F1 - Généralités, divers...

L'annonce ce dimanche de la disparition de Frank Williams, à l'âge de 79 ans, a suscité une évidente vague d'émoi dans le monde de la Formule 1. Les réactions se multiplient depuis que la nouvelle est tombée, en milieu d'après-midi, confirmée par la famille du fondateur de l'emblématique écurie. Au nom de la Formule 1, dont il est le PDG, Stefano Domenicali a été parmi les premiers à s'exprimer.

"Ce matin, Claire Williams a appelé pour nous informer de la très mauvaise nouvelle, le décès de son père, Sir Frank Williams", a-t-il fait savoir. "C'était un vrai géant de notre sport, qui a surmonté les défis les plus difficiles dans la vie et s'est battu chaque jour pour gagner, sur la piste comme en dehors. Nous perdons un membre aimé et respecté de la famille F1, et il nous manquera énormément. Ses accomplissements incroyables et sa personnalité resteront gravés dans notre sport à jamais[/i"].

George Russell, qui a débuté en F1 chez Williams et y passe sa troisième saison avant d'être promu en 2022 chez Mercedes, a eu des mots très forts.

"Aujourd'hui, nous disons au revoir à l'homme qui définit notre équipe", a écrit le Britannique. "Sir Frank était un homme vraiment merveilleux et je me souviendrai toujours des rires que nous avons partagés. C'était plus qu'un patron, c'était un mentor et un ami pour tous ceux qui ont rejoint la famille Williams Racing, et pour tant d'autres."

"Ça a été un véritable honneur de courir pour lui et d'être une petite part de l'incroyable héritage qu'il laisse derrière lui ; un héritage qui vivra pour toujours dans le cœur et l'âme de cette équipe. Reposez en paix, Sir Frank. Merci pour tout."

Président de la FIA et, par le passé, adversaire de Williams lorsqu'il était à la tête de l'écurie Ferrari, Jean Todt a également réagi : "Une très triste nouvelle. Sir Frank Williams laisse une empreinte dans l'Histoire de la F1."

Un peu comme si Enzo Ferrari disparaissait à nouveau.
Ce sont des mentors, des gens qui comptent, des références, respect Sir Franck.

Second drapeau rouge sur le circuit de Jeddah, suite à l'incident impliquant Sergio Pérez, Nikita Mazepin et George Russell. Le départ a été très houleux entre les deux prétendants au titre mondial Max Verstappen et Lewis Hamilton. L'incident dans le premier virage laisse penser à une investigation entre les deux pilotes.

Mais l'arrêt prématuré de ce second départ n'a pas permis la possibilité aux pilotes de résoudre leurs différends sur la piste. De ce fait, nul ne pensait vivre ce qu'on a pu vivre dans la voie des stands.

Citation :

"Je vais vous donner l'opportunité de partir deuxième après ce qui s'est passé dans le deuxième virage'', explique Michael Masi à Red Bull. "On accepte la deuxième position si Ocon est en pole'', indique l'équipe autrichienne, avant que le directeur de course de la FIA ne se reprenne et indique "je voulais dire derrière Hamilton''.

Aujourd'hui, la direction de course de la FIA vient de créer le "penalty deal", qui pourrait ouvrir une boite de Pandore à l'avenir.

Cette situation inédite, presque farfelue, a fait l'indignation de nombreux spécialistes de la F1. Gary Anderson, ancien directeur technique de Jordan ou Prost Grand Prix notamment, s'insurge, tweetant : "il ne devrait pas s'agir de conclure des accords entre la FIA et l'équipe, il devrait s'agir de la mise en œuvre des règles écrites''.

Déjà, comme l'a dit Clou à plusieurs reprises, la F1 prend des décisions de pénalité quand la course est terminée, mais là, cet échange de "tu prends, out tu prends pas, si tu prends pas, alors..." est fort discutable...pour ne pas dire, presque risible.

