F1 - Généralités, divers...

J'ai déjà donné mon avis sur Monaco. il n'a pas changé. Monaco ne me manquerais pas. Où alors il faut faire des voiture adapté à ce genre de piste afin de pouvoir y avoir de vrais course !!

yoh a écrit:

J'ai déjà donné mon avis sur Monaco. il n'a pas changé. Monaco ne me manquerais pas. Où alors il faut faire des voiture adapté à ce genre de piste afin de pouvoir y avoir de vrais course !!

Oui, c'est vrai que le circuit n'est plus adapté au F1 d'aujourd'hui, mais quel Charisme ce circuit, et quelle histoire malgré tout !


Tous les nouveaux circuits qui rejoignent le calendrier de la F1 ne sont pas forcément une réussite.

Qu'il s'agisse d'une mauvaise conception, d'un manque de dépassement ou d'emplacements mal pensés, certains circuits ne durent pas. Quels sont donc les circuits qui ont été les plus grandes erreurs de la F1 au fil des ans ? Ces circuits ne sont que la partie émergée de l'iceberg, mais sont les plus marquants de ces 20 dernières années.

Corée - Circuit international de Corée, Yeongham :

La Corée du Sud a accueilli une course de 2010 à 2013.

Annoncée comme une "course de destination" :Sadness : , les plans futurs prévoyaient la construction d'une grande marina sur le circuit. Malheureusement, cela n'a pas eu lieu. En direct à la télévision, Martin Brundle a demandé à ses collègues présentateurs "devons-nous vraiment aller là-bas ?" lorsque l'équipe a présenté la Corée comme la prochaine course.

Son emplacement a été le principal facteur de son impopularité. Le circuit est à 250 miles de Séoul. Cela a conduit à des cauchemars logistiques.

Le terrain est également un problème. Construit dans des marécages, les environs n'étaient pas pittoresques. Les plans prévoyaient un vaste complexe pour soutenir les ambitions d'une "course de destination". Yeongham est effectivement une course de destination, mais pas de la manière dont les organisateurs l'entendaient. La course a également été en proie à des désaccords sur les frais d'accueil tout au long de son existence.

Le circuit lui-même a favorisé les bonnes courses. Mark Webber a quitté de façon spectaculaire la lutte pour le championnat 2010 dès la première course. Mais même cette première course n'a pas attiré les foules. 2013 a vu le clou final dans le cercueil de la course. Un camion de pompiers, plutôt que la voiture de sécurité, a conduit les voitures pendant quelques virages après un incident. Pourquoi ? Le camion a été envoyé sur la piste avant la voiture de sécurité.

Après 2013, la Corée a conservé un statut provisoire les deux années suivantes avant d'être retirée du calendrier. La Corée a été une erreur décevante, elle qui aspirait à être un point d'ancrage du calendrier.

Espagne - Circuit de rue de Valence :

Valence et Singapour ont été les premiers tests d'un nouveau concept de "circuit de rue" qui a explosé en F1 dans les années 2000. Les organisateurs voulaient simplement reproduire le circuit de Monaco, en y ajoutant plus d'espace et des possibilités de dépassement. Les deux courses ont fait leurs débuts en 2008, mais Valence est désormais à l'abandon. Le circuit a accueilli des courses pendant seulement cinq ans avant d'être abandonné après la course de 2012.

Le Valencia Street Circuit abandonné aujourd'hui  :

Contrairement à la Corée, les foules et la vente de billets n'ont jamais été un problème pour Valence. Les fans espagnols ont eu une deuxième course pour encourager le héros local Fernando Alonso. Les fans qui ont assisté à la course de 2012 ont eu droit à une victoire d'Alonso, ce qui était une bonne nouvelle pour le circuit.

Alors pourquoi cette course a-t-elle échoué ? L'emplacement n'était pas littéralement un marécage, mais bien que situé sur la côte, il n'était pas exactement pittoresque.

