Scuderia Ferrari

Ferrari a un potentiel tout à fait nouveau, la preuve.

Clousot a écrit:

Ferrari a un potentiel tout à fait nouveau, la preuve.

Oui, mais il faut que ça dure !



Le directeur d'équipe de Ferrari, Mattia Binotto, affirme que son équipe est beaucoup mieux préparée à lutter contre ses rivaux en 2022 sur le front du développement, après avoir été déficiente dans ce domaine.

Ferrari a abordé la saison 2022 de Formule 1 très bien préparée, avec sa F1-75 qui échange des places avec la RB18 de Red Bull en haut de la hiérarchie, mais avec une saison longue, le développement sera le nom du jeu cette année, et si Binotto admet que son équipe n'a pas pu suivre les autres dans ce département les années précédentes, la Scuderia s'est depuis ressaisie.

"Maintenir le niveau sur une longue saison est un défi, pas seulement pour nous mais pour toutes les équipes", a déclaré Binotto au site officiel de la F1. "Il est vrai que nos concurrents ont un développement très fort ; en 2017 et 18, nous avions perdu un peu de terrain".

"Mais depuis, dans la conception de la voiture, nous avons amélioré notre soufflerie, nos technologies, nos processus et nos simulations et donc aujourd'hui nous sommes beaucoup mieux préparés que par le passé pour faire un bon travail de développement", a-t-il ajouté.

"Nous devons nous assurer que nous avons la bonne politique à cet égard, car cela pourrait changer la donne dans la lutte pour le développement", a prévenu M. Binotto.

Ferrari semble être parti en course en 2022 avec son propre moteur "épicé", car même ses équipes clientes semblent apprécier la puissance en ligne droite si l'on en croit les deux premières courses, ce qui représente un grand retournement de situation pour la firme italienne.

"L'année dernière, nous avions un désavantage et nous avons essayé de rattraper notre retard, et maintenant nous sommes plus dans la ligne", a révélé Binotto. "Sur les deux premières courses, jusqu'à présent, il semble que la différence soit très faible - et nous arrivons à une convergence".

"Là où le moteur était un désavantage pour nous l'année dernière, il ne l'est plus", a-t-il insisté.

Le Grand Prix d'Australie est le prochain sur le calendrier, et le patron de Ferrari affirme que rien de significatif ne changera dans la voiture de l'équipe à Melbourne.

"Ce n'est pas seulement une question de date à laquelle nous serons prêts, mais une question de plafond budgétaire, pour s'assurer que nous ne dépensons pas tout ce que nous avons dans les premières courses", a expliqué Binotto.

"Nous ne nous attendons pas à des améliorations importantes pour la prochaine course à Melbourne, mais dès que nous pourrons apporter quelque chose, nous le ferons", a-t-il maintenu.

On ne sait pas encore si Ferrari peut se battre pour le titre tout au long de la saison contre la formidable force de Red Bull, et de Mercedes si cette dernière décide de se joindre à la fête après son début de saison difficile.


Mais l'équipe de Maranello a démarré fort à plusieurs reprises pour ensuite perdre de la vitesse ou de la précision à mi-chemin de sa campagne, alors il reste à voir si ce sera le cas cette année.

Jusqu'à présent, tous les signes montrent que les "Reds" sont favoris, mais la saison est encore jeune.

+1 ma grande.

Mieux vaut avancer que reculer !

Ce que le diffuseur de Ferrari annonce sur les futures évolutions : (motorsport.com)


Ferrari n'a pas fait évoluer sa voiture depuis les essais de pré-saison. Mais en testant un nouveau diffuseur au GP d'Australie, l'écurie a donné un premier indice sur les mises à jour qui seront faites prochainement.

Comme l'a récemment expliqué Mattia Binotto, il faudra encore patienter quelques semaines de plus avant de voir de premières grosses mises à jour sur la monoplace rouge.

Pour la prochaine manche, à Imola, Ferrari fera rouler une fois de plus un package éprouvé pour ne pas prendre de risques avec le format sprint mis en place, qui supprime une séance d'essais libres et instaure le parc fermé dès le vendredi.

Binotto a toutefois laissé entendre que Ferrari effectuerait de petites modifications sur la F1-75 afin d'essayer d'éliminer le phénomène de marsouinage dont l'équipe souffre occasionnellement.