Merci Renaud. 
Aucun autre sport au monde ne se permet de modifier un résultat après podium.
Tolérer pareille situation c'est reconnaître l'incapacité des règles à résoudre une phase de jeux ou de course.
C'est une lacune grave dans le chef des prétendus commissaires du moment.
Il n'appartient à personne d'autres qu'aux commissaires de régler ce problème majeur.

Le drapeau à damier est là depuis le début de la course automobile pour signifier que la course est terminée et pour établir un classement.
Si problème il y a eu il doit avoir été réglé avant la fin de la course sinon purement et simplement ignoré faute de jugement.
Cette règle élémentaire est respectée pour tous les sports au monde sauf pour la F1.
Sursoir à ce principe est fondamentalement anti sportif et inacceptable.

Clousot a écrit:

Merci Renaud. 
Aucun autre sport au monde ne se permet de modifier un résultat après podium.
Tolérer pareille situation c'est reconnaître l'incapacité des règles à résoudre une phase de jeux ou de course.
C'est une lacune grave dans le chef des prétendus commissaires du moment.
Il n'appartient à personne d'autres qu'aux commissaires de régler ce problème majeur.

Le drapeau à damier est là depuis le début de la course automobile pour signifier que la course est terminée et pour établir un classement.
Si problème il y a eu il doit avoir été réglé avant la fin de la course sinon purement et simplement ignoré faute de jugement.
Cette règle élémentaire est respectée pour tous les sports au monde sauf pour la F1.
Sursoir à ce principe est fondamentalement anti sportif et inacceptable.

A nouveau 100% + 1 Ma grande !

Bien d'accord avec toi CLOU.
Ce sport est trop compliqué est n'arrive pas à faire des règles applicables rapidement.

Il y a trop de gros enjeux pour les constructeurs pour qu'ils se laissent faire et du coup c'est du grans n'importe quoi !

Thanks Yoh...


J'ajouterais que cet état de fait qui permet actuellement à des commissaires de courses de différer leur jugement après podium entraîne inéluctablement les plus riches à se défendre de manière éhontée face aux plus faibles.

Puisque les commissaires mettent le temps, et bien les grosses écuries seront là prêtent à la contre attaque avec une armée d'avocats  engagés rien que pour ça.

La boucle est bouclée et un Toto Wolff montre son doigt vengeur à la télévision pour répondre, d'une manière outrancière, sa façon de penser aux commissaires qui auront mis du temps pour sanctionner (ou pas) mais surtout en tentant de ne fâcher personnes.

Les riches écuries agiront donc de la même façon que les commissaires en hésitant pas une seconde à faire chanter du monde.
Les montants des amendes, souvent astronomiques, sont là pour nous le rappeler. 
Ca ne peut pas continuer comme ça, car c'est comme reconnaître qu'il n'y a plus que l'argent roi maître des lieux.

S'exprimant pour Canal+, Alain Prost est revenu sur la finale de ce week-end et se réjouit d'une telle situation même s'il espère qu'elle se terminera bien.

"C’est fabuleux jusque-là, avec les petits travers, des moments un peu controversés, mais on ne peut pas avoir un championnat aussi serré sans un peu de controverse. Mais il ne faut pas que ça se termine mal. Quoi qu’il arrive, l’un des deux sera un super Champion du monde et même les équipes aussi, avec tout ce qu’elles ont montré cette année. Ce sont deux équipes top, en haut de l’affiche."

Plus encore, le quadruple Champion du monde de F1 estime que ce qui s'est passé à Djeddah et tout au long d'une saison marquée par plusieurs accrochages et manœuvres discutables tend à démontrer que l'intensité du duel Verstappen-Hamilton va au-delà de celle de l'affrontement Prost-Senna.

"Quand j’ai vu la course dimanche, j’avais envie de faire un message de… Avec Ayrton, j’aurais voulu dire : 'Tu vois, Ayrton, nous on était des enfants de chœur à côté', parce que là il se passe un truc absolument incroyable donc essayons de le vivre bien et du mieux possible jusqu’au bout."

