Les polémiques de la F1

Pourvu que ce sujet ne se remplisse pas, mais comme le scandale de la fin de saison 2021 continue, je lance ce sujet...

Martin Brundle pense qu'il est préférable de connaître le diable quand il s'agit du directeur de course de la F1....

Martin Brundle estime que le renvoi de Michael Masi de son poste de directeur de course de la FIA ne serait qu'une attaque sur les symptômes d'un problème beaucoup plus profond de la gouvernance actuelle du sport, et ce à juste titre.

"Si la FIA et la F1 veulent que Michael Masi reste, et si Michael Masi veut rester, il n'a clairement plus qu'une vie. Donc je ne sais pas si c'est tenable tout autour", a déclaré Brundle à Sky Sports F1.


"Avec qui le remplaceriez-vous ? Faites attention à ce que vous souhaitez, c'est ce que je dirais".

"Ce dont je suis absolument sûr, c'est que changer Michael Masi ne résoudra pas le problème seul. C'est un travail bien trop important pour une seule personne, dans une saison de 23 courses qui ne fera que s'amplifier."

A la question de savoir si Masi pourrait devenir un bouc émissaire dans les retombées de la course au titre, Brundle a répondu : "Il pourrait être l'agneau sacrifié".

"Ce qui est vraiment important ici pour la FIA et pour la Formule 1, c'est que cette affaire ne soit pas balayée sous le tapis et laissée pour quelques semaines, puis dépassée par les nouvelles voitures 2022, et les tests, et ainsi de suite".

"Nous devons comprendre ce qui s'est passé et pourquoi cela ne se reproduira pas. Nous devons rassurer les fans sur le fait que ce qu'ils voient est réel, authentique, et qu'ils sacrifient leur temps libre pour regarder quelque chose qui est une véritable compétition."

Ou la la dans quoi on s'engage là on verra bien....

Clousot a écrit:

Ou la la dans quoi on s'engage là on verra bien....

Et ça continue...

Les experts de Sky, Martin Brundle et Johnny Herbert, sont en désaccord sur l'avenir de Michael Masi en tant que directeur de course.


Alors que les tabloïds britanniques insistent sur le fait que l'affaire est réglée et que Toto Wolff et Lewis Hamilton ont lancé un ultimatum : soit Michael Masi part, soit le septuple champion du monde quitte la F1, la réalité est que le problème n'a pas encore été résolu. Du moins, c'est ce qu'on nous dit.

Dans une édition spéciale du Sky Sports F1 Show, Martin Brundle, pilote devenu commentateur, et Johnny Herbert, pilote devenu expert, étaient en désaccord sur l'avenir de l'Australien.

Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait qu'Hamilton quitterait le sport si Masi n'était pas remplacé comme directeur de course, Brundle a été catégorique.

"Absolument pas, je ne crois rien de tout cela pour être honnête", a-t-il répondu.

Faisant référence au fait que Mercedes et Hamilton, selon les médias, auraient mis un pistolet sur la tête de la FIA, menaçant "c'est lui (Masi) ou nous !", Brundle a déclaré : "Je suis un peu mal à l'aise à l'idée qu'une équipe et un pilote commencent à déterminer qui fait quoi dans le contrôle de la course, ou tout autre rôle en F1".

"Dans une certaine mesure, c'est la queue qui remue le chien", a-t-il ajouté.

"Si j'étais un patron de Formule 1 et que mon pilote venait me voir pour me dire que je ne veux plus courir si ce type reste dans le coin, j'arrêterais immédiatement de penser au contrôle de la course et je me demanderais si mon pilote a perdu sa motivation, ce qui n'est évidemment pas le cas. Lewis va revenir et il va appuyer sur l'accélérateur encore plus fort."

Herbert, en revanche, insiste sur le fait que l'avenir de Masi en tant que directeur de course est devenu indéfendable.

"Je pense qu'il a fait trop de dégâts à la Formule 1", a-t-il déclaré. "Dans la position qu'il occupe, vous devez avoir confiance, et je pense que cette confiance s'est complètement évaporée".

"Le problème est de savoir par qui le remplacer", a-t-il admis. "Parce qu'il est évident que l'expérience sera très importante pour l'homme qui occupera ce poste".

"Michael a eu beaucoup de chance", poursuit-il, "il était sous les ordres de Charlie Whiting lorsque celui-ci était à la tête de l'équipe et il a appris beaucoup de bonnes choses de ce point de vue. Est-ce qu'il y a quelqu'un qui se démarque en ce moment pour le remplacer ? Non. Et c'est là l'énigme."