Les voitures courraient autour du port, dans un nouveau lieu glamour qui faisait écho à Monaco. Cependant, la nature étroite du circuit limitait les possibilités de dépassement. Les couleurs des bordures, des barrières et de la peinture de la piste faisaient que le circuit était dépourvu de toute personnalité.

Le financement a finalement été la cause de l'échec de la course. La piste nécessitait un entretien important et les organisateurs n'ont jamais été en mesure de générer les revenus nécessaires. Le gouvernement de Valence n'a pas voulu intervenir, et Valence a tranquillement disparu du calendrier. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une erreur au sens classique du terme, ce fut un échec coûteux.

USA Indianapolis Motor Speedway :

À partir de 2022, la F1 organisera trois courses aux États-Unis. Il s'agit d'un progrès considérable par rapport à l'an 2000, lorsque la F1 n'avait pratiquement aucun attrait. Une décision a été prise pour accroître sa popularité aux États-Unis. Un accord a alors été conclu pour courir sur le circuit automobile d'Indianapolis.

Surnommé le "Brickyard" , les voitures font le tour de la piste intérieure avant de rejoindre le célèbre ovale d'Indy. La course la plus mémorable a eu lieu en 2003. Michael Schumacher s'est imposé dans des conditions changeantes, après une bataille palpitante avec Kimi Raikkonen et Juan Pablo Montoya.

En 2005, Ralf Schumacher a eu un accident presque identique à celui de l'année précédente sur le virage ovale. Contrairement à 2004, il s'en est sorti indemne. Le fournisseur de pneus Michelin a alors révélé que si la vitesse n'était pas réduite dans le dernier virage, ses pneus ne tiendraient pas sur toute la distance de la course.

Ce qui a suivi est un exemple extrême de la raison pour laquelle la F1 est autant une affaire de politique que de course.

L'autre fournisseur de pneus de la F1, "Bridgestone", n'avait pas été affecté par le problème. Cependant, seules trois équipes utilisaient Bridgestone, les sept autres utilisaient des Michelin. Aucun accord n'est trouvé pour résoudre le problème et tous les pilotes Michelin rentrèrent aux stands lors du tour de formation :Scared:

Au grand dam de la foule (qui balançaient des canettes de bières sur les monoplaces à leur passage ), seules Ferrari, Jordan et Minardi prisentle départ de la course. De nombreux fans choisirent de partir plus tôt en signe de protestation. Michelin et la F1 se sont excusés mais Indianapolis a été supprimé du calendrier deux ans plus tard.
(Formula1Nerds)

Ce n'est qu'en 2012 que la F1 est revenue aux États-Unis, cette fois sur un circuit construit à cet effet. Depuis 2005, la F1 n'a plus jamais commis l'erreur de laisser la politique affecter les départs de course comme à Indianapolis.

Phoenix, où j'ai habité quelques mois, n'était pas non plus la panachée, même si d'histoire, nous avions assisté à une passe d'armes d'anthologie entre Jean Alesi et Ayrton Senna en 1990 :

Avec la voix de James Hunt :

Très bien tout ça mais à la cadence où l'on construit (ou aménage) des circuits il ne faut pas s'étonner de voir du déchet.
Silverstone était un aérodrome et on ne cesse (comme à Spa) de l'améliorer pour qu'il survive à la concurrence et aux nouvelles normes.

Avec cette concurrence qui se finance via des consortiums et autres nébuleuses financières ou politiques, on peut craindre le pire.
Lorsque l'on constate un semi échec comme celui du financier Lawrence Stroll on ne s'étonne plus de rien, pourtant c'est son métier à l'homme d'entreprise qu'il est, mais bon il faut savoir prendre des risques comme on dit. On verra le résultat.

Ce n'est pas la première fois, ni ne sera la dernière fois qu'on en parle :

Les bordures d'Imola, un "facteur limitant" potentiel pendant le week-end de course.