Vraisemblablement, le Cheval Cabré l'a fait en s'occupant du diffuseur, Charles Leclerc ayant testé une version révisée lors des EL1 du GP d'Australie. Ces modifications étaient visibles sur la section située entre le bout de la planche et la structure de crash-test, avec l'ajout d'une bosse au centre également.

L'objectif de ces changements est de rendre le train arrière plus stable. Bien que cela sacrifie un peu de volume, la géométrie révisée devrait augmenter l'appui suivant certains réglages de hauteur de caisse, ce qui pourrait aider à mieux gérer les oscillations. Ferrari a déjà récolté des données en Australie, le diffuseur modifié pourrait donc être installé sur les deux voitures à Imola.

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Notons qu'à Melbourne, le Cheval Cabré a placé des capteurs optiques de hauteur de caisse à chaque extrémité et au centre de l'aileron avant sur la voiture de Carlos Sainz. Et pour accumuler les données, des caméras servant à filmer la déformation de la plaque d'extrémité ont été ajoutées, avec des autocollants à damier servant de point de référence au moment d'étudier les images.

Ils sont sans limite maintenant, ils peaufinent, ils ajustent bref ils se rassurent.
Je n'aurais pas cru que leur progression en 22 allait s'avérer si "insolente".

Clousot a écrit:

Ils sont sans limite maintenant, ils peaufinent, ils ajustent bref ils se rassurent.
Je n'aurais pas cru que leur progression en 22 allait s'avérer si "insolente".

Attendons et voyons mon Clou, ne pas s'emballer surtout, il n'y a eu que 3 GP, il en reste théoriquement 20...

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Irvine recommande des "ordres précis" de l'équipe Ferrari pour protéger Leclerc [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Irvine estime que Sainz est plus susceptible de poser des problèmes à son coéquipier dans la lutte pour le titre, comparé à Perez et Verstappen.

Il recommande donc que le directeur d'équipe Mattia Binotto impose des consignes d'équipe pour protéger Leclerc, comme ce fut le cas pour Irvine lorsqu'il était partenaire de Michael Schumacher chez Ferrari.

Binotto a déjà abordé le sujet et a déclaré qu'il ne le fera pas [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

"C'est un problème pour Charles parce que Sainz qui est numéro (AH Bon ? )deux peut occasionnellement se retrouver devant lui", a déclaré Irvine à La Gazzetta dello Sport.

"Si j'étais Mattia Binotto, je donnerais des ordres précis, comme à mon époque, car battre Verstappen est déjà difficile, si en plus vous avez un coéquipier qui peut vous enlever des points"...

Les deux abandons de Verstappen cette saison étaient indépendants de sa volonté, mais Irvine pense qu'en général Verstappen, tout en étant le pilote le plus rapide de Formule 1, est plus enclin à l'erreur.

Quant à Leclerc, Irvine affirme que le pilote monégasque ne fait pas d'erreurs.

"Je ne pense pas qu'il y ait quelqu'un de plus rapide que Verstappen, mais il fait quand même beaucoup d'erreurs et Leclerc n'en fait pas", a-t-il déclaré.

Mouais, Irvine ! Très bof, bof !

dom465 a écrit:

Mouais, Irvine ! Très bof, bof !

On est bien d'accord Dom !

Ferrari exécute son meilleur début de saison depuis 2004 (en ajustant le barème de points). Mais en 2017 et 2018 aussi, elle était bien partie. Avant de s’effondrer…

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Savez-vous comment les ingénieurs de Ferrari appellent les pontons creusés qui bordent les flancs de la F1-75 ? Des “bocaux à poisson rouge” selon les confessions de Mattia Binotto.

Devant la pêche miraculeuse de la Scuderia, deux victoires et 104 points récoltés en trois courses, seuls ceux ayant une mémoire de poisson rouge penseront que Maranello renoue avec le succès pour la première fois depuis des lustres. Car en 2017, Sebastian Vettel et Kimi Räikkönen avait amassé 102 points lors des trois premiers Grands Prix.

Malgré ces solides départs, ses espoirs de sacre en rouge se sont terminés en queue de poisson, à cause d’une multitude d’erreurs que la Scuderia doit éviter aujourd’hui si elle espère conquérir le titre mondial.

