Lewis Hamilton

Clousot a écrit:

Lewis subit la méforme de Mercedes depuis 3 ans maintenant ce qui réduit ses possibilités de manière drastique.
Ferrari a germé dans sa tête comme une solution doublée d'un plantureux contrat, c'était une opportunité et il l'a saisie. Maintenant Lewis peut continué à "geindre" la F1 continuera son bonhomme de chemin comme ça. Il fait partie du décor et quel décor..

Tu as mille fois raison mon Clou, "possibilités réduites", et c'est dû à la voiture ?

Ce n'est pas une vilaine F1 !


Peut-être que en 2025 chez Ferrari il renaît...quoi ?

Et Lewis ne marquera pas à Melbourne, ça continue.

Lewis Hamilton a-t-il pris la "bonne décision" en rejoignant Ferrari ? C'est ce que pense un ancien patron d'écurie de F1.

L'ancien patron de Haas F1, Guenther Steiner, estime que Lewis Hamilton a pris la "bonne décision" en rejoignant Ferrari.

Alors que Mercedes connaît un début de saison difficile pour la troisième fois consécutive, l'ancien directeur de l'écurie Haas, Guenther Steiner, estime que Hamilton a pris la bonne décision.

"Il semble qu'il ai pris la bonne décision", a déclaré Steiner à Sky Sports News. "Il l'a fait lorsqu'il a quitté McLaren pour aller chez Mercedes, alors peut-être qu'il a pris la bonne décision cette fois-ci aussi".

"Mais je pense que pour lui, il s'agit surtout d'un nouveau défi. Il est dans l'équipe depuis 11 ans, il a gagné six championnats, il y a de bonnes relations".

"Je pense que c'est la dernière étape de sa carrière et qu'il veut un nouveau défi. Et évidemment, votre dernier défi étant Ferrari, c'est une bonne chose d'avoir l'opportunité de le faire".

Hamilton n'a pas gagné de course depuis le Grand Prix d'Arabie saoudite 2021 et n'a pas été en mesure de lutter pour un huitième titre mondial record depuis sa défaite controversée face à Max Verstappen il y a trois ans.

Mais Steiner ne mettrait pas Hamilton dans l'impossibilité d'atteindre le record et de mettre fin à la longue sécheresse de Ferrari pour un championnat du monde de F1 dans le processus.

"Je pense que rien n'est impossible. En 2026, il y aura de toutes nouvelles réglementations en matière de moteur et de châssis, donc les voitures seront entièrement repensées à ce moment-là", a ajouté Steiner.

"S'il a un peu de chance, s'il est au bon endroit et si Ferrari produit une bonne voiture, il est possible qu'il remporte son huitième championnat".

Oui, bon ce que Steiner pense...

Bien dit DC !


David Coulthard demande à Lewis Hamilton de "montrer le bon exemple" après ses récents propos concernant Mohammed Ben Sulayem.

En effet, notre David s'est revu comme le Bottas de Lewis et ne s'est pas privé de lui suggérer plus de diplomatie dans le rôle qu'il devrait assurer désormais.
Il est bon que Lewis prenne conscience de la chance qu'il a et n'en abuse pas.

Motorsport.com a appris que l'unité de puissance Mercedes de Lewis Hamilton tombée en panne lors du Grand Prix d'Australie ne pourrait pas être réutilisée cette saison, alors que l'équipe allemande a identifié la raison de la défaillance.

Finalement, Mercedes a conclu que le moteur ne pouvait pas être réintroduit dans le pool dont dispose Hamilton cette saison. L'équipe a découvert que l'abandon était dû à une défaillance de la partie inférieure du moteur, attribuée à un problème dans le processus de qualité plutôt qu'à un problème spécifique dans la conception.

La perte d'un des quatre moteurs à la disposition de Hamilton à un stade aussi précoce de la saison devrait probablement se traduire par l'utilisation d'un cinquième élément plus tard dans l'année, et donc par une pénalité sur la grille de départ. L'analyse des autres moteurs du pool de Hamilton et de George Russell n'a montré aucune inquiétude quant au risque de répétition du problème de Melbourne.

Malgré les difficultés rencontrées lors des premières courses de 2024, Hamilton reste optimiste quant à la capacité de Mercedes à renverser la vapeur. "Je pense que tout est une question de perspective", explique-t-il. "Pour nous, bien sûr, nous n'avons pas commencé la saison comme nous le souhaitions mais nous avons encore un long chemin à parcourir."

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Lewis Hamilton n'était pas dans les meilleures dispositions après le Grand Prix du Japon, s'emportant contre un journaliste lorsque le sujet de Ferrari a été abordé.

Parti de P7 lors de la course de Suzuka, Hamilton a franchi la ligne d'arrivée en P9, laissant même volontairement passer son coéquipier George Russell, qui a terminé un peu moins de trois secondes plus loin, en P7.