"Ce dont je suis absolument sûr, c'est que changer Michael Masi ne résoudra pas le problème", a déclaré Brundle. "C'est un travail beaucoup trop important pour qu'une seule personne puisse s'en occuper au cours d'une saison de 23 courses, cela ne fera que croître".

"Masi, s'il reste, a besoin de beaucoup de soutien autour de lui et je soupçonne que c'est ce qu'ils cherchent, en ce moment".

"Et qui pourrait bien vouloir prendre sa place en ce moment ?" (bonne question !)

Le champion du monde 1996, Damon Hill, qui n'a cessé de critiquer Max Verstappen cette année a réfléchi à son propre moment décisif en 1994 lorsqu'il s'est interrogé sur l'avenir d'Hamilton et la décision qu'il devait prendre.

"Je voulais gagner un championnat", a-t-il dit. "Lewis en a déjà gagné sept, c'est un peu différent. Il pourrait simplement penser que j'ai fait tout ce que je pouvais faire. Mais je suis sûr que ce huitième titre est juste trop tentant, je suis sûr qu'il voudra revenir et l'avoir et mettre tout cela au repos."

Je n'en suis pas, perso. persuadé, je crois que Lewis est vexé et broie du noir, il faut lui laisser un peu de temps pour peser les pour et les contre, on verra bien, mais je l'ai déjà dis, il n'est pas irremplaçable...et il est assez riche que pour faire autre chose...

La queue qui remue le chien, j'aime bien ça. 
Bordel quel bras de faire intolérable de la part de Merco du moins.

Clousot a écrit:

La queue qui remue le chien, j'aime bien ça. 
Bordel quel bras de faire intolérable de la part de Merco du moins.

Oui, et Toto continue à dire qu'il n'avale pas le fin de la saison : "C'est difficile à comprendre. Cela ne nous quittera jamais, même si Max Verstappen est un digne champion du monde".

"Mais ce jour-là, l'un était meilleur que l'autre - et il n'a pas gagné", a déclaré le patron de l'équipe Mercedes au Kronen Zeitung.

Et le superbe dépassement sur Hamilton alors ?

Ils ont du mal à accepter la défaite chez Mercedes !

Martin Brundle n'est pas non plus d'accord avec les gros titres "Lewis démissionne" qui attendent d'être écrits : "Absolument pas, je n'en crois pas un mot, pour être honnête".

"Je suis sûr que Lewis a demandé à Toto ce qu'il faisait à ce sujet, mais la Formule 1 est un succès fantastique pour la marque Mercedes-Benz, tandis que Lewis a 37 ans et nous savons qu'il conduit à son apogée, qu'il est incroyablement déterminé et compétitif", a reconnu Brundle.


Hamilton vaudrait 285 millions de dollars et sera encore plus riche grâce à la prolongation de deux ans de son contrat, signée en juillet dernier, qui le lie à Mercedes jusqu'à la fin de la saison de F1 2023; les deux années supplémentaires vaudraient 100 millions de dollars.

S'il décidait de quitter ce sport, dont il est le roi au sommet de sa gloire, il aurait tellement à perdre que ce serait une véritable folie.

Surtout, le projecteur qu'Hamilton utilise pour mettre en lumière les injustices sociales et les problèmes connexes dans le monde entier sera affaibli, car rien de ce qu'il fait en dehors de la F1 ne lui donnera jamais la visibilité dont il bénéficie à juste titre. Abandonner maintenant, alors qu'il a encore tant à faire et à accomplir, équivaudrait à un suicide sportif. Il est intelligent, il le sait. Il reviendra.

"Ainsi, lorsque le "Big Sulk" (sentiment de rancune ou de maussaderie) sera terminé, je m'attends à un Lewis survolté, au meilleur de sa forme, donnant tout ce qu'il a pour devenir un huitième champion du monde de F1 et, ce faisant, redresser les torts d'Abu Dhabi, du moins dans son esprit".

Il est également intéressant de noter, surtout pour Lewis, que ses contemporains Michael Schumacher, Fernando Alonso et Kimi Raikkonen ont tous quitté la F1 pour découvrir que le sport était toujours irrésistible pour eux; ils sont tous revenus pour une autre chance - Alonso est toujours dans la course.

La vie après la F1 n'est pas ce à quoi ils s'attendaient et, plus important encore, aucun des trois n'aurait dû "abandonner" au moment où il l'a fait...