1. UN DÉVELOPPEMENT INEFFICACE

Aujourd’hui, Ferrari dispose avec la F1-75 d’une machine rapide, fiable équilibrée, bien motorisée et économe avec ses pneus. Mais cela sera-t-il encore le cas dans quelques mois ?

En 2017, la SF70, plutôt bien développée, manquait de fiabilité, panne moteur en Malaisie, abandon au Japon à cause d’une bougie. Un an plus tard, la SF71H qui lui succéda connut un développement erratique (une nouvelle suspension introduite en Russie compliqua l’exploitation des gommes, obligeant l’équipe à faire marche arrière), qui empêcha le Cavallino de rester au contact des Flèches d’argent.

Ces expériences douloureuses ont marqué l’écurie, qui en a tiré les leçons.

“Maintenir le rythme de développement est toujours difficile, souligne Mattia Binotto. Il est vrai que nos concurrents ont prouvé qu’ils étaient très solides dans ce domaine, alors que nous avons perdu du terrain lors des deux occasions que nous avons eues en 2017 et 2018”.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] “Mais depuis lors, nous avons amélioré nos outils : la soufflerie, les méthodes, les processus, le simulateur, etc. Nous sommes aujourd’hui beaucoup mieux préparés pour faire ce qu’il faut en matière de développement”.

2. DES ERREURS INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES

En 2017 et 2018, avec les SF70 et SF71H sculptées par le créatif David Sanchez, la Scuderia disposait du matériel nécessaire pour dominer les Mercedes. Mais l’écurie commit plusieurs erreurs stratégiques, alors que Vettel accumula les erreurs de pilotage, Singapour en 2017, France, Allemagne, Italie, Japon un an plus tard.

Entre occasions manquées et erreurs manifestes, Maranello et Vettel laissèrent filer des titres qui leur semblaient promis. Pareille revers pourrait-il encore se reproduire aujourd’hui ?

S’il est difficile de se prononcer sur le volet stratégique après seulement trois courses, on peut en revanche souligner le sang-froid de Charles Leclerc, notamment dans ses combats roue contre roue avec Max Verstappen. Mais il a commis beaucoup d’erreurs ces deux dernières campagnes (cinq en 2020 et trois sorties de pistes en 2021). Sans doute parce qu’il surpilotait afin de compenser l’infériorité intrinsèque de sa voiture face aux Mercedes et autres Red Bull. Or, aujourd’hui, au volant d’une machine compétitive, il n’a plus besoin de forcer le destin.

3. UNE INAPTITUDE À SAISIR L’OCCASION

Si l’on en croit l’histoire récente des Grands Prix, un bouleversement dans les règles techniques entraîne bien souvent – presque toujours, même – un changement dans la hiérarchie.

En 2017 et 2018, l’écurie Ferrari disposait d’une excellente monoplace, parfois plus rapide que la Flèche d’argent, mais elle perdit beaucoup de points en accumulant les fautes opérationnelles. Elle ne profita donc pas pleinement du contexte favorable qu’offrait la refonte du règlement technique. Saura-t-elle saisir sa chance cette année ?


Le vendredi à Melbourne, elle a simplement ajouté un carénage sur le diffuseur de la F1-75, au lieu de fabriquer un nouveau fond plat comme elle l’aurait fait avant le plafonnement des dépenses. L’objectif n’était pas de l’installer sur la voiture, mais d’évaluer l’évolution et de récolter des données en vue de mieux comprendre le fonctionnement du diffuseur. Le tout sans devoir fabriquer un soubassement complet.

“Le carénage qu’on ajouté le vendredi matin sur la voiture de Leclerc modifie la forme du diffuseur", explique le chef des opérations de la Scuderia Claudio Albertini. "C’était une pièce à tester. On savait dès le début qu’on n’allait pas la monter pour la qualification ni pour la course. Comme il n’y a plus d’essais privés, il est courant de se servir du vendredi pour évaluer des pièces et recueillir des données.”