Les pilotes de Formule 1 pourraient être contraints d'éviter les bordures d'Imola ce week-end en raison de la faible garde au sol de leurs voitures de nouvelle génération.

En tant que circuit traditionnel par rapport aux sites de F1 visités jusqu'à présent cette saison, le tracé d'Imola comporte des bordures plus hautes que les pilotes ont franchi par le passé pour réaliser un tour rapide.

Une approche agressive cette année pourrait causer des dommages importants au plancher d'une voiture et perturber le flux d'air crucial qui fait partie de l'effet de sol aérodynamique des nouveaux modèles.

Le fait de rouler avec plus de hauteur atténuerait le problème, mais cela réduirait également les performances. Ce week-end, il incombera donc aux pilotes de protéger leur voiture.

Au moins comme ça ils étaient moins tenté de dépassé les limites de la piste

yoh a écrit:

Au moins comme ça ils étaient moins tenté de dépassé les limites de la piste

C'est clair !

Alors que les patrons de la F1 continuent de remanier les règles, il est entendu que le format, qui sera testé lors de deux courses la saison prochaine - mais pas lors de celles où le format Sprint sera utilisé - verra les règles actuelles des pneus "modifiées".

Cette année, la règle (populaire apparemment) selon laquelle les dix premiers qualifiés devaient s'élancer avec les mêmes pneus que ceux utilisés pour leur meilleur tour en Q2 a été supprimée, ce qui laisse le choix le jour de la course.

Cependant, le format qui sera testé l'année prochaine verra les pilotes autorisés à utiliser uniquement le composé dur en Q1, le médium en Q2 et les softs en Q3.

Ce format ne manquera pas de soulever de nombreuses questions, notamment sur la capacité des pneus durs, et dans certains cas des pneus médiums, à atteindre la température requise dans le temps imparti.

De plus, tout le concept des qualifications, où les pilotes poussent dès le départ, sans parler de la stratégie, disparaîtrait.

Après la réunion de mardi de la Commission F1, il a été révélé que lors de deux événements la saison prochaine, il y aurait un essai visant à réduire l'allocation des pneus de 13 à 11 jeux.

L'objectif est d'évaluer l'impact de la réduction de l'allocation des pneus sur la conduite en piste, avec l'intention générale d'évoluer vers une utilisation plus durable des pneus à l'avenir.

L'intention est de réduire le nombre de trains de pneus softs disponibles de 8 à 4, tandis que quatre trains de pneus mediums seraient disponibles au lieu des trois actuels, et le nombre de pneus durs passerait de deux à trois.

Je ne suis pas sûr que ce soit un bon plan ça moi !?

Sergio Perez a pleinement profité d'une intervention de la voiture de sécurité pour battre son coéquipier Red Bull Max Verstappen dans un duel en tête-à-tête à l'avant du Grand Prix d'Azerbaïdjan.

Sa deuxième victoire de l'année dans un grand prix de Formule 1 permet à Perez de revenir à six points de Verstappen en tête du classement des points.

Mais cela fait-il de Perez un plus grand prétendant au titre et était-ce sa victoire la plus convaincante contre Verstappen jusqu'à présent ?

Il s'agit probablement de la meilleure victoire de Perez, car même si le timing de la voiture de sécurité l'a aidé à dépasser Verstappen, son rythme en course était fort.

Il est difficile de voir qu'il est massivement significatif au championnat, car l'histoire nous dit que Verstappen sera certainement son supérieur sur le reste de la saison, mais des performances comme celle-ci aident Perez à s'accrocher et à rester un facteur dans la course au titre.

C'est tout à l'honneur de Perez de continuer à se dépasser et de rester dans l'état d'esprit de quelqu'un qui peut gagner le titre. Il n'a pas choisi la voie de la facilité en acceptant de jouer les seconds rôles et il a fait du bon travail en continuant à élever son niveau de jeu.

