F1 - Généralités, divers...

dom465 a écrit:

Je trouverais plus logique d'avoir 3 GP aux States que 4 ou 5 au Moyen-Orient !

Entièrement d'accord, j'aime pas trop les GP artificiels chez les tchoukes, avec un public qui n'est là que pour se faire voir...

Le Nouvel An lunaire est le début de la nouvelle année du calendrier lunaire. Il est célébré dans plusieurs pays asiatiques, par exemple en Chine, en Corée et au Japon. C'est un événement qui a une longue histoire culturelle, et de nombreux symboles faisant référence à cette histoire sont utilisés pendant les festivités.


Formula 1 a conçu une livrée spéciale 2022 pour le Nouvel An chinois. La voiture est rouge, car cette couleur est considérée comme porte-bonheur. Les enjoliveurs et le côté de la voiture présentent des dessins, par exemple de la muraille de Chine.

Le "rose" de Chine, faut oser di dju!

Lewis qui ne dit plus rien et c'est le plus riche, quel luxe tout de même.

Sullivan salue "l'excellente conception" de la première course de F1 à Miami.



"J'y suis allé deux fois, quand il était assez basique, mais je vais le conduire la semaine prochaine quand il sera prêt", a déclaré Sullivan. "Ce que l'on me dit, c'est qu'ils ont fait un très bon travail sur la piste. Sur le papier, c'est un excellent tracé."

Une ligne droite avec un DRS j'espère, enfin si on en a encore besoin.

C'est stupéfiant et tout ça pour "conquérir l'inutile" comme dirait le pessimiste et il y en a pour le moment. 
C'est si facile de tout critiquer.

Tu te mets dans le Socrates mon Clou ? :445: 



Parmi les nombreuses choses que les ingénieurs ont apprises cet hiver, Pierre Waché a révélé lors de la présentation de la livrée de la Red Bull RB18 que les performances en ligne droite seraient grandement améliorées, conséquence du retour des voitures à effet de sol en F1.

"Ce que la F1 voulait faire, clairement, c'était de générer de l'appui au sol contrairement aux années précédentes, où l'appui était généré par le sol également mais principalement par l'aileron avant, l'aileron arrière et la carrosserie", a expliqué le directeur technique de l'écurie. "Bien sûr, cela affectera le comportement, le grip mécanique et la traînée. Cette génération d'appui est assez efficace et ce type de voiture devrait être beaucoup plus rapide en ligne droite." [déjà qu'en 2021 elles atteignaient allègrement les 340 km/h !, D'juu !]

L'ingénieur en chef Paul Monaghan a précisé : "Le nez de la voiture est nettement plus long. Donc, où que vous mettiez votre séparation pour l'avant du châssis dans la structure à l'avant, cette structure est beaucoup plus longue, le porte-à-faux est plus grand."

Les nouvelles règles techniques de la Formule 1 pour 2022 pourraient permettre à la série de ne plus dépendre du système de réduction de la traînée pour faciliter les dépassements, selon le directeur technique d'Aston Martin.

Si ce système s'est avéré être un moyen efficace d'encourager les dépassements, il a également fait l'objet de critiques constantes pour avoir généré des dépassements jugés artificiels et impossibles à défendre.

Alors que les règles permettent aux équipes de continuer à utiliser le DRS, le directeur technique d'Aston Martin, Andrew Green, espère qu'il deviendra obsolète.

"Je pense que le DRS lui-même sera tout aussi puissant", a-t-il déclaré. "Mais je pense que ce sera à la FIA d'examiner les tracés des circuits et de voir s'ils doivent modifier les zones DRS en conséquence".

"Je pense qu'elle le fera. Si le système fonctionne comme ils le pensent, avec des voitures qui peuvent suivre de plus près, ils ne devraient pas avoir besoin d'autant d'assistance DRS".

"Je pense que nous pourrions voir les zones DRS réduites au fil du temps et certaines d'entre elles pourraient même être supprimées. Je pense que ce serait une bonne chose."

Du côté d'Aston Martin, on s'attend à ce que le comportement des Formule 1 nouvelle génération soit semblable à celui… d'un kart.

La Formule 1 fait sa révolution en 2022 avec des monoplaces plus lourdes qui font la part belle à l'effet de sol, et cela aura évidemment un impact sur le style de pilotage requis afin de tirer le meilleur.

