Scuderia Ferrari

Il me semble que Ferrari, à son tour, tente de s'inspirer du DRS "Newey" pour augmenter son appui, elle ne sera pas la seule je crois..

Clousot a écrit:

Il me semble que Ferrari, à son tour, tente de s'inspirer du DRS "Newey" pour augmenter son appui, elle ne sera pas la seule je crois..

Sûrement pas, mais copier...mal, ou bien, copier bien ?


Je ne crois pas que le génie de Newey soit si simple à calquer...mais il est sûr que tous les ingénieurs de toutes les équipes s'y penchent...

En fait le DRS d'Adrian n'est visible que sur la forme de son aileron et c'est ça qui est le plus frustrant.
Il faut bien se rendre compte que l'aileron ne représente que la partie visible de l'iceberg Newey.
Il y a de quoi en perdre la tête, s'il ne suffisait que de le copier, toutes les F1 en seraient équipés.

Série NO comment
Ferrari F1 depuis le début en 3'30

Une simulation de course menée par Ferrari lors du deuxième jours des essais F1 de Bahreïn permet d'entrevoir des choses intéressantes dans la comparaison avec Red Bull.

Les écuries et les fans de F1 savent bien que ce ne sont pas les temps sur les tours lancés qui comptent lorsqu'il s'agit de déterminer qui a "gagné" la guerre des essais de pré-saison. C'est la raison pour laquelle le fait que les deux pilotes Ferrari, Carlos Sainz et Charles Leclerc, soient arrivés en tête de la feuille de chronométrage au terme des essais de cette semaine à Bahreïn n'a guère été mentionné dans les discussions.

Le meilleur temps de Sainz (1'29"921), réalisé le deuxième jour, est environ sept dixièmes plus rapide que le temps de référence de Red Bull (1'30"679) réalisé par Sergio Pérez le même après-midi. Cependant, personne ne suggère qu'il y a une quelconque correspondance avec la performance réelle, même en tenant compte d'une différence de temps de 0"6 dans les composés de pneus utilisés.

Une chose ne fait aucun doute au vu de la simulation de course de Sainz : la forte dégradation des pneus qui a gâché une grande partie de la campagne 2023 de Ferrari semble avoir été corrigée.

Mais, les équipes sont rompues à l'art des fausses pistes lors des essais, pour tenter de ne pas alerter leurs rivaux sur ce qu'elles préparent. Verstappen, en particulier, a effectué plusieurs longs relais vendredi, mais à chaque fois, il avait assez d'essence pour ne pas montrer tout le potentiel de la voiture. Il a été rapide et très régulier, il y a même eu une diminution des temps au tour au fur et à mesure que l'essence disparaissait.

Je continue...



Le Français estime que cette année Red Bull ne sera peut-être pas aussi à l’aise que la saison passée et que certaines équipes pourront les mettre sous pression en termes de stratégie.

"D’après ce que nous avons vu jusqu’à présent, il est possible que cette année Red Bull n’ait pas le genre de zone de confort qu’ils avaient l’année dernière et peut-être que davantage d’équipes pourraient les mettre sous pression lorsqu’ils devront prendre des décisions liées à la stratégie ou même à la configuration", a dit Vasseur.

"Mais en prévision de la course, nous allons d’abord nous concentrer sur nous-mêmes : nous voulons vérifier si la voiture est plus cohérente en termes de dégradation des pneus, ce qui semble être le cas, et ensuite nous verrons ce que nous pouvons ramener à la maison. Le premier objectif est de ne laisser aucun point sur la table".

Faudra pas qu'ils fassent d'erreur de stratégie, espérons que Vasseur soit au niveau !


De bonne augure ?

Ce que je crois savoir est que Max "partirait" en durs (C1 - blancs) et Charles en soft (C4 - rouges), donc, ça devrait donner un avantage à Leclerc au départ, ou dans les premiers tournants...

Le Grand Prix de Bahreïn a livré un verdict mitigé pour Ferrari. L’écurie italienne se positionne comme la deuxième force du plateau derrière Red Bull, mais des points d’ombre subsistent.