Abordant à égalité de points l'ultime épreuve d'une saison 2021 comptant 22 Grands Prix, Max Verstappen et Lewis Hamilton vont se disputer le titre de Champion du monde de Formule 1 avec quasiment comme seule règle que celui qui finit devant l'autre sera sacré au Grand Prix d'Abu Dhabi ce dimanche.

Prost a raison de comparer son vécu avec Senna car ils en étaient là aussi mais a une autre époque et pas à chaque courses d'un championnat de 23GP.
Il n'empêche il fallait faire cette comparaison et souhaiter qu'elle ne se finisse pas de la même façon.

Pato O'Ward a pu faire son roulage à bord d'une F1 lors des Rookie Test à Abu Dhabi, une récompense de Zak Brown, le PDG de McLaren, pour avoir remporté ses deux premières victoires en IndyCar avec l'équipe Arrow McLaren SP et avoir terminé troisième du championnat 2021.

Le mexicain a vécu une journée incroyable au circuit Yas Marina pour les essais d'après-saison. Lui qui a décroché son ticket pour cette expérience au volant d'une F1 moderne, il a déjà pu rouler il y a quelques jours dans une McLaren-Mercedes de Mika Hakkinen sur le circuit de Laguna Seca.

Citation :

"Je m'attendais à de la folie et de la démence et c'est de la folie et de la démence multipliée par 10. Ce dont ces voitures sont capables... Je ne sais pas comment dire. Je pensais que l'IndyCar était rapide et... c'était juste fou, je ne sais pas quoi dire d'autre. Juste le premier tour, dès que je suis sorti, j'ai senti la puissance, l'adhérence, le freinage. Cette chose fait tout ce que vous voulez

qu'elle fasse. Quelle expérience formidable et quelle voiture !" :sais plus:

Et je me souviens de quelqu'un qui criait à tu et à cœur, que les F1 étaient minables comparées aux Formules Indy ! :toubib:

C'est rare de constater la franchise d'un pilote Indy dans une F1, c'est dire à quel point ces voitures sont au sommet de leur art.

Clousot a écrit:

C'est rare de constater la franchise d'un pilote Indy dans une F1, c'est dire à quel point ces voitures sont au sommet de leur art.

Ben écoute, aux USA, la formule Indy est la panachée des courses automobiles, donc, tant qu'ils n'ont pas goûté à la F1, ils n'ont aucune références que la leurs, simple comme A+b = C :hilare:

D'ailleurs, il suffit d'aller voir dans l'histoire de la F1, excepté Jacques Villeneuve et Nigel Mansell, je n'en connais aucun qui aient réussis les 2...je veux dire, de la F. Indy à la F1, le seul est, que je connaisse, J. Villeneuve.

Mansell à quitté la F1 en CDM est est devenu champion d'Indy Cart à la suite...

Oui je me souvient de mansel sur Williams et puis en Indy c'était fin des années 80 je crois.

Clousot a écrit:

Oui je me souvient de mansel sur Williams et puis en Indy c'était fin des années 80 je crois.

1983.

Thanks Renaud.

Il y a eu Mario Andretti aussi ainsi qu'Emerson Fttipaldi, mais c'était bien sûr un autre temps.

dom465 a écrit:

Il y a eu Mario Andretti aussi ainsi qu'Emerson Fttipaldi, mais c'était bien sûr un autre temps.

C'est vrai ! :bravo:

Les champions indy car comme Mickael andretti qui sont venus en F1 y ont été ridicules , c'est dire la difference de niveau

Jarier a écrit:

Les champions indy car comme Mickael andretti qui sont venus en F1 y ont été ridicules , c'est dire la difference de niveau

Yes jarier, il faudra d'ailleurs voir si l'année prochaine les deux disciplines vont se rejoindre ou conserver cette différence entre une Indy et puis le nouvelle F1 plus basique.

Les fans du GP de Belgique furieux de la compensation de la course 2021 !

Le septuple champion du monde Lewis Hamilton, qui est monté sur la troisième marche du podium fictif aux côtés du vainqueur déclaré Max Verstappen et de George Russell, a critiqué la décision de relancer la course, affirmant que les fans devraient être remboursés.