Si Lando Norris s'attendait à ce qu'il soit comparable à celui d'une F2, ce pilotage pourrait même se rapprocher de celui d'un kart. C'est en tout cas ainsi que la situation est analysée par Andrew Green, directeur technique de l'écurie Aston Martin.

"Il y a quelques difficultés avec la voiture d'un point de vue aérodynamique", a déclaré Green lors de la présentation de l'Aston Martin AMR22. "Le fait que ce soit une voiture à effet de sol signifie que sa proximité avec le sol est cruciale. Plus on peut la faire rouler près du sol, plus on obtient de performance, et l'on adopte donc les réglages qui vont apporter le plus de performance. On se retrouve alors avec une voiture relativement raide. Pour maintenir cette attitude, cette proximité avec le sol, les pilotes manieront quelque chose qui ressemble pas mal à un kart."

"L'AMR21 avait beaucoup de pièces identiques à la précédente [dans le contexte du gel des châssis], mais l'AMR22 est une voiture révolutionnaire", affirme Simon Cayzer, manager de la production. "Il n'y a probablement qu'environ 10% de la voiture qui est conservé de la monoplace 2021 sur 2022." :445:

L'appui aérodynamique est en tout cas moindre avec les monoplaces nouvelle génération, mais pour Green, cet appui perdu sera rapidement recouvré.

"Il est attendu que nous fassions un pas en arrière, mais je pense qu'avec la courbe de développement sur laquelle nous serons, comme toutes les équipes, on ne mettra pas longtemps à atteindre les niveaux d'appui aperçus en 2021."

Dans le monde souvent étrange et parfois merveilleux de la culture des fans de Formule 1 en ligne, où les clichés et les prises de becs règnent en maître, Ferrari a subi plus de railleries à ses dépens que beaucoup d'autres au cours des dix dernières années.

Bien que personne à Maranello - ni les pilotes, ni les directeurs d'équipe, ni personne du côté technique de l'équipe - n'ait commis la gaffe médiatique de déclarer qu'ils allaient remporter le titre lors d'une prochaine saison, cela n'a pas empêché l'équipe d'être satirisée comme l'équipe qui croit éternellement, ou du moins espère, que "cette année est notre année".

C'est sans doute en partie parce que, compte tenu de l'ampleur des ressources, de l'expertise et du talent de Ferrari et, jusqu'à récemment, des conditions commerciales très favorables (les voitures de série se vendent comme des petits pains malgré les conditions irréelles de livraison (note de moi) ), il n'y avait aucune raison pour qu'elle ne soit pas un prétendant régulier au titre. Comme on le dit souvent, les meilleures blagues ont toujours une part de vérité.

Pour autant, à l'aube de la saison de Formule 1 la plus attendue de mémoire d'homme, il est difficile d'ignorer les signes qui montrent que, oui, cette saison pourrait être la plus prometteuse pour la Scuderia Ferrari dans la lutte pour le championnat du monde depuis une décennie.

Avec des changements aussi importants en vue pour 2022, l'objectif final de la saison dernière était de construire une "base solide" à partir de laquelle ils pourraient attaquer la toute nouvelle ère de la F1 avec une confiance renouvelée.

"Cela, pour nous, était quelque chose de clé", dit Binotto, "parce qu'il ne s'agissait pas seulement de s'occuper de la voiture 2020, d'essayer de nous améliorer et d'améliorer les voitures de course, mais il était important pour nous de nous assurer que nous nous améliorions également en termes de, ce que j'appellerais, "fondations solides" - ce qui est nécessaire pour être la meilleure équipe ou une meilleure équipe à l'avenir."

Ferrari a restructuré son équipe technique en quatre départements distincts - châssis, unité de puissance, course et gestion de la chaîne d'approvisionnement - afin de devenir une opération plus efficace et efficiente. L'ancien responsable du châssis, Simone Resta, a été transféré dans une nouvelle unité distincte à Maranello pour superviser la fourniture de pièces à l'équipe cliente Haas.

Et lorsque la F1-75 apparaîtra à 14:00 hrs., elle sera équipée de l'un des couples de pilotes les plus passionnants de la Formule 1, qui auront tous deux envie de se battre aux avant-postes dans la quête d'un premier championnat du monde.

