Les échos du paddock 2019.

Idem pour moi. Et encore, avant j'aimais bien Webber puis Ricciardo. Maintenant, je n'aime pas Verstappen et Gasly c'est plutôt bof, bof.
Donc !

dom465 a écrit:

Idem pour moi. Et encore, avant j'aimais bien Webber puis Ricciardo. Maintenant, je n'aime pas Verstappen et Gasly c'est plutôt bof, bof.
Donc !

De toutes les manières, ils n'ont jamais rien fait pour se faire apprécier ! A part Newey, je m'en bats la ....

Si Max arrive à battre le Cali, je vais me mettre à bien aimer Max.

ha non pas Max il faudra qu'il change profondément d'attitude

Uscars a écrit:

Si Max arrive à battre le Cali, je vais me mettre à bien aimer Max.

Le battra pas.

yoh a écrit:

ha non pas Max il faudra qu'il change profondément d'attitude

Il n'est pas terrible la Max hein ?

Un petit mot de "Charles" pour les "jamais contents" (j'en connais 1 ! )

Nous attendons tous avec impatience l’ouverture du championnat du monde de Formule 1 à Melbourne, en Australie, mais ce week-end a prouvé que vous n’aviez pas besoin de la F1 pour passer un excellent week-end de sport automobile dans le monde entier.

Il y avait une autre course sauvage de Formule E à Hong Kong, suivie de cette arrivée sensationnelle (encore) au début de la saison MotoGP au Qatar, puis à la manche mexicaine du Championnat du Monde des Rallyes et à Saint-Pétersbourg pour l'IndyCar Série et, enfin, à la ronde NASCAR de Phoenix.

L’optimisme que j’ai trouvé dans le paddock de St. Pétersbourg semblait se refléter dans le monde entier, alors la prochaine fois que vous entendez quelqu'un se plaindre que les courses étaient "meilleures à l'époque", n'hésitez pas à leur dire que là, c'est pas si mauvais que ça maintenant ! :Dunno:
 
 
    Charles Bradley, rédacteur en chef mondial
    motorsport.com

Et puis, "langue de vipère" !

"Pour rien au monde, je n’échangerais Max contre Lewis". [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Max  Verstappen, jeune espoir très prometteur espère pouvoir détrôner l’anglais, et il a le talent nécessaire pour réaliser cela.
Mais contrairement au champion du monde en titre qui lui, est au sommet de son art, le néerlandais a encore beaucoup à apprendre.

Cependant, à la question : "seriez-vous prêt à échanger Lewis Hamilton contre Max Verstappen ?" , Christian Horner a répondu sans aucune hésitation :

"Absolument pas ! Pour rien au monde, je n’échangerais Max contre Lewis

Max est un futur grand champion et il n’a que 21 ans.

Lewis et lui sont des pilotes phénoménaux. Lewis est l’un des meilleurs pilotes de tous les temps.   Cependant, en termes de polyvalence, de technique de course et de vitesse, Max est capable de faire aussi bien que Lewis.

Il est parfois critiqué à cause de son caractère, mais c’est justement ce qui fait toute sa force et c’est aussi pourquoi il a autant de fans".

De fans ? Et des détracteurs aussi, beaucoup !

Il faut des Max dans toutes les séries, et il y en a. Heureusement sinon on taperait sur qui ? hi hi..

Parlant de son ascension rapide dans les rangs de Ferrari au fil des ans, Binotto a rendu hommage à l'ancien chef de Ferrari, Sergio Marchionne, l'homme qui a orchestré sa marche en avant.


"Il m'avait déjà encouragé à diriger le dept. moteurs en 2014, mais je pense qu'avec ma deuxième nomination, il voulait briser le moule, pas seulement ici chez Ferrari mais aussi en F1", a déclaré Binotto.

"Il a choisi un directeur technique qui n’a jamais conçu de voiture. C’était un pari lié à cette organisation horizontale, avec laquelle nous continuons de travailler".

"En tant que responsable, vous ne pouvez plus entrer dans les détails et automatiquement habiliter "des" personnes".

"Ce n'est pas la machine de Binotto, elle appartient à tous : l'artiste, le peintre, le conducteur… les collaborateurs deviennent  protagonistes."

Le décès de Marchionne l'été dernier a été un coup dur pour Ferrari, mais Binotto chérit les valeurs et les leçons que lui a enseignées l'emblématique dirigeant de la firme.

"Ne vous fixez pas de limites. Donnez-vous l'objectif d'atteindre l'impossible", avait dit Marchionne.

"C'était sa motivation constante, d'essayer de faire quelque chose qui reste dans l'histoire, que ce soit personnelle ou pour le sport auto."

Belle mentalité de Ferrari maintenant.
Tout le monde responsable et concerné.

Clousot a écrit:

Belle mentalité de Ferrari maintenant.
Tout le monde responsable et concerné.

Oui Clou, mais ça reste des latins, il n'aurons jamais la composition des allemands

L'allemand ne se laisse pas influencer par les événements externes, le latin bien !