Le principal motif de satisfaction réside dans la réduction de l’écart avec Red Bull. En 2023, Carlos Sainz accusait un retard de 48 secondes sur le vainqueur Max Verstappen, tandis qu’il n’a concédé que 25 secondes cette année. "On a comblé 50% de l’écart avec Red Bull en course par rapport à il y a un an", souligne Fred Vasseur, directeur de Ferrari F1.

Malgré son podium, Carlos Sainz n’est pas pleinement satisfait : "C’était une course difficile, avec des problèmes de freins qui m’ont empêché d’attaquer comme je le voulais".

Autre point positif, la performance de Charles Leclerc. Malgré des problèmes de freins "dangereux", il a arraché la quatrième place, preuve de la combativité du pilote et de la compétitivité de la monoplace. "Globalement, Charles a fait un très bon travail", analyse Vasseur.

Le Grand Prix d’Arabie Saoudite offrira de nouvelles indications sur la hiérarchie du plateau. Un verdict définitif sur la capacité de Ferrari à rivaliser avec Red Bull ne pourra être rendu qu’après plusieurs courses, nuance Vasseur : "On aura une meilleure image de la situation globale après Melbourne (3ème GP), probablement".

En conclusion, Ferrari a montré des signes encourageants à Bahreïn, mais la route vers le succès est encore semée d’embûches. L’écurie italienne devra corriger ses défauts et maintenir sa dynamique de progrès pour espérer défier Red Bull.

Franchement Ferrari a fait une course de premier plan, compte tenu de ses problèmes de freins.
Ce sont les pilotes qui ont assurés, et sans eux pas de podium.

Clousot a écrit:

Franchement Ferrari a fait une course de premier plan, compte tenu de ses problèmes de freins.

Jock Clear, ingénieur en chef des performances chez Ferrari, a révélé que l'équipe ne maîtrisait pas complètement les problèmes de freins qui ont ruiné le Grand Prix de Bahreïn de Charles Leclerc.

Leclerc a commencé la course à Bahreïn depuis la deuxième place sur la grille, mais a rapidement commencé à chuter dans le classement, luttant visiblement avec les freins de sa SF-24 et se bloquant un peu partout.

Ferrari a révélé plus tard que la SF-24 n°16 souffrait d'une différence de température de 100 degrés entre les freins avant gauche et droit.

L'ingénieur de performance de l'équipe italienne de Formule 1, Jock Clear, a été interrogé par les médias à Jeddah jeudi sur la situation concernant les problèmes de freins, d'autant plus qu'il est apparu que Carlos Sainz - en plus de lutter contre la maladie (il a la "va-vite" ) - souffrait de problèmes de voiture qui pourraient être liés aux freins.

"Nous enquêtons", a répondu Clear lorsqu'on lui a demandé si Ferrari avait trouvé une solution au problème. "Il est évident que nous n'avons eu que quelques jours entre aujourd'hui et la semaine dernière, l'usine est très éloignée".

"Nous avons donc enquêté autant que possible et nous avons pris les choses en main avec l'aide de Brembo. Nous sommes venus ici, nous n'avons pas de problème particulier. Je pense donc que nous avons tiré un trait sur cette affaire", a-t-il déclaré.

"Pour être honnête, nous ne maîtrisons pas complètement le problème, ou nous ne l'avons pas complètement identifié".

"Mais nous sommes convaincus qu'en venant ici, nous avons fait quelques changements qui feront que ce ne sera pas un problème ce week-end", a conclu l'ingénieur de Ferrari.

Bahreïn et l'Arabie Saoudite étant deux week-ends consécutifs, il est compréhensible que Ferrari n'ait pas pu procéder à une analyse approfondie du problème de freinage, mais le fait d'insister sur le fait qu'il ne se produira pas sur le circuit de Jeddah Corniche, tout en admettant qu'ils n'ont pas complètement identifié le problème, soulève quelques questions.

Shit, shitty shit !

Ou alors c'était la pression du vent sur l'aéro de la SF24.

D’Ambrosio, ancien pilote de F1 avec 20 Grands Prix à son actif, a rejoint Mercedes début 2023 après avoir dirigé l’écurie Venturi en Formule E. Son rôle au sein de l’écurie allemande consistait à superviser le programme des jeunes pilotes, aux côtés de Gwen Lagrue.