Avec une saison 2022 qui s'annonce aussi ouverte, il serait également imprudent de supposer que les titans des dix dernières années de ce sport ne seront pas une force tout aussi redoutable cette saison. Mais si peu de gens parieraient contre le fait que Mercedes et Red Bull soient au moins dans le mélange en tête du peloton une fois de plus, même avec la réinitialisation des règlements, il est plus que probable que les deux équipes regarderont dans leur rétroviseur beaucoup plus fréquemment cette saison.

2022 sera-t-elle enfin l'année de Ferrari ? À ce stade, il est impossible de le dire. Mais cette année, de toutes les années, il semble qu'aucun de leurs rivaux n'ait de meilleures chances.

(Traduit de RaceFans.net)

Et bien le Binotto est optimiste comme jamais et tant mieux car en arriver à dire que les Merco et autres RBR vont regarder dans leur rétro plus souvent qu'avant c'est formidable ...

Clousot a écrit:

Et bien le Binotto est optimiste comme jamais et tant mieux car en arriver à dire que les Merco et autres RBR vont regarder dans leur rétro plus souvent qu'avant c'est formidable ...

Ça reste à prouver !

La FIA "n'hésitera pas" à agir contre les planchers flexibles :


La révolution technique de 2022 en Formule 1 s'appuie sur un renforcement significatif de l'effet de sol, avec la volonté qu'une grande partie de l'appui des monoplaces soit généré par le flux d'air passant sous les voitures. De larges tunnels Venturi ont été mis en place sous les F1 et des modifications importantes du design global ont été faites.

Cela a forcément contribué à ouvrir tout un pan de réflexion sur le sujet, et sur la manière de maximiser les performances. Les équipes ont vite compris qu'il y avait notamment de gros avantages à optimiser le flux d'air passant sous la voiture. En conséquence, l'on s'attend à des suspensions bien plus dures, mais l'on craint surtout que les équipes ne multiplient les astuces pour tenter de rendre plus flexibles les bords du plancher, afin de tirer plus encore de performance.

Une telle flexibilité aurait pour conséquence de renforcer encore plus l'effet de sol, et donc l'appui, en scellant le dessous de la monoplace pour piéger au maximum le flux d'air. La FIA est consciente de ce risque et du fait que certaines écuries chercheront à emprunter ce chemin, mais promet d'être vigilante et de répondre immédiatement en cas de besoin.

Nikolas Tombazis, responsable FIA, a déclaré : "En ce qui concerne la flexibilité vers le bas du diffuseur ou des bords du plancher, nous garderons toujours un œil sur toute forme de flexibilité et nous imposerons, si nécessaire, des tests pour réduire ces effets et ainsi de suite."

Le manager sportif de la F1, Ross Brawn, juge peu probable que les équipes s'en sortent avec de telles astuces, car les rivaux observeraient de près toute flexion étrange de la carrosserie, comme cela s'est produit avec les ailerons arrière en 2021.

L'une des autres conséquences de l'orientation des réglages déclenchée par les voitures à effet de sol est que les équipes seront donc contraintes de faire rouler leurs voitures avec des suspensions beaucoup plus rigides afin de s'assurer que la hauteur de caisse reste aussi stable que possible.

Cela suscite des inquiétudes quant au fait que les voitures pourraient être brutales pour les pilotes en piste, comme ce fut le cas lors de la dernière période des voitures à effet de sol en F1, au début des années 1980. Tombazis n'est cependant pas trop inquiet, et pense que c'est un point positif que les F1 version 2022 soient plus agressives pour les pilotes.

La FIA est également consciente que cela pourrait conduire les équipes à déployer des astuces particulières en matière d'élasticité aérodynamique sur le bord du plancher afin de faire fléchir les extrémités. Il y a clairement un avantage de performance à le faire. Même un petit peu, avec les tourbillons créés par de telles astuces, peut équivaloir à créer une barrière physiquement étanche entre la voiture et la piste.

