Le coin des ce qu'ils ont dit...

L'équipe de Formule 1 Mercedes a attaqué Red Bull pour avoir tenté de "ternir le nom et l'intégrité sportive de Lewis Hamilton" dans sa demande infructueuse de réévaluation de sa pénalité au Grand Prix de Grande-Bretagne.

Red Bull a vu sa demande de révision de la pénalité de 10 secondes infligée à Hamilton rejetée par les commissaires avant le Grand Prix de Hongrie de ce week-end, au motif qu'il n'y avait pas de preuve supplémentaire significative à prendre en compte.

Les commissaires ont également noté "une certaine préoccupation" concernant les allégations de Red Bull dans une lettre qui a été vue par le directeur sportif de Mercedes, Ron Meadows, le directeur de l'ingénierie de piste, Andrew Shovlin, et le stratège en chef, James Vowles, qui étaient tous présents lors de l'audience de jeudi.

"En plus de mettre un terme à cet incident, nous espérons que cette décision marquera la fin d'une tentative concertée de la direction de Red Bull Racing de ternir le bon nom et l'intégrité sportive de Lewis Hamilton, y compris dans les documents soumis pour leur droit de regard qui n'a pas abouti".

Qu'on leur donne des tartes à la crème au moins ce sera plus rigolo.

Clousot a écrit:

Qu'on leur donne des tartes à la crème au moins ce sera plus rigolo.

On devrait leur envoyer "l'entarteur" belge !

Il a même eu Bill Gates, qui a immédiatement viré son garde du corps... :Lol: 

Fallait le faire tout de même. Di dju "sa fondation" en a pris un coup. 

Jeremy Clarkson s'en est pris une fois de plus à Lewis Hamilton. L'ancien présentateur de Top Gear n'est pas un fan du Britannique, et a été dégoûté par le comportement de Hamilton après le Grand Prix de Hongrie.

Clarkson s'en est déjà pris à Hamilton auparavant, en tweetant au moment de la reprise du Grand Prix de Hongrie qu'il était pratique qu'Hamilton soit seul sur la grille, au moins il ne pouvait pas faire sortir quelqu'un de la piste :Lol:

Jeremy Clarkson a également écrit un article pour un journal britannique, que vous pouvez lire ci-dessous. Dans cet article, Clarkson s'en prend à son compatriote.

"Lewis Hamilton a besoin d'une fessée. Il a passé la majeure partie de la course palpitante de la semaine dernière à la radio, affirmant que le gars devant lui, Fernando Alonso, trichait. Ce qui n'était pas le cas. Et puis, lorsque Lewis a terminé à la troisième place, il s'est étalé sur le podium en prétendant qu'il avait un " vieux Covid ", ce qui me semble être une autre façon de dire : " S'il vous plaît, ignorez Esteban Ocon, le rookie qui vient de me battre. C'est moi le vrai héros et ne l'oubliez pas", peut-on lire.

Clarkson, cependant, n'est pas très chaud pour cette attitude, et le fait savoir. ''Eh bien, je suis désolé Lewis, mais si tu te comportes comme ça, tu n'en es pas un (de grand champion ?) Oh, et paie tes impôts", conclut Clarkson

Pas mal j'aime bien les dires de ce gars.

Clousot a écrit:

Pas mal j'aime bien les dires de ce gars.

M'en doute, toi et Hamilton, c'est plus ça hein ? Moi non plus d'ailleurs !

Interrogé sur son point de vue sur la compétition, Binotto a déclaré : "C'est une bataille passionnante, tout d'abord".

"Ce sont deux pilotes extraordinaires, et très talentueux. L'un l'a déjà montré et l'autre a une vitesse incontestable d'après tout ce qu'il a montré.

"Si je devais faire un pari, je pense que Lewis gagnera. Je dis ça parce que je pense que Mercedes gagne".

"C'est une équipe solide et elle a montré ce qu'elle était ces dernières années".

"Je pense qu'ils ont tous les éléments pour gagner à la fin et, en tant que champions en titre, ils sont ceux qui doivent être battus."