Son départ de Mercedes coïnciderait avec celui de Lewis Hamilton, qui s’envolera vers la Scuderia Ferrari à la fin de la saison 2024. Si les deux évènements ne semblent pas directement liés, cela permettrait à Hamilton de retrouver un visage familier au sein de la Scuderia.

D’Ambrosio a déjà été cité comme un possible successeur de Toto Wolff à la tête de Mercedes, mais le contrat renouvelé de l’Autrichien début 2024 a mis fin à ce scénario. Son arrivée chez Ferrari pourrait s’avérer un atout précieux pour l’écurie italienne, qui cherche à renouveler ses talents et à retrouver son lustre d’antan.

Le jeune Oliver Bearman a admis qu’il se sentait physiquement détruit après sa première course en Formule 1 au Grand Prix d’Arabie Saoudite où il a remplacé à la hâte l’Espagnol Carlos Sainz, forfait en raison d’une appendicite.

Bearman a réalisé une performance solide ce samedi à Djeddah au volant de la Ferrari SF-24 sur un circuit réputé pour être l’un des plus difficiles du calendrier en raison des vitesses élevées atteintes. Pour ne rien arranger, le Britannique – qui évolue dans le championnat de Formule 2 – n’a eu qu’une seule séance d’essais libres avant d’être jeté en qualifications puis en course le lendemain.

Onzième sur la grille de départ après avoir échoué à entrer en Q3 pour 36 millièmes la veille lors des qualifications, Oliver Bearman a réalisé une course solide et n’a commis aucune erreur, il franchira la ligne d’arrivée à la septième place avec le sourire mais légèrement "détruit" physiquement.

"Je suis détruit. Physiquement, c’était une course vraiment difficile, surtout à la fin" a déclaré Bearman ce samedi soir à Djeddah.

"A la fin, quand j’avais les deux gars derrière moi en Tendres, j’ai dû attaquer à fond et c’était une course difficile mentalement comme prévu, et physiquement, j’avais aussi du mal, mais c’était très amusant".

Lorsqu’on lui a demandé s’il s’attendait à avoir mal un peu partout ce dimanche, Bearman a répondu : "Je pense que c’est surtout le bas de mon dos et mon cou qui me font mal. Ces sièges [baquets] demandent un peu de réglages, mais comme c’est la première course, nous n’avons pas eu le temps de nous concentrer là-dessus".

"Ce n’était pas le plus confortable, mais je suis heureux d’avoir terminé. La douleur était une bonne motivation pour terminer la course plus vite".

E tout cas, bravo à lui !

Le cou, le dos c'est dire à quel point cette discipline est exigeante même à l'âge de 19 ans et faisant partie de la filière Ferrari.
Olivier Bearman est un virtuel champion en F2 et le voilà catapulté en F1 pour remplacer au pied levé un pilote de pointe. Vraiment il faut le faire et il s'en souviendra. Déjà une sacrée mention dans son jeune CV.

Bien qu'il y ait encore un écart considérable entre Ferrari et Red Bull, Vasseur insiste pour voir le verre à moitié plein, estimant que son équipe peut maintenant travailler à partir de la plate-forme dont elle dispose pour s'améliorer et mener le combat contre les champions de F1 en titre.

S'exprimant après la course de Jeddah, Vasseur a déclaré : "Je ne veux pas être pessimiste, car c'était un bon week-end et nous devons être optimistes et profiter de ces moments, mais il est clair que Red Bull est toujours devant".

"Quand nous étions à une seconde derrière, c'était inutile, mais maintenant, avec un bon départ, nous pouvons être là, nous pouvons nous battre", a-t-il insisté. "Je pense qu'à Jeddah, il était assez facile pour eux de dépasser parce qu'ils avaient une meilleure vitesse de pointe - c'était un choix - mais à certaines occasions, nous aurons d'autres opportunités".

Alors que Ferrari a jusqu'à présent remporté presque le double de points par rapport à 2023, Vasseur a insisté sur le fait que le championnat était le cadet de ses soucis, sa priorité étant le développement de la SF-24, qui s'avère déjà être une meilleure voiture que sa prédécesseur.