Je crois en la Scuderia, mais crois aussi qu'il leur faut un esprit non-italiens, un esprit fort et qui a du bagou pour les mener, comme Ross Brawn l'était.

Binotto est déjà un bon point, même si je le redis, ils devraient avoir une personne + extérieures, plus détachée "sentimentalement".

Quand on y réfléchit, les heures de gloire de Ferrari se sont faites avec le trio : Brawn, Todt et MS. Aucun n'était italien.

Uscars a écrit:

Quand on y réfléchit, les heures de gloire de Ferrari se sont faites avec le trio : Brawn, Todt et MS. Aucun n'était italien.

C'est vrai, mais ça demeure Ferrari ! Le mythe...le rouge, le sang, le vin, la bonne humeur, le soleil, les autres...c'est tout gris !

Uscars a écrit:

Quand on y réfléchit, les heures de gloire de Ferrari se sont faites avec le trio : Brawn, Todt et MS. Aucun n'était italien.

Partant de là Ferrari prouve bien que c'est de la tête que tout part et que la réussite suit forcément.
Si en tête, Ferrari est menée avec une mentalité différente des années passées, ça va le faire à nouveau.

Ca avait été la force de Todt de briser le "grande casino" à l'italienne en ammenant Brown, Schumacher, mais aussi Rory Birne.
La "dream team" quoi !

En fait, les anciens de la grande époque Benetton au complet !

dom465 a écrit:

En fait, les anciens de la grande époque Benetton au complet !

Sauf El Mafiosi.

Même si ça me fait mal au c.. de le dire, Todt n'a fait que reprendre l'équipe que le Flavio avait su réunir !

dom465 a écrit:

Même si ça me fait mal au c.. de le dire, Todt n'a fait que reprendre l'équipe que le Flavio avait su réunir !

Oui, mais ce n'était pas si simple, il fallait complètement changer tout la mentalité du "Club Ferrari".

Emblématique directeur de course de la Formule 1, Charlie Whiting est décédé subitement jeudi matin à Melbourne. Il avait 66 ans.

C'est une terrible nouvelle pour le monde de la Formule 1 et du sport automobile. Emblématique directeur de course de la catégorie reine, depuis de nombreuses années, Charlie Whiting est décédé brutalement à Melbourne, où se déroule ce week-end le Grand Prix d'Australie. La FIA a annoncé la triste nouvelle, précisant que le Britannique a été victime d'une embolie pulmonaire, à l'âge de 66 ans.

Charlie Whiting a débuté en Formule 1 en 1977 en travaillant pour l'écurie Hesketh Racing, mais il s'est surtout fait connaître lorsqu'il était chef mécanicien chez Brabham. Il a notamment joué un rôle important dans la conquête des titres mondiaux de Nelson Piquet en 1981 et 1983 et il n'a quitté l'équipe qu'en 1988, lorsqu'elle a été vendue par Bernie Ecclestone.

C'est ensuite qu'il a rejoint la FIA en tant que délégué technique, avec le soutien d'Ecclestone, alors propriétaire de la F1. Il est devenu directeur de course en 1997, poste qu'il a occupé jusqu'à ce jour. Également délégué à la sécurité, il était en charge de la supervision globale des circuits, de la sécurité, des questions techniques ainsi que des procédures lors des week-ends de Grand Prix.

Dans ses fonctions, Charlie Whiting a été la figure de proue de nombreuses initiatives cruciales pour permettre à la F1 de poursuivre ses avancées en matière de sécurité. La plus récente et la plus marquante n'est autre que l'introduction du Halo, devenu obligatoire lors de la saison 2018 avant de commencer à se généraliser à tous les échelons de la monoplace.

"Je connais Charlie en sport automobile depuis toujours", a réagi Ross Brawn, patron sportif de la F1. "Nous avons travaillé ensemble comme mécaniciens, nous sommes devenus amis et nous avons passé énormément de temps ensemble sur les circuits du monde entier. J'ai ressenti une immense tristesse lorsque j'ai appris la terrible nouvelle. Je suis dévasté. C'est une énorme perte, non seulement à titre personnel, mais pour toute la famille de la Formule 1, la FIA et le sport automobile.

Je suis scié.
La F1 vient de perdre sa plus importante "prise de terre". Dju!

Clousot a écrit:

Je suis scié.
La F1 vient de perdre sa plus importante "prise de terre". Dju!

Excellente référence "prise de terre", c'est tout à fait ça Clou, bravo ! :Bravo !:

Une bien triste nouvelle !

whaouuu je suis scié aussi

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] La marque de vêtements de Fernando Alonso, "Kimoa", fait partie intégrante des vêtements publics de l’Espagnol depuis de nombreuses années. Malgré la présence massive de la marque, la société a connu une perte de ventes dès la première année.

La marque se consacre à la vente de t-shirts, casquettes, lunettes de soleil, maillots de bain et autres vêtements de loisirs axés sur la jeunesse et la culture urbaine, avec le double champion du monde de la F1 qui est l'image de "Kimoa".