Hamilton n'était donc pas heureux cette fois-ci, comme l'ont constaté les médias lorsqu'ils ont essayé de lui arracher une phrase après la course.

Après une simple évaluation de sa course, un journaliste a tenté d'y mêler le prochain transfert d'Hamilton chez Ferrari, ce qui n'a pas été très bien perçu. En fait, cela a poussé Hamilton à partir, mais pas sans commentaire.

Le journaliste lui a demandé : "Êtes-vous impatient d'être avec Ferrari ? Parce qu'ils sont plus rapides ?" Ce à quoi Hamilton a répondu : "Avez-vous des questions moins c*nnes ?"

Comme Hamilton n'est pas resté dans les parages, le journaliste ne connaîtra probablement jamais la réponse, mais il est clair que le septuple champion du monde n'avait aucune envie de s'attarder sur cette course.

Clousot a écrit:

Il sera un peu plus riche que d'habitude mais pour le reste il en connaîtra des vertes et des pas mûrs comme l'on dit.

Ça ne sera certainement pas facile pour Hamilton, déjà, il est anglais...un anglais chez les italiens ? Hummm, j'ai des doutes !

On va rigoler !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Alain Prost avoue se poser beaucoup de questions quant à la collaboration entre Lewis Hamilton et Ferrari la saison prochaine.

Pas forcément si surpris par le choix de Lewis Hamilton de rejoindre Ferrari en 2025, Alain Prost admet en revanche se poser de nombreuses questions quant au succès de cette alliance inédite. Le Français ne cache pas la curiosité qui le pique, s'interrogeant sur la validité de ce choix, tant pour le septuple Champion du monde que pour la Scuderia.

"Je peux comprendre sa décision, parce que lorsque tu es dans une écurie comme Mercedes, avec qui tu n'as pas gagné de Grand Prix depuis deux ans et qui a du mal à revenir aux avant-postes, à son âge, il se dit 'OK, pourquoi ne pas essayer quelque chose de différent ?'", explique Alain Prost dans les colonnes de "Sports Illustrated". "Je ne suis pas sûr qu'il ait eu la possibilité d'aller chez Red Bull, en tout cas pas avec Max Verstappen, c'est certain, ce n'était pas possible."

"Après, il y avait Ferrari, surtout avec le changement de réglementation en 2026. Ça ne laisse qu'une année, en 2025, pour s'installer dans l'équipe. Après 2026, il aura 42 ans, peut-être même 43, donc ce sera une autre histoire. Mais je peux comprendre qu'il ne veuille pas arrêter de courir. La question est de savoir si c'est une bonne décision. Est-ce que ce sera un bon choix ? Et on peut aussi se poser la question pour Ferrari." (ce qui rejoins ce que nous pensons...)

Selon Alain Prost, les critères qui définiront la réussite ou l'échec de la collaboration entre Lewis Hamilton et Ferrari sont multiples et il ne faut surtout pas les sous-estimer.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Il y a de cela deux mois, Lewis Hamilton faisait trembler le monde du sport automobile en annonçant son transfert inattendu chez Ferrari.

Mais 2025 n'arrivera pas de suite. Avant cela, le septuple Champion du monde devra courir encore quelques Grand Prix sous les couleurs de Mercedes, avant de troquer l'argent pour le rouge.

il faudra à un moment amorcer la transition de Hamilton chez Ferrari, notamment par rapport au caractère confidentiel de certaines données et détails concernant la prochaine monoplace de Mercedes. Une situation délicate mais pas nouvelle pour le pilote de 39 ans, qui avait vécu quelque chose de similaire lors de son changement d'écurie en 2012, arrivant à Brackley en provenance de McLaren.

Hamilton se questionne donc sur la manière dont les choses se passeront et comment elles seront amenées, que ça soit avec Mercedes ou avec Ferrari.

"Je pense que cela commencera par une conversation avec Toto, parce que je ne sais pas comment traverser cette situation.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Je n'ai jamais été dans cette position à ce stade de l'année", déclare l'Anglais. "Lorsque j'ai quitté McLaren, c'était vers la fin de la saison. Je ne suis allé chez Mercedes qu'en décembre, je crois, lorsque j'ai eu mon premier ajustement de baquet, après la fin de la saison. Je ne sais pas encore comment je vais m'y prendre pour cette saison".


Il commence à vaciller notre Louise !   Les doutes ne ferons que s'amplifier je crois, et ce mettre Ferrari dans la poche, c'est pas gagné ! Ha !

Dites à Louise qu'en motoGP il y a Marc Marquez qui s'est retrouvé dans cette position avec Honda.
On ne quitte pas une équipe de renommée mondiale sans subir une certaine retenue d'informations.
A un moment donné le pilote "migrant" doit être écarté du futur de son ex écurie et c'est bien normal.