Mais malgré son pronostic, Binotto a déclaré qu'il aimerait que Verstappen arrive en tête du classement - ou, à tout le moins, qu'il mène la bataille pour le titre jusqu'au dernier round.

"J'espère qu'ils pourront se battre jusqu'à la toute fin", a-t-il déclaré. "Cela signifie un championnat ouvert, une lutte passionnante et une que c'est une bataille aussi serrée que possible pour le spectacle lui-même aussi".

"Je nous encourage toujours chez Ferrari, mais j'encourage aussi Max, car je pense qu'il est bon pour le sport de briser le statu quo."

Il faut suivre la statégie de Lewis à savoir faire un tour canon en qualif avec un gobelet d'essence et tout ce qu'il faut pour échapper au premier tournant, et puis laisser faire le stand en conduisant le mieux possible.
Alors là Max enverra Lewis dans le coin.

"avec un gobelet d'essence", l'aut' ! :Lol:

Et puis, Binotto, c'est pas le devin des aventures d'Asterix !

Sebastian Vettel a pu tester en juillet les pneus 18 pouces qu’utilisera la Formule 1 l’année prochaine. Le pilote Aston Martin F1 a donné ses premiers retours détaillés sur le comportement des roues plus grandes qui équiperont les toutes nouvelles monoplaces prévues l’année prochaine.


"Avec ces pneus, on peut piloter plus longtemps à la limite sans qu’ils surchauffent" a expliqué Vettel.

"Ils sont plus à l’aise sur les vibreurs et offrent davantage de grip dans les virages à basse et haute vitesse."

Le quadruple champion du monde a rapidement pris en main ces nouvelles gommes, qu’il a réussi à pousser à leur limite : "Sur le plan du ressenti, j’étais plus rapide dans ces sections qu’avec les pneus de 13 pouces conventionnels."

Vettel déplore cependant que ces roues plus massives réduisent encore la visibilité : "Les grosses roues empirent la vue vers l’avant, on voit moins les vibreurs. Ca s’ajoute au problème des supports de rétroviseurs, qui sont dans le champ de vision. C’était mieux quand les rétroviseurs étaient attachés au Halo."[CQFD ]

On lui demande son avis , il ne s'en prive pas "C'est mieux mais...." c'est vrai on est en F1.

L'une des plus grandes révisions réglementaires de l'histoire de la F1 entrera en vigueur en 2022, avec l'introduction d'une toute nouvelle voiture conçue pour produire des courses plus serrées et augmenter les dépassements.

Williams a déjà mis l'accent sur le développement de 2022 afin de capitaliser sur la révolution des règles et de rechercher des gains de performance précoces pour progresser sur la grille.

"Nous sommes sur 2022 depuis un moment déjà", a déclaré Capito à propos du plan de développement de son équipe.

"C'est difficile à dire parce que chaque équipe travaille sur 2022 de manière isolée, donc vous ne savez pas où sont les autres", a-t-il expliqué. "Vous vous battez donc contre une concurrence que vous ne voyez pas".

"Quand nous serons enfin sur la piste l'année prochaine, nous nous battrons contre des adversaires que nous pourrons voir et nous saurons ce qu'ils font et ce qu'ils ont fait".

"Mais à présent, tout le monde fait de son mieux et il pourrait y avoir une surprise l'année prochaine quant à l'ordre du classement".

"La meilleure chose que j'ai vue n'est pas les résultats, mais comment l'équipe se développe, comment la communication s'améliore et comment la coopération au sein de l'équipe et de l'équipe en Angleterre s'améliore. Pour moi, c'est la plus grande chose que j'ai appréciée".

2022 nous réserve des surprises et il est bien difficile de prévenir l'avenir au vu de ce qui se dit et ce fait déjà maintenant.

Lewis ^référera toujours un "accommodant" à un jeune loup à ses côtés, enfin façon de parler.
Bottas a fait ses preuves comme loyal soldat et Russel a aussi fait ses preuves en remplaçant Lewis pour un Gp.
N'allez surtout  pas comparer ce qui est impossible à imaginer, Lewis n'acceptera jamais de jouer avec un jeune loup pour un titre supplémentaire, jamais.