Maintenant que les choses sont claires à cet égard, il s'agira de voir avec quelle rapidité l'instance dirigeante réagira à toute tentative évidente de flexion excessive du plancher. Mais, comme elle l'a fait en 2021 en ajoutant et en renforçant des tests préexistants concernant la flexibilité de l'aileron arrière, elle a montré qu'elle était prête à intervenir si elle estimait que les équipes repoussent trop loin les limites.

La flexibilité ça veut dire que la force du vent "dirigé" par les déflecteurs vient modifier la forme d'une pièce simplement par appui.
La pièce ainsi modifiée permettrait à la voiture de modifier naturellement (sans action du pilote) sa capacité à renforcer ses performances.

Ce n'est donc pas rien, et quand on voit les bords affleurants le fond plat de la la Merco on se demande à quoi sert ce carrossage pour le moins cabossé et même carrément déchiqueté. (point n°7 et 8)
On aurait tapé dessus avec une massette que ça donnerait la même chose.
Dies à Lewis et Georges de ne pas mettre un pied la dessus si jamais.

Clousot a écrit:

La flexibilité ça veut dire que la force du vent "dirigé" par les déflecteurs vient modifier la forme d'une pièce simplement par appui.
La pièce ainsi modifiée permettrait à la voiture de modifier naturellement (sans action du pilote) sa capacité à renforcer ses performances.

Ce n'est donc pas rien, et quand on voit les bords affleurants le fond plat de la la Merco on se demande à quoi sert ce carrossage pour le moins cabossé et même carrément déchiqueté. (point n°7 et 8)

Bonne "esplic" Clou ! :bravo: 



Le format des trois week-ends de courses de vitesse - le Grand Prix d'Émilie-Romagne à Imola, le Grand Prix d'Autriche au Red Bull Ring et le Grand Prix de São Paulo à Interlagos - restera largement inchangé. Il y aura toujours la traditionnelle séance de qualification en trois étapes le vendredi après-midi pour déterminer la grille de départ de la course de sprint le samedi après-midi, les résultats de la course de 100 kilomètres déterminant l'ordre de départ final pour le grand prix du dimanche.

Toutefois, quelques modifications mineures du format entreront en vigueur cette saison, dont certaines cruciales, ce qui signifie que les trois courses sprint pourraient avoir un impact beaucoup plus important sur le classement final des championnats des pilotes et des constructeurs à la fin de l'année.

Premièrement, la séance ne sera plus appelée "sprint qualificatif", mais simplement "sprint".

L'ordre d'arrivée de la course de sprint déterminera l'ordre de la grille de départ du grand prix de dimanche. Toutefois, le pilote le plus rapide à la fin de la séance de qualification du vendredi sera considéré comme ayant pris la "pole position" pour ce week-end à des fins statistiques, même s'il ne prend pas le départ du grand prix lui-même depuis la première place sur la grille.

Plus important encore, le vainqueur de chaque sprint recevra désormais huit points de championnat, contre trois auparavant. Les points sont également étendus jusqu'à la huitième place, chaque position offrant un point de moins que la position supérieure, jusqu'à un seul point pour le pilote terminant à la huitième place.

Ces révisions de la formule de course sprint sont-elles une amélioration par rapport aux débuts du format la saison dernière, ou un pas dans la mauvaise direction ?

Pour

L'augmentation de la pondération des points pour les courses de sprint est sans aucun doute une tentative d'encourager les pilotes à prendre plus de risques et à doubler leurs rivaux lors des sprints, qui se sont avérés relativement insignifiants l'année dernière - à l'exception de la charge de Lewis Hamilton à Interlagos, provoquée par sa disqualification lors des qualifications du vendredi.

Avec plus d'enjeux, il y a plus d'incitation à essayer de dépasser un rival si vous avez une bonne avance sur lui, surtout si vous êtes dans l'une des dix premières positions. Il y a également plus d'opportunités pour les équipes situées plus bas dans le classement de prendre des points vitaux si la grille est secouée pendant les qualifications du vendredi.

Et comme la course de vitesse continuera à déterminer l'ordre de la grille de départ pour le dimanche, il y a encore une chance que les leaders établis cette saison se battent s'ils ont des problèmes dans la sprint.

Contre

Avec un record de 23 courses déjà fixé pour cette saison, il y a déjà plus qu'assez de points offerts pour décider d'un digne champion du monde en 2022 sans que trois courses de sprint supplémentaires ne viennent s'ajouter au mélange.

