Scuderia Ferrari

Frédéric Vasseur a été officialisé à la tête de la Scuderia Ferrari où il prend la suite de Mattia Binotto. Son départ de l'écurie Alfa Romeo, qu'il dirigeait depuis cinq ans et demi, avait été annoncé quelques minutes plus tôt.

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C'est confirmé, Frédéric Vasseur va quitter Alfa Romeo en janvier 2023 et prendre la direction de la Scuderia Ferrari, en remplacement de Mattia Binotto. Le Français était arrivé à la tête de la structure en juillet 2017, alors connue sous le nom de Sauber, peu après son rachat par le millionnaire suédois Finn Rausing.

Sauber était alors l'écurie la moins compétitive du plateau, mais sous la houlette de Vasseur, elle a marqué des points plus régulièrement et a même atteint de justesse la sixième place du championnat des constructeurs cette année grâce à un début de saison tonitruant – elle devançait Alpine après sept des 22 Grands Prix au programme.

Ouais, ben ce ne sera pas une tâche facile pour Vasseur, ça ne l'est jamais à la Scuderia !

Christian Horner aurait refusé l'offre de Ferrari de devenir leur nouveau directeur d'équipe.

Le Daily Mail rapporte que l'on a d'abord demandé à Horner s'il était prêt à quitter Red Bull pour rejoindre l'équipe italienne.

Mais il a rejeté l'offre parce que : "Il y a trop de politique sous la surface chez Ferrari. Trop d'egos. Si quelqu'un commence à réussir, quelqu'un d'autre le tire vers le bas". (A-t'il raison, ou exagère-t'il ?)

Le président de Ferrari, John Elkann, avait un accord prêt à être signé avec Vasseur, mais a tout de même fait une "dernière tentative désespérée" pour tenter un plus grand nom, selon Formula Uno en Italie.

Il a également demandé à un grand nom anciennement associé à Mercedes - il s'agissait de Ross Brawn, selon La Stampa en Italie.

C’est à Imola que la tendance commence à s’inverser avec une triple défaite en qualif, en sprint et en course où une toupie du Monégasque à la chicane lui coûte entre 7 et 10 unités. Battue à la régulière à Miami, la F1-75 est victime de son moteur à Barcelone, puis à Bakou. Entre-temps, une stratégie foireuse aura privé Leclerc d’une victoire à domicile. En Angleterre, le muret refuse de demander à Sainz, certes auteur de la pole et leader mais moins rapide et moins bien classé au championnat, de le laisser passer. Sursaut de Charles qui gagne en Autriche avant de se crasher en France où il est leader.

La liste est encore longue mais peu importe : tandis que Red Bull développait sa RB18 pour en faire une arme redoutable surtout en course, Ferrari n’a cessé de se prendre les pieds dans le tapis à tous niveaux, précipitant une défaite devenue inéluctable. S’il est indéniable que Maranello a enfin opéré en termes de performances le redressement spectaculaire attendu depuis longtemps, en matière de gestion elle a quasiment eu tout faux, sauf lors de la finale en permettant à Charles de sauver le premier accessit, triste lot de consolation.

Mattia Binotto paie la note, à charge pour Frédéric Vasseur de concrétiser le gros potentiel retrouvé d’une structure qui, dit-on, s’appuiera la saison prochaine sur un V6 surpuissant, mais qui a avant tout besoin d’hommes à poigne pour resserrer nombre de boulons.

Une balle ? Toute la cartouchière, oui ! À l’entame de 2022, la Scuderia avait la meilleure monoplace. En multipliant les soucis de gestion, de stratégie, de fiabilité, auxquels s’ajoutèrent quelques fautes des pilotes, elle a offert les titres à Red Bull sur un plateau.

Binotto n’y a logiquement pas survécu.

Bien que cette affirmation ne soit basée que sur des simulations, elle donnera de l'espoir aux tifosi, aux pilotes Charles Leclerc et Carlos Sainz et à tous ceux qui veulent que Red Bull en ait pour son argent cette saison.

Avec un gel du moteur en place, les seules modifications qui peuvent être apportées au moteur concernent la fiabilité, la sécurité, la réduction des coûts et des changements mineurs afin de permettre l'installation correcte de l'unité de puissance. Aucune amélioration ne peut être apportée aux performances du moteur.

Si le format V6 de 1,6 litre est maintenu, le très coûteux MGU-H a été supprimé, car la F1, dans sa quête de durabilité, vise à utiliser exclusivement des carburants durables et une puissance électrique accrue (***).