Autrement dit, les données récoltées permettent de vérifier la corrélation de la soufflerie, tout en évaluant la nouvelle forme du diffuseur dans des conditions réelles, ce qui est particulièrement utile si l’on veut supprimer le pompage, qui ne peut être reproduit en soufflerie. On le voit, la Scuderia a adopté une approche prudente, méthodique, en limitant les évolutions afin de ne pas parasiter sa compréhension de la voiture.

Si les premiers indices suggèrent que Ferrari est mieux préparée qu’en 2017 et 2018, il faudra que les courses suivantes confirment la tendance, il reste 87 % des Grands Prix à disputer…

Après avoir mangé de la vache enragée ces deux dernières saisons, le Cheval cabré a pris un bon départ. Mais – pour reprendre les personnages de Lafontaine –, la tortue doit se méfier du lièvre...Red Bull.

Bel article Renaud.
Ferrari doit surfer sur la vague comme elle sait le faire pour le moment.
Elle doit tout faire pour garder l'équilibre et surtout ne pas s'y croire, ce serait sa faute et je crois qu'elle le sait.

Clousot a écrit:

Bel article Renaud.
Ferrari doit surfer sur la vague comme elle sait le faire pour le moment.
Elle doit tout faire pour garder l'équilibre et surtout ne pas s'y croire, ce serait sa faute et je crois qu'elle le sait.

:merci:  (j'ai cité l'origine)



Le président de Ferrari, John Elkann, est enchanté que la Scuderia soit en compétition au plus haut niveau lors de la saison 2022 de Formule 1, l'équipe étant en tête des championnats des pilotes et des constructeurs jusqu'à présent.

Des années de travail acharné portent leurs fruits pour Ferrari avec un début de saison de Formule 1 exceptionnel, a déclaré mercredi le président de l'entreprise.

"Nous avons dit il y a deux ans que nous devions travailler dur pour redevenir compétitifs et le championnat 2022 a pris un départ vraiment passionnant", a déclaré Elkann lors de la réunion annuelle des actionnaires de Ferrari.



Ferrari doit continuer à travailler sans relâche

Ferrari a dégringolé à la sixième place du classement général lors de la saison 2020, son plus mauvais classement depuis 1980, mais a remonté à la troisième place l'an dernier sous la direction de Mattia Binotto et sa nouvelle voiture semble, maintenant à la fois rapide et fiable.


"Comme tous nos tifosi du monde entier, je suis ravi que nous soyons en compétition au plus haut niveau", a déclaré Elkann.

"Cela dit, nous savons que la saison ne fait que commencer et en Formule 1, vous êtes toujours au milieu de concurrents féroces. Nous devons travailler sans relâche en tant qu'équipe pour optimiser chaque aspect de nos performances".

"C'est l'esprit et l'approche que je suis impatient de voir à Imola et au fur et à mesure que la saison avance."

L'Espagnol a rejoint Ferrari la saison dernière pour un contrat de deux ans, faisant équipe avec Charles Leclerc dans l'un des partenariats les plus excitants de la grille.

Sainz a surpris beaucoup de monde, mais a justifié la confiance de Ferrari en lui, lorsqu'il a battu son coéquipier la saison dernière, en montant sur quatre podiums contre un pour Leclerc.

Les rôles se sont inversés au début du championnat de cette année, Leclerc étant la force dominante avec deux victoires en course et trois podiums au total. Sainz n'en a que deux.

Ferrari, cependant, garde confiance en l'homme de 27 ans, en lui faisant signer un nouveau contrat de deux ans.

"Je suis très heureux d'avoir renouvelé mon contrat avec la Scuderia Ferrari", a déclaré l'ancien pilote McLaren.

"J'ai toujours dit qu'il n'y avait pas de meilleure équipe de Formule 1 pour laquelle courir et après plus d'un an avec eux, je peux confirmer que revêtir cette combinaison de course et représenter cette équipe est unique et incomparable".

"Ma première saison à Maranello a été solide et constructive, avec tout le groupe qui a progressé ensemble. Le résultat de tout ce travail a été clairement visible depuis le début de la saison".

"Je me sens renforcé par cette nouvelle preuve de confiance en moi et maintenant je suis impatient de monter dans la voiture, de faire de mon mieux pour Ferrari et de donner à ses fans de quoi se réjouir".

"La F1-75 s'avère être une voiture de tête, qui peut me permettre de poursuivre mes objectifs sur la piste, à commencer par remporter ma première victoire en Formule 1".