Intéressant de voir Brundle conseiller lewis de na pas faire comme les 3 autres Schumi, Nando et Kimi qui n'ont rien gagner à tenter l'aventure ailleurs.

Clousot a écrit:

Intéressant de voir Brundle conseiller lewis de na pas faire comme les 3 autres Schumi, Nando et Kimi qui n'ont rien gagner à tenter l'aventure ailleurs.

De toute manière ils sont tous revenus.

Kimi : rallye
Nando : Protos
Schumi : maison

Je ne suis pas d'accord, comme je l'ai déjà dis, Masi n'a au que quelques petites minutes pour prendre une décision...

La FIA doit-elle virer Michael Masi suite à sa gestion du AbuDhabiGP 2021 ?

Vote anglais en majorité sur Formula1News.co.uk, donc pas étonnant !

L'ancien pilote de F1, devenu commentateur, a également qualifié la communication entre l'équipe et la FIA d'"inconfortable".


Wolff était furieux, alors qu'il regardait depuis le garage Lewis Hamilton voir son huitième championnat de F1, un record absolu, s'échapper au profit de Max Verstappen après une période de voiture de sécurité tardive.

Les procédures mises en place par le directeur de course de la FIA, Michael Masi, ont laissé Wolff et Hamilton "désillusionnés".

Pourtant, Wolff a lui-même été accusé d'avoir tenté de changer le cours de la course par sa communication radio avec Masi.

Interrogé lors d'une émission spéciale de Sky Sports F1 Show sur la nécessité d'arrêter les communications radio entre l'équipe et la FIA, Brundle a répondu : "Cent pour cent".

Lors du premier incident de la voiture de sécurité [à Abu Dhabi], lorsque l'Alfa Romeo d'[Antonio] Giovinazzi est tombée en panne à une certaine distance d'une échappatoire, nous avons eu Toto à la radio avec Masi disant 'Hey Michael, pas de voiture de sécurité', essayant d'influencer une décision de sécurité.

"[C'est] complètement inacceptable et Toto le sait. Nous ne voulons pas de ce genre de choses" !

"Ce qui se passait à l'époque de Herbie [Blash] et Charlie [Whiting], c'est qu'ils contactaient Charlie par radio et Herbie disait 'Il [Whiting] est occupé en ce moment. Il vous rappellera".

"Bien sûr, il ne l'a pas fait parce que Charlie était occupé à régler le désordre qui régnait sur la piste et à essayer de comprendre quand la course pourrait reprendre."

Réfléchissant aux nombreux incidents de ce type où Masi semblait être harcelé pendant une course par les équipes, Brundle a ajouté : "Pour moi, c'était l'un des aspects les plus embarrassants de la saison".

"Nous l'avons vu en Arabie Saoudite, à Silverstone, les directeurs d'équipe dans le bureau des commissaires essayant de leur faire des remarques à mi-course. Il faut que cela cesse".

Je suis bien d'accord !

Et comment, je vois déjà l'arbitre de foot plonger sa main dans sa pochette pour prendre une carte dont tout le monde redoute la couleur, et fustiger le joueur qui se permet de lui hurler dessus.
La même chose en F1 s'il vous plait.

Clousot a écrit:

Et comment, je vois déjà l'arbitre de foot plonger sa main dans sa pochette pour prendre une carte dont tout le monde redoute la couleur, et fustiger le joueur qui se permet de lui hurler dessus.

Exactement ma grande !

L'enquête de la FIA continue, et les résultats seront connus le 18 mars, en attendant, Wolff en dit plus sur Lewis :

Il y a des blessures "très profondes" au coeur de Lewis Hamilton après la finale controversée de la lutte pour le titre 2021, a révélé Toto Wolff.

Des rumeurs circulent selon lesquelles Hamilton, qui est resté totalement silencieux et invisible depuis des semaines, pourrait même raccrocher son casque avant le début de la saison 2022.

Wolff, le patron de l'équipe Mercedes, admet que les blessures sont "très profondes".

Wolff, qui a nié avoir exigé que le directeur de course Michael Masi soit licencié, admet cependant qu'il souhaite que "des actions et pas seulement des mots" soient le résultat de l'enquête actuelle de la FIA.

"Dans un sport qui est censé être un sport, on ne peut pas faire du freestyle comme ça avec les règles", a-t-il déclaré.

"Avant le début de la nouvelle saison, les règles doivent être claires afin que chaque pilote, équipe et fan sache ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas".