(***) : c'est dit, et c'est de ce côté là que les équipes ont déjà commencé à se concentrer...

Ferrari officialise le nom de sa F1 pour la saison 2023.

Ferrari a dévoilé le nom que portera la monoplace de Charles Leclerc et Carlos Sainz pour la saison 2023 de Formule 1.

C'est une tradition, Ferrari garde généralement secret le nom de sa nouvelle monoplace durant l'hiver et ne le dévoile que quelques jours avant sa présentation. À une semaine tout juste du lancement de sa Formule 1 pour la saison 2023, la Scuderia a finalement dévoilé le nom qu'elle porterait. La marque italienne a pour habitude de ne pas forcément entretenir de filiation directe d'une année sur l'autre dans l'appellation de ses montures.

Cette année, la monoplace confiée à Charles Leclerc et Carlos Sainz, jusqu'ici connue sous le nom de code "Projet 675", sera la Ferrari SF-23.

La Scuderia revient ainsi à une désignation qui a été très souvent utilisée au cours de l'ère turbo hybride, avec notamment la SF15-T en 2015. L'an passé avait fait exception avec l'avènement de la F1-75 car 2022 était un millésime anniversaire pour le Cheval Cabré.

la voiture est magnifique

Jarier a écrit:

la voiture est magnifique

Une Ferrari est toujours magnifique Jarier ! C'est comme une Porsche 911 !

La 488 "Spider" de Magnum : 


Carlos Sainz assure qu'il n'est "pas du tout" inquiet que Fred Vasseur favorise Charles Leclerc alors que le Français se prépare pour sa première saison en tant que patron de l'équipe Ferrari.


A peine Vasseur a-t-il été confirmé que des rumeurs ont commencé à courir sur le fait que sa signature était une bonne nouvelle pour Leclerc, le pilote monégasque qui aurait voulu le statut de numéro un la saison dernière lorsqu'il a pris 34 points d'avance au classement, mais qui a été refusé par Sainz.

Mais maintenant que Vasseur est aux commandes, la situation pourrait être différente, étant donné que le Français a une longue histoire avec Leclerc, puisqu'il l'a engagé dans l'équipe ART et lui a permis de faire ses débuts en F1 chez Sauber.

Sainz est catégorique, il n'est pas inquiet de se retrouver bientôt numéro deux de son coéquipier.

"Non", a-t-il déclaré à Sky Sports, "pas du tout".

"Honnêtement, je me suis toujours bien entendu avec mes patrons de Formule 1, et j'ai confiance que dès que Fred me verra, verra mes capacités de travail, mais aussi que ma vitesse et mon talent, je suis à peu près sûr que Fred va respecter cela.

"Nous allons bien nous entendre, comme je m'entends avec tout le monde en Formule 1".

"Et le fait qu'il ait, à la rigueur, une bonne relation avec Charles, je pense que cela va l'aider à avoir une influence dans l'équipe plus tôt."

Je ne crois pas non plus qu'il y aura "anguille sous roche" ce sont des garçons mûrs et intelligents...vous ?

j'espère qu'il n'y aura pas de favoritisme. La priorité de Ferrari sera peut être le titre constructeur donc pas d'intérêt de favorsier un pilote plus que l'autre.

Lorsqu'on lui a demandé s'il considérait Red Bull ou Aston Martin comme les plus proches rivaux de l'équipe, Vasseur a suggéré que Ferrari était encore plus proche des champions en titre.

"Si vous ne regardez que la première partie de la course, je pense que nous sommes plus proches de Red Bull que d'Aston Martin", a déclaré le patron de l'équipe aux médias.

Vasseur s'attend à ce que les Flèches d'argent rebondissent et pense également que la situation générale pourrait s'éclaircir lors du prochain Grand Prix d'Arabie saoudite.

"Je pense que Mercedes va bientôt se réveiller", a poursuivi le Français.

"Nous ne savons pas si cela se produira la semaine prochaine. La semaine prochaine, ce sera une autre histoire à Jeddah".

"C'est un tarmac différent et nous pourrions avoir une meilleure image qu'avant".

Une chose est sûre et c'est pour notre bonheur, que Red Bull soit arrêtée dans sa dominance...