Plutôt que d'offrir plus d'opportunités aux équipes plus en retrait, il est plus probable que les points supplémentaires offerts permettront simplement aux équipes en tête du peloton de consolider leurs positions et de prendre encore plus d'avance sur le peloton dans les championnats. Et avec le dimanche offrant les vraies récompenses, les pilotes voudront toujours jouer la sécurité et donner la priorité à la course la plus importante du week-end.

Enfin, le fait que la course sprint continue à déterminer l'ordre de la grille de départ du Grand Prix met trop l'accent sur ce qui se passe le samedi après-midi, alors que les pilotes ont déjà gagné leur place sur la grille grâce à leurs performances lors des qualifications du vendredi.

Pendant des dizaines d'années, Bernie Ecclestone a utilisé un motorhome plutôt discret lorsqu'il était à la tête de la Formule 1.

Liberty Media a opté pour une structure beaucoup plus imposante. Dans un paddock catalan où les écuries se préparent à une première session d'essais privés – qui ne seront pas ouverts au public –, le bâtiment de la F1 surprend, avec une taille comparable à ceux des écuries.

Comme i.e. celui de McLaren !


Les dirigeants de la F1 utiliseront vraisemblablement ce motorhome pour réunir son personnel, organiser des réunions et accueillir des invités sur les Grands Prix européens.  Après deux années passées avec un paddock souvent déserté, conséquence des restrictions liées à la crise sanitaire, la discipline espère un retour proche de la normale en 2022, à l'heure où la pandémie est davantage sous contrôle.

Ce choix de structure étonne également car il intervient deux ans après une volonté affichée par Ross Brawn de réduire les infrastructures utilisées par les écuries sur les Grand Prix pour des raisons environnementales et d'empreinte carbone, en revenant à des tailles raisonnables.

"Nous allons tous sur les Grands Prix, et sur neuf courses de l'année nous avons des motorhomes transportés par des camions, une immense flotte de camions, qui fournissent aux écuries les infrastructures dont elles ont besoin", expliquait-il en février 2020. "Pour les 15 autres Grands Prix, elles sont très heureuses d'utiliser ce qu'il y a sur place lorsqu'elles arrivent le jeudi. Il y a des courses extra-européennes, par exemple à Bakou, où il y a un bel ensemble de préfabriqués prêts à l'emploi."

"Personne ne se plaint et tout est possible. Puis nous allons à Monza et nous avons nos somptueux palais avec tous les camions nécessaires pour les transporter".

Celui de Red Bull :

Dernier exemple en date, le "Holzhaus" (la maison de bois) de Red Bull, qui a été inaugurée en grande pompe à l'occasion au Grand Prix d'Espagne et qui domine le paddock de sa masse marron/beige. Il avait déjà fait une apparition l'an dernier pour le Grand Prix d'Autriche, patrie du fondateur de Red Bull, mais entre cette année dans le grand bain de la F1.

Deux étages et terrasse sur le toit, plus de 1.221 mètres carrés, elle est construite en bois de Styrie – la région natale du patron de l'entreprise de boissons énergisantes Dietrich Mateschitz –, cette maison de bois autrichien issu de ressources durables n'a rien à voir avec une cabane.

Il n'y a qu'en F1 que l'on voit ça, et si ce n'est pas la catégorie reine, qu'est ce donc ?

Quelques photos du jour 3 à Barcelone ?

Mon AlphaTauri bardée de capteurs comme jamais.
Que la Merco est belle.

Clousot a écrit:

Mon AlphaTauri bardée de capteurs comme jamais.
Que la Merco est belle.

A part la "Haas", elles sont toutes belles !


La SF-75 : 

Et je trouve la Williams FW44 est particulièrement réussie, ce bleu est magnifique !

Bravo Renaud cette Williams est splendide aussi.

Sondage de F1only.fr :

Avec la présentation ce dimanche de la livrée définitive de l’Alfa Romeo C42, toutes les livrées sont désormais connues en Formule 1 et il est donc temps de voter pour la plus belle.


Moi j'ai voté la Williams, j'adore sa couleur bleu royal !

Et vous, votre choix de la plus belle ?

j'hésite entre les alpha ( roméo et tauri)