Si Lewis revient, à 36 ans, il devra relever un défi en plus d'essayer de récupérer la couronne perdue face à Max Verstappen de Red Bull - son nouveau et jeune coéquipier, George Russell.

Lorsqu'on lui a demandé si Hamilton a la force de supporter les défaites face à un autre jeune, Wolff a répondu : "La capacité de Lewis à résister est souvent remise en question à tort".

"Même après Abu Dhabi, il a immédiatement félicité Max. Lewis ne veut qu'une chose : une compétition équitable sur la piste".

Je comprends Lewis qui pour la première fois de sa carrière va quitter son tapis roulant de carrière pour se retrouver, comme un autre, à devoir défendre sa peau et dans son cas son statut de diva.
A sa place je me poserais sérieusement la question de savoir si à 37 ans et après 7 titres suprêmes cela vaudrait la peine de passer pour ce qu'il a été mais n'est plus.

Clousot a écrit:

Je comprends Lewis qui pour la première fois de sa carrière va quitter son tapis roulant de carrière pour se retrouver, comme un autre, à devoir défendre sa peau et dans son cas son statut de diva.
A sa place je me poserais sérieusement la question de savoir si à 37 ans et après 7 titres suprêmes cela vaudrait la peine de passer pour ce qu'il a été mais n'est plus.

Je crois surtout qu'il fait traîner ça en longueur pour se faire vouloir, c'est décevant de la part d'un géant comme lui.

Il est encore, mais quid des voitures cette année, Mercedes aura-t'elle encore une voiture dominante ?

Si jamais la voiture né mal, il aura bien du mal du haut de son piédestal !

Ross Brawn a essayé de combler le plus grand nombre possible de lacunes dans les règlements en vue de la saison 2022.

Le directeur général de la Formule 1, Ross Brawn, a révélé qu'il avait testé quelques théories sur les échappatoires que les équipes pourraient essayer de trouver dans le nouveau règlement de 2022.

Prévues pour être introduites l'année dernière mais retardées en raison de la pandémie de COVID-19, les voitures de 2022 auront un aspect très différent de celui des dernières années, les changements radicaux visant à promouvoir des courses plus serrées.

On s'attend à ce que les voitures soient moins aérodynamiques, que les "bargeboards" disparaissent et que l'effet de sol fasse son retour afin de permettre aux pilotes de se suivre de plus près.

Il a donc été spéculé que les équipes pourraient essayer de contourner les nouvelles réglementations et introduire des pièces et des systèmes dans leur voiture qui ne sont pas strictement interdits par les règles, mais qui se trouvent dans une zone grise des réglementations.

Le directeur général de la F1, Stefano Domenicali, a déjà admis que cette éventualité est très possible, tandis que le directeur de l'équipe Ferrari, Mattia Binotto, a promis "beaucoup d'innovation" à Maranello au cours de l'hiver.

Le directeur général de la F1, Stefano Domenicali, a déjà admis que cette éventualité est très possible, tandis que le directeur de l'équipe Ferrari, Mattia Binotto, a promis "beaucoup d'innovation" à Maranello au cours de l'hiver.

Bien que l'homme de 67 ans reconnaisse la difficulté de trouver et de combler toutes les lacunes que les équipes peuvent exploiter, il a révélé que lui et son équipe se sont efforcés d'en couvrir autant que possible.


"Essayer d'anticiper chaque faille ou chaque interprétation est très difficile, mais pour sûr, notre processus était de comprendre le règlement, de concevoir autour de l'élimination du problème", a-t-il expliqué.

"Notre groupe a passé du temps à examiner les sensibilités des différents domaines pour voir où il pourrait y avoir une certaine marge de manœuvre pour que les équipes puissent faire évoluer leurs conceptions et changer leurs conceptions."

Le Britannique a ensuite révélé que son service avait mené des expériences dans lesquelles il enfreignait délibérément les règles pour tenter de trouver les faiblesses éventuelles de la réglementation.

"Nous avons ensuite eu une phase d'infraction aux règles, au cours de laquelle nous avons essayé de les enfreindre et de voir quelles failles nous pouvions trouver. Nous sommes passés par là", a-t-il déclaré.

"Je ne prétendrai pas que nous avons trouvé toutes les failles, mais nous sommes certainement passés par une phase de test de la réglementation pour voir où nous pouvions trouver certaines opportunités."

Ce serait une récidive de 2009 avec BrawnGP si une équipe trouvait une faille, je suis curieux !