Un aspect qui prouve que la SF-24 est une amélioration est le fait qu'elle a montré à Bahreïn et en Arabie Saoudite qu'elle est plus douce avec ses pneus que la voiture 2023, ce qui signifie que Ferrari a fait un bon pas vers l'élimination d'une faiblesse chronique qui a entaché ses dernières campagnes en F1.

"Si nous voulons rattraper notre retard, nous devons nous améliorer dans tous les domaines. C'est l'approche que nous avons adoptée l'année dernière et, au bout du compte, cela a porté ses fruits. Nous avons fait un bon pas en avant, mais nous devons continuer à progresser dans tous les domaines".

Vasseur avait bien senti qu'il fallait voir à moyen terme et surtout sur le développement de la SF24.
C'était il y a un an et Ferrari commençait une année bien difficile.
Il fallait apaiser les esprits au moment où tout le monde voulait sa tête. Bien vu l'artiste..

Clousot a écrit:

Vasseur avait bien senti qu'il fallait voir à moyen terme et surtout sur le développement de la SF24.
C'était il y a un an et Ferrari commençait une année bien difficile.
Il fallait apaiser les esprits au moment où tout le monde voulait sa tête. Bien vu l'artiste..

Oui, sage, mais attention aux promesses !


La Scuderia tente de déstabiliser son rival, profitant des tensions internes chez Red Bull pour tenter de débaucher les ingénieurs clés de l’équipe autrichienne.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] L’ambiance est électrique chez Red Bull. La relation entre Christian Horner et certains de ses lieutenants est tendue, créant un climat propice à la chasse aux talents. Ferrari l’a bien compris et a décidé de passer à l’attaque.

Selon la Gazzetta dello Sport, Ferrari a ciblé plusieurs figures clés de l’équipe Red Bull. Parmi les noms cités, on retrouve Pierre Wache, responsable de l’aérodynamique, et Enrico Balbo, chef de l’aérodynamique des champions du monde en titre. La Scuderia convoite également David Morgan, chef de la performance aérodynamique en piste, Ben Waterhouse, responsable de la performance, et Alessandro Germani, spécialiste du développement aérodynamique.

Le stratagème de Ferrari est audacieux et vise un double objectif. D’une part, l’écurie italienne espère s’approprier l’expertise et le savoir-faire des ingénieurs de Red Bull, éléments clés de la réussite de l’équipe autrichienne. D’autre part, en les débauchant, Ferrari prive son rival de talents précieux, fragilisant ainsi sa structure technique.

Et Adrian Newey dans tout ça ? 

ll est impensable que Ferrari ne rêve pas de le faire venir à Maranello. Des rumeurs persistantes font état d’un éventuel départ de Newey de Red Bull. Il est considéré comme le meilleur ingénieur de Formule 1 de tous les temps, et son arrivée chez Ferrari serait un véritable coup d’état.

En attirant les cerveaux qui ont conçu les monoplaces dominantes de l’ère des effets de sol, Ferrari espère prendre un ascendant crucial dans la course au titre. L’opération séduction est lancée, et son succès pourrait bien déterminer l’avenir de la Formule 1.

C'est de bonne guerre, mais il faudra que John Elkann porte la main au porte-feuille, et pas un peu...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Rappel : Elkann vaut net, 2,6 milliards de $.

Débaucher des ingés Red Bull ne portera ses fruits que pour 2026 et plus. 
On se perd un peu en conjecture i me semble. 
Adrian Newey à lui seul vaut de l'or et il le sait. John Elkann aussi. A suivre sur un tapis vert, je parie.

Clousot a écrit:

Débaucher des ingés Red Bull ne portera ses fruits que pour 2026 et plus. 
On se perd un peu en conjecture i me semble. 
Adrian Newey à lui seul vaut de l'or et il le sait. John Elkann aussi. A suivre sur un tapis vert, je parie.

Le gain des $ ? Qui sait ?

En dépit du net retard face à Red Bull, l'atmosphère chez Ferrari est à l'optimisme en ce début de saison 2024 de F1, Frédéric Vasseur jugeant que son équipe est désormais en position d'être un véritable challenger si elle continue sur sa lancée.

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"La performance vient de partout, et vous ne trouvez jamais cinq dixièmes par magie avec une seule évolution. Si nous voulons rattraper notre retard, nous devons nous améliorer dans tous les domaines. C'est l'approche que nous avons adoptée l'année dernière, et elle a porté ses fruits. Nous avons fait un bon pas en avant, mais dans chaque domaine, il faut continuer à pousser."