Avec chaque jour comme celui-ci, la confiance se renforce, mais il va falloir qu'il y en ait beaucoup plus pour qu'il soit considéré comme suffisamment fort pour battre Verstappen sur l'ensemble de l'année.

La clé pour Verstappen est de prendre la défaite au sérieux et de ne pas être trop frustré par le fait que Perez ait remporté une autre victoire. Après tout, s'il a une volonté intense de gagner, il sait que plus souvent qu'autrement, c'est lui qui sera en tête. Et sa réaction après la course semble suggérer qu'il sait exactement cela.

La situation actuelle de Perez est celle du "kalif à la place du kalif".
Combien de pilote avant lui auront connu cette situation si ce n'est Bottas derrière Lewis pendant près de 8 ans mais aussi celle de Massa derrière Schumi et j'en passe.
Aucun de ces "lieutenants" n'auront eu la vie facile et certainement pas le Checco à l'heure d'aujourdhui.

Comment est il donc possible que pour l'heure il ai résisté et ne soit qu'à 6 points au général ?
Je dirais qu'il représente plus qu'un lieutenant, il est doué et il est mexicain donc une valeur sûr pour porter les marchés couvert par la F1. Horner le sait mais il connait aussi son CDM de Verstappen et ses faiblesses. 
Alors Red Bull fait au mieux et pour l'heure ils manient la chèvre et le chou avec bonheur et diplomatie. "Le championnat est encore long" aura dit le chef Horner à l'oreille rougie de son champion bousculé. Et tant mieux pour nous et la F1 toute entière.

Perez nous la joue à la Rosberg - Hamilton. Super !

dom465 a écrit:

Perez nous la joue à la Rosberg - Hamilton. Super !

Très belle comparaison Dom, je l'avais zappé le Nico et son histoire aussi. Perez pourrait il en vivre autant ?

Rosberg c'était autre chose, je ne l'ai jamais vu comme un second couteau

yoh a écrit:

Rosberg c'était autre chose, je ne l'ai jamais vu comme un second couteau

Exact Yoh, Rosberg a réellement battu Lewis et à l'usure s'il on peut dire.
Il ne lâchait rien et surtout pas en fin de championnat où Lewis se perdit tout seul.
Ce fût tellement difficile pour lui que Nico décida de ne plus revivre ça et quitta la F1, titre en main, à la reprise du nouveau championnat. 
Je crois que personne n'a fait ça en F1.

Après cinq courses, ils ont quatre résultats 1-2, quatre pole positions, quatre tours les plus rapides et n'ont perdu que 11 points du total du classement des constructeurs.

Leur avance sur le peloton est effrayante, car personne d'autre n'est capable de maîtriser les astuces de la RB19 et d'avoir l'un des meilleurs pilotes à avoir jamais pris place dans une voiture de Grand Prix, accompagné de l'un des numéros deux les plus forts du moment pour la conduire.

Après cinq courses, ils ont obtenu quatre résultats, quatre pole positions, quatre meilleurs tours et n'ont perdu que 11 points au classement des constructeurs.

Leur avance sur le peloton est effrayante, personne d'autre n'étant capable de maîtriser les astuces de la RB19 et d'avoir l'un des meilleurs pilotes à avoir jamais pris place dans une voiture de Grand Prix, associé à l'un des numéros deux les plus forts au volant de ce bolide.

(Pour les besoins de cet article (RN365), les courses Sprint seront exclues de la discussion, seul le Grand Prix comptant - bien que Red Bull remportera probablement les six courses Sprint également...)

En clair, c'est la meilleure chance que l'on ait eue depuis qu'Ayrton Senna et Alain Prost ont failli faire un sans-faute - et il va falloir les arrêter.

Un manque de concurrence !

La première grande raison pour laquelle c'est possible pour Red Bull est le manque de concurrence sérieuse et soutenue face à Verstappen et Sergio Perez.