Clousot a écrit:

Dites à Louise qu'en motoGP il y a Marc Marquez qui s'est retrouvé dans cette position avec Honda.
On ne quitte pas une équipe de renommée mondiale sans subir une certaine retenue d'informations.
A un moment donné le pilote "migrant" doit être écarté du futur de son ex écurie et c'est bien normal.

Yep !

Deuxième sur la grille de départ du Sprint au Grand Prix de Chine, Lewis Hamilton était ravi d’avoir réussi à éviter tous les pièges d’une séance de qualifications chaotique ce vendredi à Shanghai avec l’arrivée de la pluie en SQ3.

Alors que la pluie commençait à tomber à la fin de la SQ2, les pilotes qualifiés en SQ3 ont été confrontés à des conditions particulièrement piégeuses sur un tout nouvel asphalte très glissant. Mais Lewis Hamilton a fait partie de ceux qui ont réussi à garder leur monoplace sur la piste et le Britannique a signé le deuxième temps de la séance derrière la McLaren de Lando Norris.

"Les conditions étaient très difficiles. Il n’y avait pas beaucoup d’adhérence", a déclaré le pilote Mercedes après la séance de qualifications Sprint ce vendredi en Chine.

"Mais c’était pour tout le monde la même chose comme vous avez pu le voir. Donc oui, je suis tellement heureux. En fait, dès que j’ai vu la pluie arriver, j’étais excité, car naturellement, sur le sec, nous ne sommes pas assez rapides".

"Alors, quand la pluie est arrivée, j’ai en quelque sorte pensé que j’allais avoir une meilleure opportunité, et c’est à ce moment-là que tout a pris vie".

Concernant ses chances de remporter le Sprint ce samedi en partant depuis la première ligne, Hamilton pense que tout dépendra une nouvelle fois de la météo : "Cela dépend vraiment des conditions. Si c’est comme ça la pluie, alors peut-être que nous aurons une chance d’être quelque part là-haut".

"Je pense que si le temps est sec, les Ferrari et les Red Bull passeront naturellement, et peut-être que nous pourrons retenir certains des autres".





Comme je l'ai déjà dis, ça va être deux courses intéressantes ! Yahooouuu...  

Et notre Lewis qui espère la pluie pour peut être gagner.
Ca ressemble un rien à un aveu d'échec pour sa voiture sur le sec. 

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Le pilote Mercedes s'est assuré un départ en première ligne pour la course sprint lors d'une séance de qualification sprint sur le mouillé et a mené les premiers tours de la course du samedi matin avant d'être rattrapé par le vainqueur final Max Verstappen.

Mais il a ensuite apporté des modifications importantes à la configuration de sa voiture entre la course sprint et les qualifications du Grand Prix samedi soir. Quoi qu'il ait changé, cela n'a pas semblé payer le moins du monde.

Il s'en est suivi une course caractérisée par un sous-virage chronique et des difficultés à trouver une adhérence durable avec ses pneus - même s'il avait l'avantage supposé d'avoir des pneus souples au début de la course. Voici comment la course d'Hamilton s'est déroulée à la radio avec son ingénieur de piste, Bonnington (alias "Bono") :

• "Je n'avance pas avec ces pneus...
  
• Ces pneus sont horribles...
  
• Je n'ai pas d'arrière-train ! 
  
• C'était les pires pneus, mec ! Bon sang"...
  

De retour à la voiture de sécurité, Hamilton et Bonnington ont procédé à une analyse plus poussée de la course afin de déterminer où il pouvait perdre du temps et comment il pourrait mieux gérer ses pneus au cours de la seconde moitié de la course. L'une des réponses de Hamilton à Bonnington a été coupée en plein milieu de la phrase, ce qui pourrait être un message que Formula One Management a choisi de ne pas diffuser.

Hamilton a été facilement dépassé par Alonso dans le sixième virage au 49e tour. A ce moment-là, les pneus d'Hamilton ont 28 tours de retard et commencent à se faire sentir. Mais Hamilton flirtait avec la portée du DRS de la McLaren et ne perdait pas espoir de la dépasser avant la fin de la course.

Hamilton a atteint le drapeau à damier 1,7 seconde derrière Piastri, un peu plus de 20 secondes derrière son coéquipier Russell et près d'une minute complète derrière le vainqueur Max Verstappen. Il a immédiatement admis qu'il avait regretté d'avoir effectué les changements de réglages après la course de sprint qui l'a vu perdre beaucoup de confiance dans la voiture.

"Yep ! Je ne ferai plus ce changement de configuration, Bono ! Oui, c'est ma faute. Oui, c'est vrai. Merci les gars. Bon travail pour les arrêts au stand. Encore une journée difficile, mais nous"...

Au moins, il admet ses erreurs...

Il prend conscience de son cas.