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Le patron de l'équipe, Mattia Binotto, pense que Sainz a montré au cours de son temps avec Ferrari pourquoi il est la moitié de la "meilleure paire de pilotes" sur la grille (j'approuve ! :Evil laugh:  )

"J'ai dit à plusieurs reprises que je pense que nous avons le meilleur duo de pilotes en Formule 1 et donc, avec chaque course qui passe, il semblait tout à fait naturel de prolonger le contrat de Carlos, assurant ainsi la stabilité et la continuité", a-t-il déclaré.

"En dehors de la voiture, c'est un travailleur acharné qui a l'œil pour le moindre détail, ce qui a aidé l'ensemble du groupe à s'améliorer et à progresser".

"Ensemble, nous pouvons viser des objectifs ambitieux et je suis sûr qu'avec Charles, il peut jouer un rôle important pour entretenir la légende Ferrari et qu'il écrira de nouveaux chapitres dans l'histoire de notre équipe."

Oui mieux vaut la longueur de temps que de changer de pilotes au gré d'un papier.

Yes bonne nouvelle c'est un pilote, agrable ( il me semble), rapide, talentueux, travailleur et humble.

yoh a écrit:

Yes bonne nouvelle c'est un pilote, agrable ( il me semble), rapide, talentueux, travailleur et humble.

Je trouve aussi, je l'aime bien le junior !


Un package largement revu dès Barcelone ?


Ferrari apportera des pièces nouvelles au Grand Prix de Miami le week-end prochain. Mattia Binotto a confirmé que la Scuderia avait développé un ensemble pour ce circuit plus rapide, en attendant une plus grande évolution.

"Nous aurons quelques nouvelles pièces sur la voiture parce que Miami est un circuit à grande vitesse par rapport à ceux que nous avons eus jusqu’à présent" a déclaré Binotto. "En termes d’appui, nous allons utiliser quelque chose de différent."

"Nous espérons que le niveau d’appui que nous apporterons à Miami sera efficace. Mais nous savons aussi que nous avons un bon package d’appui moyen-faible qui sera compétitif. Nous allons donc adapter notre voiture en termes de niveau d’appui, ce qui est important."

Bien que la F1-75 s’adapte très bien au marsouinage qu’elle subit, Binotto confirme qu’elle perd de la performance avec ce phénomène. Il note aussi qu’une grosse évolution arrivera peu après le Grand Prix de Miami, possiblement dès Barcelone, donc.

"Nous travaillons toujours sur le marsouinage qui, comme vous le voyez, est assez visible. Nous en avons certainement plus que la Red Bull et il y a là un certain potentiel de performance que nous devons essayer d’obtenir. Donc c’est le principal pour Miami, mais les principales améliorations viendront peu après."

Ce que je disais hier...




Ferrari a annoncé l'arrivée de plusieurs évolutions pour réduire sa traînée, afin de tenir tête à Red Bull dans les longues lignes droites du circuit de Miami.

Ferrari a débuté la saison 2022 en trombe, avec deux victoires sur les quatre premiers Grands Prix. Clairement dans le rythme à Bahreïn et à Djeddah, l'écurie de Maranello a complètement dominé le week-end du Grand Prix d'Australie, avec le premier Grand Chelem de Charles Leclerc. Cependant, le Grand Prix d'Émilie-Romagne a quelque peu calmé les ardeurs de la Scuderia. Carlos Sainz a enchaîné un deuxième abandon de suite, tandis que Leclerc a perdu des points précieux dans un tête-à-queue survenu en fin de course.

Même sans cette sortie de piste, Ferrari n'aurait pas pu jouer la victoire. Car lorsque Red Bull n'est pas victime de sa fiabilité, l'écurie de Milton Keynes affiche un rythme insoutenable. C'était le cas à Imola, où Max Verstappen y est allé lui aussi de son Grand Chelem, tandis que Sergio Pérez a complété le premier doublé de l'écurie depuis la Malaisie, en 2016.

Jusqu'à maintenant, Ferrari a choisi de ne pas trop toucher à sa voiture : chaque course permet d'en apprendre d'avantage sur cette monoplace récente, ce qui permet d'affiner son développement.