Avec 26 points au compteur, Ferrari vit son pire début de saison depuis 2009. Principale rivale de Red Bull l'an passé, la Scuderia est mise en difficulté par Aston Martin et Mercedes ; de surcroît, elle a subi la panne de Charles Leclerc à Bahreïn ainsi que les collisions des deux pilotes avec les bolides verts en Australie, d'où les 30 longueurs de déficit qu'elle accuse déjà sur le top 3.

Faudrait-il alors que Ferrari change radicalement de voie au niveau du développement ? Depuis son arrivée à la tête de la Scuderia en janvier dernier, Frédéric Vasseur se garde fermement de toute décision hâtive, et lorsque on lui demande si un nouveau concept est dans les tuyaux, le Français répond : "Non, je ne pense pas. Nous avons un flux d'évolutions à venir ; pas pour Bakou, car nous avons déjà le package aéro pour ce niveau d'appui, et avec la course sprint ce n'est pas évident, mais pour Miami, Imola – pas Monaco – et Barcelone. À chaque course, nous aurons une évolution sur la voiture."

"Nous nous en tenons au plan. Nous avons fait des ajustements en matière d'équilibre et de comportement, et c'était bien mieux à Melbourne. Nous allons continuer dans ce sens. Ce n'est pas une voiture B, si c'est ce que vous voulez dire. Nous n'allons pas venir avec quelque chose de complètement différent. Nous allons continuer à mettre à jour celle-ci, et nous allons essayer de le faire immensément."

J'avoue être super déçu par la Scuderia, ell n'avance pas, elle recule ! D'juu va ! :Depressed:

Ce week-end à Miami ne fut pas de tout repos pour les Rouges qui n’ont fini qu’au cinquième et septième rang. Leur SF-23 ne confirme en aucun cas les améliorations apportées au plancher de la voiture.

Les deux pilotes ne sont en tous cas pas du tout satisfaits du niveau affiché par leur monoplace…

"Je devais gérer mes pneus pendant le début de course, ce qui m’a grandement affecté, ajoute-t-il. Nous avons une voiture très imprévisible. Je rentre dans un virage avec du sous-virage et le prochain, j’ai du survirage", déclare le Monégasque.

"Nous devons comprendre ce manque de régularité", affirme l’Espagnol. "Une fois que vous malmenez les pneus, vous perdez toute compétitivité. Nous devons analyser comment se fait-il que nous jouions des pôles le samedi et nous nous effondrons le dimanche".

"D’ici à Barcelone (4/06 !), nous essayerons d’autres améliorations, avance le pilote de 28 ans. Si celles-ci ne sont pas concluantes, on essayera de prendre une autre direction dans le développement".

C'est pas gagné, Ferrari a 78 poins, 4ème et devant, Mercedes avec 96, déjà 18 points de retour, et Red Bull, c'est même pas la peine, - 146 points ! D'juu !

Cette Ferrari est pensée pour la performance de type qualif, après question endurance et vitesse de pointe c'est comme une Merco. 
Mercedes et Ferrari se cherchent encore et nous sommes au début d'un championnat qu'il ne fallait rater sous aucun prétexte. 
Partant de là, trouver ce qui ne va pas, y remédier et combler le retard c'est mission impossible à moins d'un effondrement total de Red Bull. 
Je ne sais pas vous mais moi je n'y crois pas, alors je dis "vas y Nando"..

Clousot a écrit:

Mercedes et Ferrari se cherchent encore et nous sommes au début d'un championnat qu'il ne fallait rater sous aucun prétexte. 

Partant de là, trouver ce qui ne va pas, y remédier et combler le retard c'est mission impossible à moins d'un effondrement total de Red Bull. 

Tout à fait d'accord, mais on va devoir aller regarder derrière les RBR, car devant, ben il n'y aura, je pense, rien.

Je suis entrain de lire un article intéressant sur le "fameux" DRS de Newey, vous en ferais part demain...

La Scuderia n'a enregistré qu'un seul podium en cinq courses depuis le début de l'année 2023. Elle s'est laissée distancer par le leader Red Bull dans la hiérarchie et se trouve actuellement dans un peloton de chasse congestionné pour le titre de "meilleur des autres", avec Aston Martin et Mercedes.

Mais les choses se sont compliquées pour le nouveau directeur de l'équipe Fred Vasseur avec la démission de l'ingénieur en chef David Sanchez en mars, avant que le directeur sportif Laurent Mekies ne devienne récemment le nouveau directeur de l'équipe AlphaTauri pour la saison 2024, en remplacement de Franz Tost.

