigel Mansell avait

l'habitude de trouver des bosses sur la piste pour produire des étincelles, sacré Mansell !

Le pilote espagnol s’est mouillé à propos de la situation de Lewis. Il estime "qu'il n’y a pas moyen de se battre" contre Ferrari ou Red Bull

Fernando Alonso a parlé de la situation compliquée dans laquelle se trouve Lewis Hamilton cette saison. L’Espagnol, après un GP en Émilie-Romagne dans lequel Lewis a terminé treizième, affirme que le Britannique est encore à un très bon niveau… mais "que c’est ça la Formule 1".

Fernando est bien conscient de la situation dans laquelle se trouve Lewis. Tous deux ont eu des voitures pour remporter des titres par le passé, mais cette année – dans le cas du double champion espagnol, ces dernières années – ils sont enfermés dans une bataille pour prendre la tête du peloton de chasse plutôt que de se battre avec Ferrari ou Red Bull.

Pour Alonso, la définition parfaite de la Formule 1 se trouve dans ce qui est arrivé à Hamilton : passer de la proximité du titre lors de la dernière course en 2021 à la lutte pour être le "meilleur des autres" en quelques mois seulement.

Selon Fernando, Hamilton est toujours à un bon niveau, mais il n’a pas la voiture pour gagner.

"C’est la Formule 1. Cela a toujours été comme ça", a commenté Fernando Alonso sur la situation de Lewis Hamilton, selon le média néerlandais Racing News 365. "Quand Senna a gagné des courses et des titres, il avait la voiture la plus rapide. Quand j’ai gagné le championnat, j’avais la voiture la plus rapide. Michael avait la voiture la plus rapide. Lewis a battu tous les records parce qu’il avait la voiture la plus rapide. Maintenant, Lewis conduit très bien et il est 13ème. C’est la Formule 1, il faut vivre avec", a-t-il ajouté.

D’autre part, le pilote Alpine a voulu souligner que, malgré le changement de règlement, les équipes du groupe intermédiaire ne peuvent pas se battre avec Ferrari ou Red Bull – comme cela s’est produit l’année dernière avec Mercedes et Red Bull.

"Il n’y a pas de course pour le moment. C’est comme se battre avec Lewis l’année dernière, ou Verstappen. Ils partent dernier et finissent sur le podium, donc il n’y a pas beaucoup de chances", a conclu Fernando Alonso.

C'est vrai qu'en dehors de RBR et Ferrari, il n''y a pas photo cette année, tellement ces 2 équipes sont dominantes...

Bien dit Nando!

C'est le futur mais rapproché et ça confirme l'intérêt des allemands reconnus pour la F1.

Ha, je suis mort de rire, c'est évident !



Gerhard Berger pense que George Russell va bientôt commencer à agacer son coéquipier chez Mercedes, Lewis Hamilton.

Jusqu'à présent, la dynamique entre Russell et Hamilton est restée très positive, mais Berger estime que cela pourrait bientôt commencer à changer.

"Il va bientôt agacer Lewis", prédit Berger, cité par Speedweek.com.

"Russell était l'un des pilotes exceptionnels à Imola. Comme Lando Norris et Max Verstappen."

Russel est un clou pour Lewis, en plus d'avoir une voiture ratée il est crucifié par Georges qui n'en demandait pas tant.

Clousot a écrit:

Russel est un clou pour Lewis, en plus d'avoir une voiture ratée il est crucifié par Georges qui n'en demandait pas tant.

C'est maintenant Lewis qui a prit le rôle de Bottas !?

Blutch a écrit:

Clousot a écrit:

Russel est un clou pour Lewis, en plus d'avoir une voiture ratée il est crucifié par Georges qui n'en demandait pas tant.

C'est maintenant Lewis qui a prit le rôle de Bottas !?

Pas mal celle là, Louise sur les trace de son Bottas de soldat, bravo Renaud 

En marge du Grand Prix de Miami, l’ancien champion du monde de Formule 1 Damon Hill a tenu à mettre en garde Charles Leclerc après sa coûteuse erreur d’Imola.

Leader du championnat, Charles Leclerc a laissé échapper 19 points à Max Verstappen à Imola. Cela a permis au pilote néerlandais de se replacer dans la course au titre après avoir enduré deux abandons lors des trois premiers Grands Prix.

Pour Damon Hill, le pilote monégasque ne peut déjà plus se permettre la moindre erreur cette saison s’il veut avoir une chance de remporter la couronne face à son rival néerlandais.

"Charles avait l’opportunité d’accroître son avance sur Max à Imola et il l’a gâchée, commente Hill. Sa manœuvre était trop ambitieuse, il a été trop gourmand. Lorsqu’il a commencé à tourner, j’ai tout de suite vu qu’il en faisait trop, et cela s’est payé cash…"

"Ce n’est pas moi qui pilotais, je n’étais même pas dans la voiture mais je pouvais le voir à la télévision qu’il sur-conduisait. J’ai tout de suite compris que ça n’allait pas passer, et une fraction de seconde plus tard il était en tête-à-queue".