Ils se méfient des ingés et ils ont bien raison car jouer avec le feu en "zone grise" fait partie de la riposte des équipes face à de nouvelles règles et ici non des moindres.
Qui mieux que Ross Brawn pour anticiper le moyen d'exploiter un nouveau règlement en sa faveur, hé hé ?

La situation d'Hamilton aujourd'hui n'est pas sans faire penser à celle d'Ayrton Senna début 1990 !

https://f1i.autojournal.fr/magazine/magazine-features/analyse/hamilton-senna-meme-combat/

dom465 a écrit:

La situation d'Hamilton aujourd'hui n'est pas sans faire penser à celle d'Ayrton Senna début 1990 !

https://f1i.autojournal.fr/magazine/magazine-features/analyse/hamilton-senna-meme-combat/

Intéressant cet article Dom ! Merci !

Exact les amis, comme quoi l'histoire n'est qu'un éternel recommencement.

Masi et Tombazis absents de la nouvelle organisation de la FIA alors que Mercedes nie le 'quid pro quo'.

Mercredi, "Racing Line" a tweeté des documents qui montrent que Masi et Tombazis ont été retirés de l'organisation générale de la FIA de janvier 2022 sous la direction du nouveau président Mohammed Ben Sulayem, après avoir fait partie du document d'octobre 2021 retiré du site web de la FIA.




A la place, seul le secrétaire général pour le sport automobile, Peter Bayer, figure dans la liste des monoplaces.

Bien sûr, rien n'est encore confirmé et il est toujours possible que Masi et Tombazis soient toujours à leur poste mais qu'ils rendent compte à Bayer dans la nouvelle structure.

Mais à l'heure où la pression s'accroît sur la FIA, il y a un premier signe de réponse.

Il y a aussi l'orgueil à prendre en compte, en effet il faut bien donner à Merco un petit bout d'os pour qu'ils se calment le eteutons
Donc il n'est pas du tout certain que Masi et consorts soient mis dehors ni que Mercedes soit conte comme cela.

Ca devient une affaire d'égo peut être ? Qui sait avec ces gens là !

Clousot a écrit:

Il y a aussi l'orgueil à prendre en compte, en effet il faut bien donner à Merco un petit bout d'os pour qu'ils se calment le eteutons
Donc il n'est pas du tout certain que Masi et consorts soient mis dehors ni que Mercedes soit conte comme cela.

Ca devient une affaire d'égo peut être ? Qui sait avec ces gens là !

Oui, l'égo y est pour quelque chose, c'est sûr, mais ce grand champion devrait être au dessus de ça ! D'ailleurs, tous ne sont pas ravis :



Le silence presque total de Lewis Hamilton depuis qu'il a perdu la confrontation pour le titre 2021 contre Max Verstappen n'est "pas ok".

C'est l'avis du correspondant du journal "Bild" (journal très sérieux ceci dit), Helmut Uhl, qui critique également le silence du numéro 1 mondial du tennis Novak Djokovic depuis son expulsion par le gouvernement australien.

"Ce n'est pas correct", a déclaré Uhl au grand quotidien allemand.

"Les deux sont arrivés sur un nuage où ils croient flotter au-dessus de tout. Une fois là, ils oublient de regarder leurs fans de haut. Ceux qui paient pour leurs équipes, leur mode, leurs sponsors".

"Ces fans n'ont-ils pas le droit d'entendre quelques mots d'explication maintenant que leurs héros et modèles ne sont plus sur le piédestal" ?

"Ils pensent peut-être que leur retraite silencieuse est de la diplomatie. Je vois ça comme de la lâcheté."

Le champion du monde 1997, Jacques Villeneuve, pense cependant que le septuple champion du monde Hamilton protège en fait son histoire.

"J'interprète le silence d'Hamilton comme une volonté de mettre de la distance entre lui et Toto Wolff", a-t-il déclaré à La Gazzetta dello Sport.

"Après tout, vous pouvez perdre avec style, alors que Toto s'est comporté comme quelqu'un qui joue au Monopoly. Au moment où il perd, il jette tout le panneau en l'air".

Un autre ancien pilote de F1, Vitaly Petrov, se range du côté de Bild's Uhl en pensant que le moment est venu pour le pilote Mercedes de rompre enfin son silence.

"S'il est offensé, s'il n'est pas d'accord, s'il n'est pas d'accord avec le comportement de Mercedes ou leur refus de faire appel - il y a beaucoup de questions", a-t-il déclaré au "Championnat de Russie".

"Mais il n'y a pas de réponses pour le moment vu son silence."