Le résultat décevant d'Imola ne changera pas la donne. En revanche, l'écurie modifiera sa configuration pour le Grand Prix de Miami le week-end prochain, comme elle l'a annoncé récemment. En effet, le tracé américain proposera de longues lignes droites aux pilotes, ce qui forcera les mécaniciens à utiliser des réglages comportant un faible appui pour mettre l'accent sur la vitesse de pointe.

Mattia Binotto, patron de Ferrari, est conscient que la vitesse de pointe est l'élément à travailler pour ses hommes, alors que Red Bull a l'avantage dans les lignes droites. Interrogé sur d'éventuelles évolutions majeures pour Miami, l'Italien dément : "Non, nous n'en aurons pas à Miami. Mais nous aurons quand même quelques nouvelles pièces sur la voiture. Par rapport aux circuits que nous avons visités, Miami est très rapide et en termes d'appui, nous aurons quelque chose de différent comparé à ce que nous avions précédemment."

Selon le dirigeant, l'écurie va également poursuivre ses essais pour tenter d'endiguer les problèmes de marsouinage, qui affectent toujours la F1-75. "Nous travaillons toujours sur le marsouinage, qui est plutôt visible. Nous en avons, certainement plus que Red Bull, et il y a un potentiel de performance que nous devons aller chercher là-dedans."

Il n'a quand même pas de bol Carlos, et la Ferrari qui à sont tour connaît des problèmes de fiabilité ?



Carlos Sainz est impatient de partir d’Imola et d’y retourner le plus tard possible. La malchance n’a pas quitté le pilote espagnol, même lors des tests que Pirelli a organisés avec les équipes pour essayer les pneus 2023.

Comme le confirme Tobi Grüner du magazine allemand Auto Motor und Sport, la Ferrari de Sainz s’est arrêtée pendant les essais d’hier en raison d’un problème de moteur.

D’après les images prises sur le circuit de Santerno, l’excellent état des pneus suggère que la F1-75 venait de reprendre la piste.

Sainz a tout de même réussi à faire 51 tours, partageant le travail de la journée avec Charles Leclerc, qui a fait 63 tours.

Pour Sainz, les trois dernières semaines sont à oublier en termes de résultats sur la piste : un drapeau rouge lui a enlevé un tour de deuxième ligne à Melbourne et sa course a été gâchée par un tête-à-queue.

A Imola, l’Espagnol a heurté le mur en Q3 et a ensuite été percuté par Daniel Ricciardo au premier tour de la course.

On ne dis pas ce que le moteur de Sainz à eu...

Je compare Ferrari 2022 à Merco 2021 avec Lewis et Bottas contre Leclerc et Sainz en 2022.

Clousot a écrit:

Je compare Ferrari 2022 à Merco 2021 avec Lewis et Bottas contre Leclerc et Sainz en 2022.

Tu veux dire "Louise et George" !?

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Imola a été un week-end éprouvant pour Ferrari. Ils ont estimé que le circuit aurait dû convenir davantage à la F1-75 plutôt qu'en l'Australie, où Charles Leclerc a décroché sa deuxième victoire en trois courses, mais ce sont les rivaux de Red Bull qui ont été les plus forts.

La douleur de la Scuderia a commencé vendredi lorsque Carlos Sainz a été accidenté lors des qualifications. Il s'est rétabli à la quatrième place du Sprint F1, mais lui et son coéquipier Leclerc sont partis du côté le plus glissant de la grille pour l'épreuve principale de dimanche et ont perdu des places sur la ligne de départ.


Alors que Ferrari, sous le regard du président John Elkann, a quitté Imola en conservant la tête du championnat des constructeurs, Red Bull n'est plus qu'à 11 points. C'est la première fois que Ferrari a montré une grosse faille dans son armure de 2022. Mais est-ce le premier signe d'un défi Ferrari qui brille d'abord avant de s'éteindre rapidement - ou juste une anomalie ?

John Elkann : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Avec la F1-75, ils ont une voiture qui était rapide dès le départ. Ils comprennent l'ensemble et savent comment en tirer le meilleur parti. Et bien qu'ils n'aient pas fait de mise à jour depuis que la voiture est entrée en piste à Barcelone, ils se battent toujours pour la victoire. En revanche, Red Bull a apporté une voiture fortement révisée aux essais de pré-saison à Bahreïn, et a apporté des pièces à chaque course - y compris des petits morceaux à la dernière épreuve à Imola.