Toutefois, selon un rapport publié par Cinco Dias, l'entreprise perdrait de son potentiel: "Au cours de sa première année d'activité et de son chiffre d'affaires, la société de Fernando Alonso a perdu 1,06 million d'euros, ce qui l'a également conduite à clôturer les comptes de l'année dernière. avec une valeur nette négative de 1,1 million d’euros".

Néanmoins ! Les chiffres de cette année devraient être plus éloquents et pourraient voir une grande amélioration puisque les coûts de configuration et de lancement substantiels n’affecteront pas le décompte final comme ils l’ont fait l'année passée, les ventes devraient aussi continuer à augmenter. (?)

Grâce à la connexion Alonso, la marque continuera à bénéficier d’une exposition constante, notamment lors du retour de l’Espagnol aux essais en F1 cette semaine (cétait !). Il court également en WEC, teste des voitures de Dakar et bien sûr, son retour en Indy 500 en mai, son cap est une constante.

Alonso vaut plus de 400 millions d'euros, 400.000 € qu'il a accumulé au cours de son illustre carrière, et qui a duré presque deux décennies en F1.

Et puis, un autre qui lui au contraire, atteint des sommets (aurait plu a Us ça :clin d'oeil: )

Lewis Hamilton est maintenant le pilote le plus cher de l'histoire de la Formule 1, devançant Michael Schumacher qui avait pris sa retraite en haut vol fin 2012.

"Forbes" rapporte que Hamilton est presque demi-milliardaire, le quintuple champion du monde de F1, a gagné plus de 489 millions de dollars depuis ses débuts avec McLaren en 2007 !


Ralf Schumacher est peut-être le grand gagnant le plus surprenant de la liste. Il a "encaissé"  :Mafia: une somme de 121 millions de dollars lors de ses 182 participations au Grand Prix, dont il en a remporté six. Ses trois années avec Toyota ont été extrêmement lucratives dans un projet qui a généré des fuites d’argent sans jamais aucune récompense.


2005, la TF105 : (les voitures hérissons !), il n'y a qu'en cette année que le projet avait mieux fonctionné, je cite nos amis de StatsF1 (que Dom connaît !) : "En 2005, les Toyota sont en forme. Jarno Trulli et Ralf Schumacher réaliseront chacun de leur côté des classements plus qu'honorables, permettant à la firme nippone de venir se battre pour la troisième place au championnat constructeurs avec Ferrari.

Une place perdue, peut-être à cause de la course d'Indianapolis, où Schumacher fut victime d'une crevaison dangereuse. Les voitures équipées de Michelin se retirent alors après le tour de formation, alors que Trulli avait réalisé la première pole position de Toyota" !

C'est incroyable tout ça.
Il faut bien se dire que ces trust (Toy', Honda etc..) peuvent se permettre de perdre de l'argent.
En effet l'idée du supermarché américain inventé il y a un siècle, et qui selon son fondateur déclarait "Une goutte de perte dans un océan de profit".

Bien sûr il parlait de l'article qui attirait tout le monde et qui bien sûr remplissait son super marché où le reste des prix était normal.
Pouquoi ne pas imaginer la même chose avec les pertes et profits en F1 pourvu que l'on parle de la marque le plus possible.
Et de chiffrer ce que Ralf a coûter plutôt que rapporter etc...

Rien ne m'étonne plus !

Günther Steiner a une fois de plus ironisé au sujet des critiques dont l'écurie [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est la cible.

C'est un refrain qui revient depuis l'arrivée de l'équipe en Formule 1 en 2016, et qui vise le "business model" choisi en sous-traitant un maximum d'éléments de la monoplace, notamment auprès de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], dans les limites de la réglementation.

Dernièrement, c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour le principe d'avoir des "équipes B" sur la grille, et qu'il s'agissait d'une philosophie contraire à celle que souhaitait voir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] à plus long terme en F1.


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ont aussi manifesté leurs réticences, mais le fait est que Haas respecte à la lettre le règlement en vigueur.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Pour son directeur, le fait que sa structure dérange provient du fait qu'elle obtient des résultats en piste, sans quoi les critiques n'existeraient même pas selon lui.



"Tout le monde s'en ficherait si nous étions en fond de grille. Tout le monde serait content", lance Günther Steiner, dont l'écurie est sixième du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] après deux Grands Prix.

"C'est ce que tout le monde attendait", reprend-il. "C'est là qu'ils pensaient que nous serions lorsque nous sommes entrés en Formule 1. Au fil des années, les gens sont devenus de plus en plus critiques. Cela va de pair avec nos résultats. Au bout d'un moment, on s'habitue. On vit avec et on s'en fiche."


Généralement, ce sont les gens qui ne comprennent pas pourquoi nous faisons du si bon travail. Ils disent juste que nous copions Ferrari. Il y a des règles clairement écrites, ce que l'on peut faire et ce que l'on ne peut pas faire, et tout ce que nous faisons est conforme au règlement. Je m'en fiche s'ils ont une mauvaise opinion de nous."


Bien "bougon" le Steiner je trouve !