Au final un silence qui paie car en même temps on parle de lui et de ses employeurs.
Au fait un super champion qui comme lui s'est fait "avoir" à 500m de la ligne finale ne peut pas l'admettre.
De même qu'un Djoko, en tennis, qui s'est surestimé se croyant au dessus des règles d'un pays ils sont rares les champions qui au contraire de ces deux là sont à la fois bienveillant et respectueux de règles.

Je me risque à citer Roger Federer en tennis ou Niki Lauda en F1, chacun a son histoire mais jamais aucun des deux n'aura oser se moquer du monde comme la diva.

Clousot a écrit:

Au final un silence qui paie car en même temps on parle de lui et de ses employeurs.

Tout à fait Clou !

En attendant, d'autres sont confiants de son retour :

Jenson Button est convaincu que son ancien coéquipier Lewis Hamilton continuera à courir en Formule 1 cette année, malgré l'incertitude qui plane sur l'avenir du pilote Mercedes.


Hamilton n'a rien dit en public depuis la finale controversée de la saison de F1 à Abu Dhabi, où la gestion par la FIA d'un redémarrage de la voiture de sécurité a ouvert la porte à son rival Max Verstappen pour s'emparer de la couronne des pilotes.

Mais alors que les questions sur le retour ou non d'Hamilton en F1 continuent d'être soulevées, l'ancien vainqueur du titre Button est optimiste quant au retour de son ancien partenaire McLaren, qui vise sa huitième couronne.

Lors d'une apparition dans l'émission de télévision britannique Good Morning Britain mercredi, Button a déclaré : "J'espère vraiment qu'il sera de la partie".

"Je pense qu'il sera en course et qu'il veut gagner ce huitième titre pour devenir le pilote de Formule 1 le plus décoré de l'histoire de la F1. Et il y parviendra. Je le pense vraiment."

Button n'est pas la seule personnalité de la F1 à penser qu'Hamilton sera sur la grille de départ lorsque la nouvelle saison débutera à Bahreïn.

Le PDG de McLaren, Zak Brown, a déclaré au début du mois : "Je pense qu'il sera de retour".

"C'est un pilote de course. Je pense qu'il est au sommet de son art. Bien sûr, il est très en colère. Mais je pense que les pilotes de course veulent courir, mais je pense que c'est un battant".

"Je crois qu'il voudra revenir et essayer de gagner un huitième championnat. Je ne pense pas qu'il soit prêt à prendre sa retraite".

"Je suppose que vous pouvez revenir, comme certains l'ont fait, mais je ne pense pas qu'il soit prêt à raccrocher. Et je ne pense pas qu'il va laisser un incident comme celui de la saison passée le mettre à la retraite."

Une chose est sûre, c'est qu'il se fait languir le Louwis...

Jenson me fait penser à une chose, et si Lewis craignait de ne pas pouvoir atteindre le record absolu de 8 titres ce serait encore pire que maintenant (mentalement) je crois.
N'hésiterait il pas simplement pour ne pas se retrouver littéralement "en état de choc" fin 2022.
Finir sa carrière sur une double défaite ce serait carrément insupportable pour son égo.

Clousot a écrit:

Jenson me fait penser à une chose, et si Lewis craignait de ne pas pouvoir atteindre le record absolu de 8 titres ce serait encore pire que maintenant (mentalement) je crois.
N'hésiterait il pas simplement pour ne pas se retrouver littéralement "en état de choc" fin 2022.
Finir sa carrière sur une double défaite ce serait carrément insupportable pour son égo.

Ego prononcé je crois !

Et le feuilleton continue :


La FIA prépare des mesures drastiques en coulisses suite aux discussions qui ont éclaté après le Grand Prix d'Abu Dhabi. Il est possible que Michael Masi soit remplacé, comme le rapporte la BBC.


Au cours du dernier mois et demi, la FIA aurait beaucoup discuté avec les équipes afin d'explorer ce qu'il faudrait pour que la Formule 1 fonctionne de manière crédible. Les conclusions ont révélé, entre autres, qu'à la fin de la saison, il y avait trop de pression sur les épaules de la direction de course, dont Masi était responsable. L'organisation veut donc prendre plus de précautions à l'avenir pour éviter cela.

En même temps, des initiés déclarent au média anglais qu'ils ne voient pas comment Masi peut continuer à être crédible à l'avenir. Plusieurs équipes ont également exhorté la FIA à permettre à Masi de partir. Toute décision pourrait être cruciale pour l'avenir d'Hamilton.