"Il est certain que l'aérodynamique est un élément clé. Nous avons des améliorations en préparation, mais je suis sûr que c'est le cas pour tout le monde. La chose la plus importante est d'apporter des améliorations que fonctionnent sur la voiture, et je pense que c'est là que nous avons fait du bon travail l'année dernière."

Il faut faire mieux, la RB20 est suprême pour le moment...

Ferrari a revu sa copie et elle promet.
Il faudra veiller à ne plus dépasser ses limites surtout en début de course lorsque Max est déjà devant.

Clousot a écrit:

Ferrari a revu sa copie et elle promet.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Le pilote monégasque a été près de quatre dixièmes plus rapide que Max Verstappen lors de la EL2 à Albert Park.

Leclerc a une nouvelle fois pris le dessus sur Verstappen lors de la FP3, devançant le champion du monde en titre de seulement deux centièmes de seconde.

Cependant, Leclerc garde à l'esprit à quel point l'équipe basée à Milton Keynes a été dominante au cours des deux dernières saisons et, bien qu'il pense que Ferrari est en meilleure position aujourd'hui qu'il y a deux courses, le vainqueur du GP d'Australie 2022 pense que l'écurie autrichienne peut encore avoir un avantage sur elle.

Leclerc espère beaucoup de Melbourne

"Je dirais que nous sommes dans une meilleure position que lors des deux premières courses", a déclaré Leclerc, "Cependant, Red Bull n'a pas encore poussé, donc nous devons attendre et voir où se situe leur potentiel".

Ben on l'a vu en qualifications via Max...Après que Verstappen a décroché la pole position en Australie, Ferrari peut-elle défier Red Bull dans la course de dimanche alors que ses deux pilotes s'élancent sur la première et la troisième ligne de la grille ?

Vous en pensez quoi vous ?

Charles se motive comme il peut mais franchement je ne vois pas pourquoi Red Bull se sentirait moins bien à Melbourne.

Clousot a écrit:

Charles se motive comme il peut mais franchement je ne vois pas pourquoi Red Bull se sentirait moins bien à Melbourne.

En ayant un frein en feu !  

Et oui la Red Bull a toussé, c'est rare mais ça peut arriver. 

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] La victoire de Carlos Sainz, conjuguée à l’abandon de Lewis Hamilton, a fait naître une controverse autour de la décision de Ferrari de remplacer l’Espagnol par le Britannique en 2025.

Pour beaucoup, la décision de Ferrari est incompréhensible. Sainz, 29 ans, est en pleine ascension. Il a remporté les deux courses qui ont échappé à Red Bull et c’est le seul pilote à avoir battu Verstappen sur cette période. Sa victoire en Australie, 15 jours après une appendicectomie, est une performance remarquable qui rappelle sa force mentale et sa capacité à briller dans les moments difficiles.

La presse espagnole est vent debout contre la décision de Ferrari. "Marca", le journal sportif le plus lu du pays, n’y va pas par quatre chemins : "Ferrari a choisi de se débarrasser de son meilleur pilote actuel, Sainz, pour mettre Hamilton, un pilote en déclin ( ) clair, non pas tant en talent qu’en moral et en attitude. La décision n’est pas basée sur des valeurs sportives, mais plutôt sur du marketing".

Vasseur refuse toutefois de commenter l’avenir, se contentant de déclarer qu’il préfère se concentrer sur le présent. Mais les performances contrastées des deux pilotes laissent planer un doute légitime sur la pertinence de la décision de l’écurie italienne, même si, ne l’oublions pas, Lewis Hamilton est un septuple champion du monde de F1.

Sainz se retrouve désormais sans baquet pour 2025. Sa victoire au Grand Prix d’Australie n’est pas seulement un exploit sportif, mais aussi un message fort adressé à Ferrari.

En remportant cette course, Sainz prouve qu’il méritait sa place au sein de l’écurie italienne et que sa contribution à l’équipe ne doit pas être sous-estimée.

Je suis pleinement d'accord avec cet article, Louise en déclin, Sainz en pleine ascension qu'il n'a pas pu démontrer !