Compte tenu de la loupe placée sur Maranello au quotidien et des premiers problèmes rencontrés en 2023 jusqu'à présent, le journaliste italien estime que l'équipe a connu une période plus difficile que prévu après les essais de pré-saison.

"C'est un scénario assez compliqué parce que, chaque année en février, il y a de grandes attentes", a expliqué Chinchero sur le podcast F1 Nation.

"Et cette année, je pense qu'ils étaient optimistes, mais avec les retours des essais de Bahreïn, ils ont révélé un scénario problématique et troublant - et c'est probablement pire que prévu, bien pire que prévu".

"Il y a eu une polémique sur les départs de David Sanchez et de Laurent Mekies, ce qui n'a pas aidé".

"Il n'est pas question de travail, mais de scénario global, car nous avions l'impression que tout le monde quittait la Scuderia, mais ce n'est pas le cas".

"Je pense que Laurent et David ont reçu une offre que vous ne pouvez pas simplement refuser et le timing n'a pas été chanceux pour Vasseur, mais vous ne pouvez pas arrêter des gens comme Laurent qui reçoivent une offre en tant que directeur, c'est donc un scénario assez compliqué".

"En même temps, il y a maintenant un peu d'optimisme à propos de la mise à jour, donc il y a beaucoup d'espoir pour celle-ci".

Ferrari cherche à réduire autant que possible l'écart avec Red Bull en tête du peloton, ainsi qu'à devancer Aston Martin et Mercedes dans l'ordre des concurrents, si possible.

Mais alors que certaines équipes, comme Mercedes, introduisent d'importantes améliorations à Imola ce week-end, Ferrari devrait apporter ses premières améliorations majeures à la SF-23 un peu plus tard.

"Je pense qu'il y a quelque chose dans la nouvelle aérodynamique, mais la plus grande partie sera à Barcelone", a déclaré Chinchero.

Qu'en pensez-vous ?

Ferrari était prête à Sakhir soit dés le premier GP mais la sorcière s'est acharnée sur des détails qui ont provoqué des abandons pur et simple. 
Ce genre de scénario est le pire qui puisse exister dans un début de championnat et surtout dans le chef d'une écurie de pointe comme Ferrari.
Après ce fût la même chose ou presque malgré de belles prestations en qualif.
Malheureusement, on le sait, si Charles est un spécialiste de la discipline des qualifs ce n'est pas la même chose en course.

Ajoutez à cela la fureur des médias (et souvent n'importe quoi) et vous obtenez une écurie performante qui perd la tête et qui comme les autres voit Red Bull décoller inexorablement dans le tableau des scores.

Rien n'est perdu mais on est pas loin malheureusement.

Clousot a écrit:

Rien n'est perdu mais on est pas loin malheureusement.

Ben, il n'y a eu que 5 GP jusque là, il en reste quand même 18, et des points à prendre.



Carlos Sainz vit un début de saison de F1 2023 plus difficile que ce que tout le monde attendait au sein de l'équipe. Mais dans cet entretien avec The Race, il est catégorique sur le fait que les faiblesses ont été identifiées - et que l'année ne peut pas être simplement oubliée.

Lorsque la voiture a pris la piste, les faiblesses sont apparues, Red Bull a déplacé les objectifs et Aston Martin a fait voler en éclats l'idée préconçue selon laquelle les équipes de milieu de peloton ne peuvent pas faire des bonds de géant en une seule intersaison. Soudain, Ferrari n'était plus seulement deuxième, mais troisième ou quatrième - et bien loin de son objectif.

"Cela a été plus difficile que n'importe quelle autre année", a déclaré Carlos Sainz, le pilote de Ferrari.

"Les attentes étaient... J'ai eu l'impression que 2022 était un peu un retour en arrière, finalement pour Ferrari. Et j'ai l'impression que nous nous attendions tous à nous battre au moins à un niveau similaire..."

"La quantité de travail en cours à Maranello avec le plan de développement est énorme. Essayer de faire en sorte que toute l'usine soit alignée et motivée sur la prochaine étape est le plus grand défi."

"C'est la rapidité avec laquelle la Red Bull s'est révélée cette année. Et à quel point elle nous a surpris. Nous ne sommes pas les seuls, je pense que Mercedes et Aston Martin ne s'attendraient jamais à avoir l'écart qu'elles ont".