Clousot a écrit:

Lewis ^référera toujours un "accommodant" à un jeune loup à ses côtés, enfin façon de parler.
Bottas a fait ses preuves comme loyal soldat et Russel a aussi fait ses preuves en remplaçant Lewis pour un Gp.
N'allez surtout  pas comparer ce qui est impossible à imaginer, Lewis n'acceptera jamais de jouer avec un jeune loup pour un titre supplémentaire, jamais.

Bottas est un mouton complaisant, et ça sied Monsieur Louwis ! Pas de compétition au sein de la même équipe = philosophie à la Toto...

Je ne sais pas s'il n'acceptera pas, difficile à dire à l'avance, Mercedes se doit de préparer "l'après Louwis", non ?

On revient à Fernando :



Actuellement directeur exécutif d'Alpine F1 Team, l'ingénieur franco-polonais travaille étroitement avec Esteban Ocon et Fernando Alonso, et il ne cache pas que ce dernier lui rappelle le Baron Rouge (Schumi) dans certains domaines.

"Il est extrêmement impressionnant", a déclaré Budkowski au Grand Prix de Hongrie. "Il est impressionnant dans son approche, qui est très, très professionnelle. Cela me rappelle un peu Michael, à vrai dire : quand j'étais chez Ferrari, il était une référence quant à son professionnalisme et son approche méticuleuse. Je vois une caractéristique similaire chez Fernando. Je n'avais jamais travaillé avec lui, j'avais entendu ça venant de nombreuses personnes qui avaient travaillé avec lui, mais ce n'est évidemment pas la même chose de l'entendre de quelqu'un d'autre que d'être assis dans la même pièce et de voir le travail qu'il fait avec ses ingénieurs".

"Pour moi, c'est presque bluffant, car nous sommes sur le muret des stands, nous avons toutes les données, nous avons une visibilité totale sur la course. Il est dans la voiture, il pilote à fond et il a presque la même analyse de la course que nous sur le muret des stands, en étant loin d'avoir autant de données et de recul. Je crois que c'est ce qui m'impressionne le plus chez Fernando. J'imagine que ce sont 20 années d'expérience du pilotage en Formule 1, mais peu de pilotes en sont capables, même avec 20 ans d'expérience".


Reste à savoir pendant combien de temps Alonso va prolonger sa carrière dans l'élite, alors qu'il vient de fêter son 40e anniversaire et est sous contrat avec Alpine jusqu'au terme de la saison 2022. Le double Champion du monde fait jeu égal avec son coéquipier Esteban Ocon sur l'ensemble de la première moitié de saison, avec 39 points à l'un et 38 à l'autre, sans qu'un pilote ne prenne l'avantage en performance pure.

"Il a soif de victoire, il attend l'année prochaine avec impatience. Dès qu'il est à l'usine, il demande comment avance la voiture de l'an prochain. On voit qu'il prend du plaisir, il est heureux d'être de retour en Formule 1, mais évidemment il est ambitieux, tout comme notre ambition est de faire mieux que maintenant. C'est là-dessus que nous travaillons dur pour l'an prochain, et cela l'enthousiasme. Si nous lui donnons une voiture compétitive l'an prochain, je pense qu'il n'est pas près de partir, car il va en vouloir de plus en plus".


[Motorsport.com]

Nando est heureux chez Alpine et il était malheureux chez Ferrari.
la relation humaine lui convient mieux et Esteban est un pilote respectueux et très efficace.
Partant de là la raclée que Nando à servi à Lewis en lui résistant comme jamais ne fait que renforcer sa position chez Alpine, c'est la pilote qu'il fallait et puis c'est tout.

Clousot a écrit:

Nando est heureux chez Alpine et il était malheureux chez Ferrari.
la relation humaine lui convient mieux et Esteban est un pilote respectueux et très efficace.
Partant de là la raclée que Nando à servi à Lewis en lui résistant comme jamais ne fait que renforcer sa position chez Alpine, c'est la pilote qu'il fallait et puis c'est tout.

Tout juste ma biche !