Prenons les trois dernières courses, par exemple, en Australie, en Azerbaïdjan et à Miami : dans chacune d'entre elles, une équipe différente a été le challenger le plus proche de Red Bull, à savoir Mercedes, Ferrari et Aston Martin respectivement.

Comme ces trois équipes continuent de se battre entre elles pour la deuxième place au classement des constructeurs, Red Bull a la possibilité de capitaliser.

De tous les challengers, Alonso semble être le plus susceptible d'arracher une victoire à Verstappen ou Perez.

Il faudra une chance extraordinaire pour que Red Bull remporte tous les Grands Prix.

La voiture peut être aussi dominante que l'est la RB19, mais au bout du compte, ce ne sont pas les performances de la voiture ou du pilote qui décideront si Red Bull entrera dans l'histoire. Ce sera une question de chance, bien qu'ils soient capables de réussir les 23 fois cette année.

Mais le destin a toujours le don de faire basculer les choses.

Prenez Hongrie 2021 et le départ de la course, lorsque Valtteri Bottas a transformé sa Mercedes en boule de bowling et a sorti Perez, avec Verstappen qui a failli le rejoindre.

Il y a aussi le registre de fiabilité de Red Bull, qui a subi une défaillance pour Verstappen lors des qualifications en Arabie saoudite. Si cela peut se produire en qualifications, cela peut se produire pendant une course et c'est le plus grand obstacle à l'équipe pour créer l'histoire de la F1.

Si cela se produit en qualifications, comme Verstappen l'a montré en Arabie Saoudite et Perez en Australie, l'avantage inhérent au rythme de la RB19 par rapport au reste du peloton rend évident le fait que le pilote se rétablira et reviendra probablement au minimum à la deuxième place, à condition que l'autre ait connu un week-end sain et soit en tête de la course.

Mais il n'y a pas de seconde chance dans un Grand Prix. S'il y a une casse, c'est fini.

Le plafond des coûts

Une chose importante à savoir à propos de la violation du plafond des coûts par Red Bull en 2021 et de la pénalité encourue est que les effets de cette violation ne se feront sentir que plus tard au cours de la saison 2023.

Au fur et à mesure que la pénalité sera appliquée au cours de la saison 2023, les autres équipes se rapprocheront, mais étant donné que l'écart est si important, même un pas d'une demi-seconde ne changera probablement pas grand-chose, étant donné le gouffre qui existe

 actuellement entre Red Bull et les autres écuries

2023 est la meilleure chance qu'une équipe ait eue depuis McLaren de réaliser le grand balayage, et l'équipe de course opérationnelle et d'ingénierie de pointe qu'est Red Bull est plus que capable de relever le défi.

Dans le sport de haut niveau, il y a des moments où il faut capitaliser sur l'opportunité d'une vie qui se présente. C'est le cas pour Red Bull.

Très belle synthèse Bro rien à redire.
Je souligne particulièrement ce que tu mentionnes en soulevant que le manque de concurrence explique largement l'hégémonie actuelle de Red Bull.

Cette voiture est au-dessus du lot comme l'ont été avant elle les McLaren, Ferrari (et oui Schumi) et autre Mercedes (Louise 8 fois). Ce qui pourrait changer la donne c'est un ou deux GP sans point pour Max mais alors il reste Perez et oui. On est donc pas à l'abri d'un championnat archi dominé par RB.

Nando et son Aston Martin demeure pour l'instant la seule interrogation capable d'ébranler un tant soit peu la donne 2023. Ceci en attendant le réveil des rouges et des gris. Ce championnat reste tout de même très intéressant à suivre, car le suspens peut rebondir à tout instant. Ne fut ce qu'entre Max (le vulnérable!?) et Checco (l'outsider).

Clousot a écrit:

Très belle synthèse Bro rien à redire.

Ce championnat reste tout de même très intéressant à suivre, car le suspens peut rebondir à tout instant. Ne fut ce qu'entre Max (le vulnérable!?) et Checco (l'outsider).

Merci, c'est traduit de RN365, le tout est de trouver le bon poste et l'adapter...