La clé, sans surprise, est le développement de la voiture. Une mise à jour du plancher et du diffuseur est apparue à Miami, d'autres nouvelles pièces étaient attendues pour la course d'Imola annulée ce week-end et d'autres sont attendues en Espagne au début du mois de juin. Mais deux questions se posent. Dans quelle mesure la conception fondamentale de la voiture sera-t-elle modifiée ? Et cela suffira-t-il ?

"Après les premières courses, nous avons identifié des faiblesses très claires dans notre package, même par rapport à l'année dernière. C'est sur cette combinaison de deux éléments que nous nous concentrons désormais".

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Sainz estime que Ferrari a "très bien" utilisé le début de la saison pour comprendre ses faiblesses, et que le reste de l'année est une occasion importante de se remettre efficacement des premières courses décevantes.

Il est difficile de dire si cela suffira à faire de Ferrari un vainqueur incontesté cette année, bien qu'à ce stade, cela dépende probablement du fait que Red Bull laisse tomber ou arrête les frais si tôt que les autres équipes qui continuent à se développer peuvent rattraper leur retard.

Je ne vois qu'une chose qui pourrait enfreindre Red Bull de continuer comme ça tout l'année, et c'est leur pénalité de développement, mais j'en doute, ils ont trop d'avance...

Vous croyiez, vous, que c'est faisable ?

Perso à moins d'une déconvenue absolue de la part de Red Bull je ne vois pas comment les rattraper et les dépasser.
Je crois, par contre, que le championnat "derrière" Red Bull sera passionnant.

Clousot a écrit:

Perso à moins d'une déconvenue absolue de la part de Red Bull je ne vois pas comment les rattraper et les dépasser.
Je crois, par contre, que le championnat "derrière" Red Bull sera passionnant.

Il ne faut jamais dire jamais, mais je te suis ma biche.

Oui derrière sera incroyable...

Charles Leclerc, pilote de la Scuderia Ferrari, révèle que le processus de changements suivant la nomination de Frédéric Vasseur à la tête de l'écurie ne commence que maintenant, après que le Français a passé ses premiers mois à Maranello dans un rôle d'observateur.

Pour l'heure, l'ancien chef de Sauber n'est pas parvenu à redresser la barre puisque Ferrari n'a obtenu qu'un seul podium et décroché une pole position lors des cinq premiers Grands Prix de 2023. Avec 78 points inscrits, le Cheval cabré n'occupe aujourd'hui que la quatrième place du championnat constructeurs, derrière Red Bull, Aston Martin et Mercedes.

Mais comme l'a expliqué Charles Leclerc, le manque de compétitivité qui caractérise le début de saison 2023 de Ferrari s'explique par la stratégie appliquée par Vasseur, qui a d'abord observé la situation dans sa nouvelle équipe et qui s'apprête désormais à procéder à des changements - Ahha ?

"Je pense que le plus gros du travail sera fait à partir de maintenant, donc nous verrons bien. Évidemment, je parle beaucoup avec Fred et je sais quels sont ses projets à moyen et long terme pour l'équipe. Je le soutiens totalement et je lui fais entièrement confiance. Je suis donc sûr que ce sont les bons choix et que l'équipe avance dans la bonne direction. J'ai donc hâte." L'espoir fais vivre, je ne crois pas que Vasseur soit une solution, Briatore peut-être ?

Au-delà des modifications que Vasseur estime nécessaires pour faire progresser Ferrari, le Français devra restructurer son équipe après le départ de membres clés : Sanchez, Mekies...C'est pas gagné ! D'juu !

Alors donc Vasseur a plutôt "observer" qu'autre chose.
Je ne sais pas vous mais perso attendre 5 GP, avec toutes les déconvenues qu'on a pu observer, pour maintenant mettre les bouchées doubles me laisse rêveur. 
C'est quoi ça ? Vasseur a la solution et va maintenant tout mettre en oeuvre pour relancer Ferrari.
Je me gratte toujours et je demande à voir, vraiment.

En même temps je trouve cela un peu logique. Vasseur est arrivé un peu tard dans l'équipe pour lui mettre toute les responsabilités actuelles sur le dos. Il faut lui laisser le temps de faire les choses à sa manière.
Ce n'est pas un magicien. De plus la voiture était déjà conçue lorsqu'il est arrivé !

yoh a écrit:

En même temps je trouve cela un peu logique. Vasseur est arrivé un peu tard dans l'équipe pour lui mettre toute les responsabilités actuelles sur le dos. Il faut lui laisser le temps de faire les choses à sa manière.
Ce n'est pas un magicien. De plus la voiture était déjà conçue lorsqu'il est arrivé !