Et le patron de la F1, Stefano Domenicali, a déclaré à l'époque que la direction de la Formule 1 tiendrait compte de la situation difficile des spectateurs et de leurs préjugés.

Cette semaine, les fans qui ont assisté à la course ont été informés qu'ils pourraient bénéficier d'un programme de compensation qui comprend de petits cadeaux mais pas d'argent liquide !

Le forfait comprend un abonnement à la télévision de la F1, l'accès à un événement spécial qui aura lieu le jeudi précédant la course de l'année prochaine à Spa, et le droit de participer à un tirage au sort spécial offrant une chance de gagner des places en tribune Silver, Gold et VIP.

"J'ai payé 900 € pour une parodie de Grand Prix, et on me propose de participer à un tirage au sort. Est-ce qu'ils plaisantent ?", a commenté un fan en colère et plein de préjugés, au micro de RTL.

"Personnellement, j'ai dû travailler dur et sacrifier certaines choses pour emmener mon fils, qui adore la F1, à cet événement".

La course bâclée controversée de l'été dernier n'était pas la première fois que le Grand Prix de Belgique était annulé.

En 1985, l'événement a été avorté lorsque le tarmac récemment posé s'est rompu à cause de la chaleur.

Mais à cette occasion, les spectateurs présents ont été informés dans les jours qui ont suivi que leurs billets resteraient valables pour la course reprogrammée en septembre et qu'ils recevraient un bonus leur donnant un accès gratuit à l'épreuve d'endurance des 1000 km de Spa.

c'est clair SCANDALEUX

Et le tout avec des demi-points au final si je ne m'abuse.
Du jamais vu en somme, ce fut un désastre pour l'organisation et tous les spectateurs percés jusqu'aux os et au porte feuille rincé.
J'avais un peu oublié ce Spa 2021 c'est vrai cela restera un scandale surtout pour les spectateurs payants et non remboursés.

En même temps il aurait suffit de reconduire le billet 21 en 22 mais s'il n'aurait suffit que de cela ils l'auraient fait.
De l'argent il y en e en F1 mais des priorités obscures aussi. Il parait que la venue du plateau F1 vaut des dizaines de millions d'euros et qu'ils pleuvent ou pas c'est le même prix et pour tout le reste aussi. GP catastrophique en tous cas.

Les go sont trop chers de toute façon et on voit mieux à la tv

Un article intéressant de Formula1.com :


Égaux

Statistiquement, Verstappen est loin derrière Hamilton, pour le moment du moins, étant donné qu'il est à un stade plus précoce de sa carrière, mais il ne fait aucun doute que les deux hommes se considèrent comme des égaux.

Les grands pilotes ont un sentiment clair de leur propre supériorité sur leurs adversaires, le sentiment de les avoir dans leur poche. Mais indépendamment des fanfaronnades ou de la confiance publique, au fond, Hamilton et Verstappen savaient qu'ils sont égaux. Ce n'est pas du doute, mais simplement le fait que pour être un grand sportif, il faut connaître son ennemi.

Pour citer Prost et Senna, ils se sont partagé les deux championnats qu'ils ont remportés lorsqu'ils étaient coéquipiers chez McLaren, et derrière la méfiance et la haine se cachait le respect des capacités de l'autre. Cela a été mis en évidence par le dégel des relations qui a semblé commencer au moment où ils ont partagé le podium lors de la course d'adieu de Prost à Adélaïde en 1993.

Parfois, Verstappen et Hamilton semblent s'être détestés en 2021, mais ce respect sous-jacent est resté.

Intensité

La saison 2021 a été la plus longue de l'histoire de la F1. La lutte pour le titre s'est déroulée sur 22 courses, du début du Grand Prix de Bahreïn au dernier tour d'Abu Dhabi. Cela en a fait un conflit d'une intensité extrême, qui a laissé les pilotes et leurs équipes épuisés, épuisés et parfois en train de dire et de faire des choses qu'ils regretteraient.