Je suis 100% d'accord avec toi pour le 2ème point !

Ce week-end, la Formule 1 débute sa première triplette de courses de l'année avec le GP d'Emilie-Romagne, le Grand Prix de Monaco et celui d'Espagne.


Dès ce week-end, les équipes disputeront le Grand Prix d’Emilie-Romagne à Imola en Italie (du 19 au 21 mai), avant de prendre la direction de Monte-Carlo à peine une semaine plus tard (du 26 au 28 mai) pour y disputer la septième manche de l’année. Juste après Monaco, direction ensuite Barcelone en Espagne (du 02 au 04 juin) pour clore cette première triplette de courses de cette saison 2023.

Après le Grand Prix d’Espagne, la Formule 1 prendra la direction du Canada pour y disputer quinze jours plus tard la neuvième manche du championnat du monde 2023, avant de revenir vers l’Europe avec le Grand Prix d’Autriche qui accueillera le deuxième week-end Sprint de l’année programmé le 02 juillet.

Au mois de juillet justement, les fans seront servis avec pas moins de quatre Grands Prix – soit un chaque week-end – au programme (Autriche, Grande-Bretagne, Hongrie et Belgique).

La logistique de ouf que cela va demander comme chaque année.
Pensez donc, à peine le GP terminé, les "pauvres" mécaniciens et autres hommes de main doivent tout démonter soigneusement, étiqueter pour emballer puis transporter aux camions voir vers l'avion cargo et puis tout décharger et remonter pour le prochain GP.
Ah oui si Charlot (prénom d'emprunt) aura subit la malchance d'un crash, c'est la F1 qu'il faudra en plus réparer pendant ce court laps de temps. 
Pas facile entre les déménagements.
Et on dit qu'ils se les roulent..

je ne comprends toujours pas pourquoi le GP du Canada viens au milieu des GP Européen et n'est pas collé aux GP US ! et puis le GP de GB qui s'intercalent entre l'Autriche et la Hongrie !!

yoh a écrit:

je ne comprends toujours pas pourquoi le GP du Canada viens au milieu des GP Européen et n'est pas collé aux GP US ! et puis le GP de GB qui s'intercalent entre l'Autriche et la Hongrie !!

Tu as raison Yoh, encore une logique qui n'en n'est pas ! :Drives me nuts

Blutch a écrit:

yoh a écrit:

je ne comprends toujours pas pourquoi le GP du Canada viens au milieu des GP Européen et n'est pas collé aux GP US ! et puis le GP de GB qui s'intercalent entre l'Autriche et la Hongrie !!

Tu as raison Yoh, encore une logique qui n'en n'est pas ! 

Je crois me rappeler que le Canada ne sait pas s'imbriquer avec Austin pour une question de logistique et de fuseaux horaires. Ce qui est sûr c'est que si c'était possible ils l'auraient déjà fait, donc c'est pour une raison purement matérielle.

Clousot a écrit:

Blutch a écrit:

yoh a écrit:

je ne comprends toujours pas pourquoi le GP du Canada viens au milieu des GP Européen et n'est pas collé aux GP US ! et puis le GP de GB qui s'intercalent entre l'Autriche et la Hongrie !!

Tu as raison Yoh, encore une logique qui n'en n'est pas ! 

Je crois me rappeler que le Canada ne sait pas s'imbriquer avec Austin pour une question de logistique et de fuseaux horaires. Ce qui est sûr c'est que si c'était possible ils l'auraient déjà fait, donc c'est pour une raison purement matérielle.

Hu ?

Je ne vois pas pourquoi, Austin se trouve à 1 heure de moins de Montréal !?

C'est surtout le Canada après et pendant l'Europe qui pose problème c'est à ça que je faisais allusion.

Pour se faire une petite idée du, très rapide, futur circuit de Las Vegas.

On dirait Sakhir à Barhein, aussi artificiel et truffé de pièges..