Hummm...

De là à tirer des plans sur la comète :



Signer un pilote de la stature et de la qualité de Lewis Hamilton ne pourrait jamais être une erreur, mais pour Ferrari, ce serait inutile. Qui plus est, une telle aspiration soulève de grandes questions sur les processus de prise de décision et l'objectif d'une écurie qui n'a jamais réussi à atteindre ses objectifs en Formule 1, en tout cas pas depuis la retraite de Michael Schumacher.

Quel que soit le sérieux de l'offre de 40 millions de dollars de Ferrari, rapportée par le Daily Mail, cela n'a guère de sens pour Ferrari, compte tenu des défis auxquels elle est confrontée. Bien qu'il y ait de nombreux problèmes que le recrutement d'Hamilton pourrait résoudre, ce ne sont pas ceux contre lesquels Ferrari se bat.

L'écurie la plus vénérable de la F1 est en passe de réaliser une 15e saison sans championnat du monde, égalant ainsi le record de sécheresse enduré entre les titres constructeurs de 1983 et 1999. Elle n'a pas manqué de pilotes de qualité pendant cette période, puisqu'elle a bénéficié des services de Felipe Massa, Kimi Raikkonen, Fernando Alonso, Sebastian Vettel et du duo actuel Charles Leclerc et Carlos Sainz.

Avec Leclerc, Ferrari dispose déjà d'un pilote autour duquel elle peut construire son avenir, Sainz étant un excellent coéquipier. Aussi alléchant que puisse paraître un partenariat Hamilton/Leclerc, il ne présente qu'un intérêt limité, tant en termes d'impact immédiat qu'à long terme. Et le prix à payer sera élevé.

Pour que Ferrari prospère, le directeur de l'équipe Fred Vasseur et la Gestione Sportiva doivent être laissés libres de faire leur travail avec un minimum d'interférence venant d'en haut. Il faut leur donner les outils, les ressources et le temps nécessaires pour faire leur travail, qui est mieux défini au sein de l'équipe. Il est peu probable qu'un changement de pilote soit en tête de liste, étant donné que l'arrivée de Hamilton dans une équipe peu performante ne ferait qu'attirer encore plus l'attention sur ses faiblesses.

Rien de tout cela ne concerne Hamilton. S'il est courtisé par Ferrari et que l'idée le séduit, il peut bien sûr signer sur la ligne pointillée. Il n'a plus rien à prouver en F1 et si courir pour Ferrari est un rêve inassouvi, pourquoi pas ? Ce serait également un coup de pouce pour la F1, car les pilotes de renom qui changent d'écurie font toujours recette.

Mais si - et c'est un grand si - Hamilton voulait vraiment tourner le dos à Mercedes pour rejoindre Ferrari, cela n'en ferait pas la bonne décision pour Ferrari. D'autres priorités doivent être prises en compte.

Signer Hamilton revient non seulement à colmater les brèches, mais aussi à nier leur existence (Copyright "The Race")


Je me demande ce que les Tifosi penseraient de ce scénario ? Vous ?

Lewis n'est pas la solution pour Ferrari car Charles et lui éprouvent cette même faiblesse devant une voiture mal née. Louise dira qu'il ne sent pas sa Merco et Charles dira plus pudiquement que c'est de sa faute qu'il n'a pas su reconnaître "les limites" de sa voiture. Choux vert et vert choux.
En attendant le mal qui plombe les performances des deux voitures (Merco et Ferrari) ne se guérira pas par un switch de pilotes, mais bien par le biais des concepteurs, il n'y a pas photo.

Clousot a écrit:

Lewis n'est pas la solution pour Ferrari car Charles et lui éprouvent cette même faiblesse devant une voiture mal née. Louise dira qu'il ne sent pas sa Merco et Charles dira plus pudiquement que c'est de sa faute qu'il n'a pas su reconnaître "les limites" de sa voiture. Choux vert et vert choux.
En attendant le mal qui plombe les performances des deux voitures (Merco et Ferrari) ne se guérira pas par un switch de pilotes, mais bien par le biais des concepteurs, il n'y a pas photo.

Exactement ! Bien vu grand frère !

C'est clair ce ne serait une solution pour ni l'une ni l'autre des parties !