Choc des styles

Une grande rivalité sportive n'est pas seulement le fait de deux brillants athlètes. Il faut aussi un choc des styles, des points clés de différence en matière de stratégie.

Avant même la saison, la question fascinante était de savoir quelle approche de la bataille serait la plus payante. Si les dépassements incisifs d'Hamilton ont contribué à le faire connaître lorsqu'il a fait irruption sur la scène de la F1 en 2007, comme tous les pilotes, il a évolué au fil des ans.

Un sens clair de ce qu'il croit être une course propre est une partie puissante de la psyché d'Hamilton, même si Verstappen pourrait être en désaccord avec cela. Il est également capable de calculer le rapport risque/récompense d'une bataille lorsqu'il court après un championnat, ce qui signifie que, ces derniers temps, il s'est souvent retiré d'affrontements potentiels pour s'assurer de pouvoir se battre un autre jour - mais il a montré une volonté de s'en écarter cette année.

Verstappen utilise une approche agressive. C'est une description qu'il n'aime pas, mais qui décrit précisément la stratégie parfaitement légitime qui consiste à saisir toutes les opportunités qui se présentent. Après tout, cela a généralement fonctionné pour lui, même si ce qui s'est passé en Arabie Saoudite a montré que cela peut parfois se retourner contre lui.

Les flashpoints

L'une des principales raisons pour lesquelles Prost et Senna sont considérés par beaucoup comme la rivalité la plus marquante de la F1 sont les tristement célèbres "flashpoints" sur la piste. Senna poussant Prost vers le mur des stands à Estoril en 1988, la querelle des consignes d'équipe à Imola un an plus tard et les collisions de Suzuka font partie de la légende de la F1. Aujourd'hui, les affrontements entre Hamilton et Verstappen les ont rejoints.


Les deux pilotes se sont affrontés sur la piste à plusieurs reprises au cours de l'année 2021, mais c'est lors des collisions à Copse Corner au premier tour du Grand Prix de Grande-Bretagne et à la première chicane lors du Grand Prix d'Italie que la rivalité a explosé. Les commissaires de la FIA ont pénalisé Hamilton pour Silverstone et Verstappen pour Monza, ces deux incidents ayant largement contribué à l'animosité entre les pilotes et leurs équipes.

Ils se sont à nouveau affrontés lors du Grand Prix d'Arabie saoudite, cette fois avec Verstappen pénalisé après que sa tentative de laisser passer Hamilton ait entraîné un freinage excessif, assurant que les deux pilotes se rendent à la finale de la saison à Abu Dhabi à égalité de points.

Là, les circonstances controversées entourant la façon dont la course s'est terminée et le dépassement de Verstappen dans le dernier tour au virage 5 ont créé le point le plus dramatique de tous.

L'avenir

Hamilton est sous contrat avec Mercedes pour deux années supplémentaires, ce qui soulève la possibilité alléchante que 2021 ne soit que le premier chapitre de sa rivalité avec Verstappen. La nouvelle réglementation technique pourrait bouleverser l'ordre de la compétition, mais il serait choquant que Red Bull et Mercedes ne se mélangent pas à nouveau à l'avant.

Leur rivalité figure déjà parmi les plus grandes de l'histoire de la F1. Avec une ou deux années supplémentaires de la même intensité que nous avons vue en 2021, Hamilton contre Verstappen a le potentiel de rester dans les annales comme la plus grande de toutes.

Yes Renaud, revivre 2021 ce n'est pas pour tout de suite si ce n'est jamais.
Les deux lascars ne sont pas de la même génération, Lewis est dans sa dernière "volée" de victoire tandis que Max ne fait que de commencer.
Lorsque (inexorablement) Lewis se sentira dans la pente descendante il décrochera ou simplement ne renouvèlera plus son contrat.

Maintenant comparer Senna/ Prost à Lewis/Max c'est tentant mais c'est juste impossible tellement les époques et les mentalités sont incomparables. 
Nous avons vécu une saison comme nous n'en virons peut être plus avant un bout de temps mais je peux me tromper.