Hamilton aborde la deuxième partie de la saison en tête du classement des pilotes avec huit points d'avance, Verstappen n'ayant marqué que cinq points lors des deux précédents week-ends de Grand Prix. Mais interrogé à Spa-Francorchamps avant le week-end du Grand Prix de Belgique pour savoir s'il était plus méfiant à l'idée d'affronter un Verstappen désireux de rétablir son autorité en tête du championnat, Hamilton a répondu : "Je n'ai pas l'impression d'être plus méfiant qu'au début de l'année".


"Nous savions à quel point Red Bull serait bon au début ; nous avons évidemment vu leur vitesse et leur compétitivité dans le passé. Bien sûr, au fur et à mesure de la saison, ils sont devenus de plus en plus forts et ça a été plus difficile pour nous au fur et à mesure, nous avons eu une période un peu difficile, mais nous sommes revenus à notre niveau de fonctionnement".

"Mais ça va être serré", a-t-il ajouté, "Ça va être difficile cette deuxième moitié de saison. La première moitié était certainement l'une des plus difficiles et je m'attends à ce que ce soit à peu près la même chose dans la seconde moitié, si ce n'est plus difficile."

Hamilton cherchera ce week-end à remporter sa cinquième victoire à Spa-Francorchamps, tandis que Verstappen tentera de remporter sa première victoire sur le mythique circuit belge.

Il suffira à Max de conserver la même pression et de jouer à l'identique c'est à dire ne pas hésiter à faire la même chose que Lewis en ne ratant aucune occasion de balancer son adversaire.
Nous sommes en course automobile voyons et Lewis Hamilton ne ratte jamais une occasion de nous le rappeler, non mais.

Clousot a écrit:

Il suffira à Max de conserver la même pression et de jouer à l'identique c'est à dire ne pas hésiter à faire la même chose que Lewis en ne ratant aucune occasion de balancer son adversaire.
Nous sommes en course automobile voyons et Lewis Hamilton ne ratte jamais une occasion de nous le rappeler, non mais.

Il y a surtout que Max ne doit pas se laisser déstabiliser par la philosophie "Hamiltonienne", comme il avait essayé, sans succès, avec Nico, l'effet du boomerang pourra peut-être le frapper, du moins, je l'espère...

Ces derniers temps, il n'a pas gagné à être mis sur un piédestal...

Quelle élégance !

On dirait Woody Allen en délire, quelle vie...

Clousot a écrit:

On dirait Woody Allen en délire, quelle vie...

Oui, ben, heureusement que le ridicule ne tue pas, di d'jouu !




Cet incident a manifestement été difficile à vivre pour Vettel, qui s'est exclamé à la radio : "Qu'est-ce que j'ai dit, putain ? Qu'est-ce que j'ai dit ? Drapeau rouge ! C'était évitable..." Le directeur du GPDA (Association des Pilotes de Grand Prix) prend son rôle très à cœur et s'est lui-même arrêté à côté de l'épave de la McLaren de Norris pour vérifier que l'Anglais allait bien. Plus tard, il a déploré la situation qui a mené à cet accident.

"Je pense que Michael Masi, n'est pas fier de ce qui s'est passé non plus", déclare Vettel. "Je pense que c'est toujours facile de faire l'expert avec le recul. Mais je pense que nous devons trouver un moyen d'écouter davantage les informations que nous avons. Dans le garage, c'est très limité, car c'est comme regarder par la fenêtre.

Le son de cloche est similaire du côté de Daniel Ricciardo qui s'est également inquiété du manque d'adhérence, mais moins ouvertement que Vettel. "J'étais à la radio, je parlais des conditions et j'ai eu de l'aquaplaning en septième", révèle l'Australien. "Donc en gros, j'ai dit 'oh merde'. Et je pense que c'était ma façon de dire que c'était dangereux. Mais j'imagine que j'aurais probablement pu être plus direct et dire qu'il fallait un drapeau rouge. J'ai bien dit que je pensais que le drapeau rouge était la bonne décision, mais c'est dur, car on ne veut pas être le gars qui dit qu'il ne veut pas rouler".

Ca promet à Spa car rien n'est moins sûr que dans cette région.