"Il s’est sans doute dit qu’il allait attaquer en passant sur le vibreur, mais c’était trop ambitieux. Il n’aurait pas dû prendre tant de risques. Ce sont des choses que vous ne pouvez pas vous permettre en tant que pilote de pointe, encore moins quand vous vous battez pour le titre. J’espère qu’il aura appris la leçon". (il a dit que c'est une erreur qu'il ne fera plus !)

Leclerc arrive à Miami, cinquième manche du championnat du monde 2022 de Formule 1, avec une avance de 27 points sur Verstappen.

Quand même, 27 points, ça demeure beaucoup...

27 points d'avance c'est quelque chose en effet mais il en faut tellement peu pour en perdre beaucoup et notre Damon l'a vu tout de suite, Charles Leclerc a joé avec son feu et il a perdu ou il s'est brûlé diront nous.
Certes, c'est la course et les pilotes sont des hommes avec des sentiments, des envies de défendre leurs avances mais c'est là que le piège se trouve et qu'il est implacable.

Que ce soit pour Charles ou pour Max c'est d'abord la voiture à épargner (la fiabilité, l'accident stupide) et puis les points à conforter.
Miami ne sera pas un circuit béni "oui oui", que du contraire, il réservera son lot de surprises car il est nouveau donc inconnu de tous. Adviendra donc ce qu'il devra.

Esteban Ocon s’est peut-être fait de nouveaux ennemis auprès de Fernando Alonso et de la direction d’Alpine. L’Espagnol n’a pas marqué de points en raison de deux pénalités qui ont transformé sa huitième place en onzième. L’équipe française a essayé d’aider le double champion en utilisant le Normand comme stoppeur, mais il a refusé sur le moment.

Fernando Alonso a reçu une pénalité de cinq secondes pour avoir poussé Gasly hors de la piste. Après la voiture de sécurité causée par Norris, la grille était compacte, donc l’Espagnol avait moins de dix tours pour essayer de creuser un écart de cinq secondes et éviter de perdre des positions.

A ce stade de la course, son coéquipier Esteban Ocon était juste derrière lui. Alpine a demandé par radio au Français de ralentir son rythme, et celui de ses rivaux, afin que l’Espagnol puisse creuser cet écart de cinq secondes.

Cependant, le Français a désobéi aux ordres de l’équipe et n’a pas tout de suite accepté de le faire. « Je ne peux pas le faire. Ils vont me dépasser », a crié l’ancien de Force India à la radio de l’équipe. Il s’est pourtant renseigné tout au long des derniers tours pour savoir si l’écart était suffisant pour permettre à son coéquipier d’éviter la pénalité. Il a également expliqué qu’il risquait de se faire doubler s’il ralentissait.

Ces détails semblent avoir échappé à la presse espagnole qui souligne que Fernando Alonso avait un esprit d’équipe depuis son retour en Formule 1. Elle insiste sur le fait qu’Alonso a obéi à l’équipe lors du Grand Prix du Brésil lorsque l’équipe française lui a demandé d’aider son coéquipier.

En outre, Alonso a également retenu Lewis Hamilton le plus longtemps possible lors du GP de Hongrie afin qu’Esteban Ocon puisse remporter sa première victoire en Formule 1. Un travail d’équipe auquel le pilote français ne semble pas vouloir se joindre, toujours selon la presse espagnole.

Cette séquence, associée à l’affrontement entre les deux hommes lors du GP d’Arabie de cette saison, pourrait déclencher des tensions entre les deux coéquipiers. Des tensions qui ont déjà été senties lors du GP des Pays-Bas l’année dernière, lorsque le Français s’est plaint de l’Espagnol à la radio, affirmant qu’il était "plus lent que lui".

Et aussi au GP du Mexique, lorsque le Français l’a blâmé pour un accident sur la piste.

Il y a de l'eau dans le gaz !

Et allezzzzz 

Horner "craint" la vitesse de Ferrari dans les courbes rapides pour Barcelone (hé, hé, hé... :Evil laugh: )(Nextgen)


Christian Horner estime que son équipe avait ainsi choisi les bons réglages en Floride, et il précise que la vitesse en ligne droite était un facteur essentiel au moment de concevoir cette monoplace répondant aux nouveaux règlements de la F1.

"Nous avions juste assez de vitesse de pointe pour défendre notre position. Je pense donc que nous avions choisi le bon équilibre en termes de réglages et de vitesse en ligne droite", a expliqué Horner.

Horner est en revanche méfiant pour la prochaine course qui aura lieu à Barcelone. Le directeur de Red Bull s’attend à ce que Ferrari y brille grâce à sa vitesse dans les virages rapides.

"Barcelone sera un tout autre défi. Il y a tous ces virages rapides, et Ferrari est très forte dans ce domaine."  :Clicking heels

Verstappen est maintenant revenu à 19 points de Leclerc après sa troisième victoire de la saison, mais Horner pense que le championnat se jouera durant les ultimes Grands Prix comme en 2021.

"Il reste encore beaucoup de chemin à parcourir. C’est très serré entre Ferrari et nous, et nous avons vu de très belles courses. Il y a beaucoup de respect entre Charles et Max. Ils aiment s’affronter, ça se voit."

"J’espérais ne pas avoir autant d’adversité que l’année dernière, mais nous sommes bien partis pour revivre la même chose."

Et crac, les 4 fers en l'air !