Ces dernières années, ces gros appels sous pression lorsqu'ils se battent à l'avant ont été l'une de leurs faiblesses. Et il y a encore du travail à faire. Sur le tour où Sainz s'est planté lors des qualifications à Imola, après avoir effectué un tour suffisamment confortable pour progresser, son ingénieur lui a dit à plusieurs reprises de pousser. Cela n'excuse pas, bien sûr, l'erreur commise par Sainz lorsqu'il a fait un tête-à-queue et a heurté le mur, mais peut-être que l'approche de l'Espagnol sur ce tour aurait été différente s'il n'avait pas eu cet appel répété.

Sainz a une caméra jaune, et des lignes jaunes sur les protecteurs de roues à l'avant :

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Il sera intéressant de voir comment Ferrari répondra à la défaite d'Imola.

Le président de Ferrari, John Elkann, m'a dit lorsque nous avons discuté à Imola : "Nous avons dit que nous serions compétitifs, et nous le sommes. Mais être compétitif et gagner, c'est comme aller sur la Lune ou sur Mars - c'est extrêmement difficile. Nous savons que les championnats se gagnent ou se perdent à la dernière course ou au dernier tour, et cela avec des variables que nous contrôlons, et beaucoup que nous ne contrôlons pas. C'est pourquoi la F1 est un sport si passionnant et nous sommes, en tant que Ferrari, si excités par ce défi."

Ferrari se serre les coudes face à la défaite, et ne se divise pas en factions. "Nous sommes un peu mécontents des résultats [à Imola] mais nous devons garder la tête haute, cela fait partie de la course", a déclaré Binotto. "Certaines courses peuvent mal tourner mais je pense que nous avons encore un package compétitif. Nous devons garder le sourire et regarder vers les prochaines courses."

S'ils se serrent les coudes - et frappent fort - les rêves des tifosi pourraient bien être exaucés cette année.

Blutch a écrit:

Clousot a écrit:

Je compare Ferrari 2022 à Merco 2021 avec Lewis et Bottas contre Leclerc et Sainz en 2022.

Tu veux dire "Louise et George" !?

Oui si tu veux c'est le binôme en somme.;-)

Je crois que je vais me sentir mal ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



Dans ce qui devrait stupéfier le monde du sport automobile, Ferrari serait sur le point d'annoncer que sa célèbre livrée rouge de F1 sera abandonnée pour le vert dans un changement majeur d'identité de marque.

Des sources au sein de Maranello ont divulgué des informations indiquant un changement du traditionnel Rosso au Verde (vert) du drapeau italien à partir de la saison 2023 de Formule 1, lorsque la première Ferrari entièrement verte ouvrira le bal et lancera la nouvelle génération du constructeur de voitures de sport.

Une annonce des grands pontes de la Scuderia devrait être faite au cours du week-end du Grand Prix de Miami ; les États-Unis sont l'un des plus grands marchés du constructeur italien de voitures de sport, avec plus de 2.000 voitures vendues chaque année dans le pays.

Si vous êtes en train de lire jusqu'ici, je vous remercie tout d'abord ! C'est parce que vous avez participé à cette expérience de "fake news" déclenchée par les incroyables chiffres de trafic que nous avons enregistrés avec notre article du poisson d'avril, l'un de nos articles les plus lus à ce jour, et de loin. Et il n'y avait pas une once de vérité, tout comme les trois paras ci-dessus.


L'objectif de cet article est de signaler à nos lecteurs que l'histoire "Rosberg revient avec Willaims, Latifi est rétrogradé" que nous avons racontée le 1er avril a attiré plus de 250.000 pages vues.

C'est un fait qui mérite réflexion et qui mérite d'être partagé avec nos lecteurs ; malgré nos efforts méticuleux pour couvrir la F1 sous tous les angles, la dure réalité est que ce sont toujours les choses banales qui attirent les clics.

J'en connais un qui doit se retourner d'où vous savez.

Clousot a écrit:

J'en connais un qui doit se retourner d'où vous savez.

Tu m'étonnes !